1000 Fictions
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 [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23

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Bibo
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Azarel

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MessageSujet: Re: [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23   [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 4 Icon_minitimeDim 30 Mar - 19:47

si 5 min stp. tout le monde me parleen même temps. et soit pas déçue je suis sure qu'il est trop bien.
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Azarel

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MessageSujet: Re: [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23   [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 4 Icon_minitimeDim 30 Mar - 19:54

je viens de lire et t'a réussi a me faire pleuré. mais merde mais qu'il est con ce Bill. pour son prochain anniv' il faut vraiment qu'on lui achéte un cerveaux. et puis on comprend la détresse de Tom, pauvr' bouchon. (j'aurai jamais crus dire ça pour lui)
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superbrune

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MessageSujet: Re: [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23   [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 4 Icon_minitimeDim 30 Mar - 19:58

Bon heiin si tu veux me connaître tu me le dis et tu me passes ton msn heiin :p

Bref si j'ai commenté, j'ai édité

et j'ai pas reçu le MP d'excuse mais c'est pas grave
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Bibo

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MessageSujet: Re: [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23   [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 4 Icon_minitimeDim 30 Mar - 20:06

je sais, bill en sem, c'est ce qu'il y a de mieux ...
je sais testicule ... mais c'était mon premier lemon de toute ma vie ^^

et oué ... le connard c'est pas tom ... Smile
haaa t'as déjà pleurer ici ??? *_*
troppp biennn
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Bibo

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MessageSujet: Re: [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23   [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 4 Icon_minitimeDim 30 Mar - 20:15

aller la suite ^^
désolé azarel finalement tu l'aurais eu ici aussi ^^

[FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 4 Banierechapitre12ow0

Chapitre 12


Il arrive toujours un jour ou l’on doit assumer ses actes... ou nos plus lourds secrets sont dévoilés par une secondes d’inattention ...


Bill 19avril 2007 : 13h28

Aujourd’hui pas de concert, mais journée de route dans le tour bus, direction Nuremberg pour notre concert de demain. Je suis complètement mort, entre ma nuit presque blanche et le concert, je ne suis pas fâché de retrouver mon lit. J’ai même réussi à piqué à Tom son Teddy et j’en profite pour le câliner, lui faire des bisous, respirer son odeur et le serrer fort contre moi.
Les mouvements du tour me berce et je plane complètement dans mes songes. Il ne manque plus que mon blond préféré à mes côtés et c’est le paradis.

Le paradis n’est qu’une douce illusion, il n’existe que dans les rêves, la réalité c’est la vie, et la vie est un enfer...

15h00

On fait une pause de 5mins sur une aire d’autoroute, histoire que le bus refroidisse un peu et qu’on puisse tous se détendre et se dégourdir les jambes à l’air libre, parce que même si le bus est confort, rien ne remplace une bonne bouffée d’air bien fraîche, je profite même de cette pause pour voler quelques bisous à Tom dans les toilettes en prenant bien soin de vérifier que l’on soient bien seuls. Les 2 G font leurs étirements habituels et prennent le soleil, pendant que David est partie chercher de la lecture à la station service, il peut décidément pas se passer de son journal lui...

15h10

David entre en trombe dans « ma chambre », son visage est rouge de rage mais dans un coin de ses yeux perles des larmes. Un peu déboussolé par cette vision inhabituelle de mon manager, je l’entends à peine me hurler de venir le rejoindre dans la salle détente. Ça à l’air sérieux, j’essaye de comprendre ce qu’on a bien pu faire pour le mettre dans un état pareil, ça ne peut quand même pas être parce qu’il sait que tom et moi on a dormis dans la même chambre... Ou alors il sait ?
Cette idée me fait frissonner, je sens ma fin proche... Il vire les 2 G tranquillement installé devant la télé et je vois tom déjà installé, la tête baissée, je crois qu’il a peur.
Yeux dans les yeux, sans aucun moyen de fuir, David nous fait glisser le Bild sur la table.
En 1ère page, une photo de Paris... ou l’on peut me voir tenant la main de tom et souriant jusqu’aux oreille et la bouche de tom à 1cm de la mienne. Le titre et écrit en rouge et il est énorme : « Révélation : Folle nuit parisienne pour les jumeaux Kaulitz ». Mon sang ne fit qu’un tour et mon cœur s’arrêta de battre quelques secondes avant de prendre un rythme totallement anormal, je suis en stress, en panique je sais plus ou me mettre, quoi faire, quoi dire, et ce silence qui m’étouffe, c’est pesant, je n’ose pas regarder à ma droite...
David est toujours silencieux en face de nous, il attends une réaction, un cris, un mouvement peut-être, mais nous sommes tous les 2 trop perturbés pour lui donner satisfaction. Les secondes s’écoules, les minutes, le silence est étouffant...
Je transpire et je penses même que je trembles, bientôt je vais me mettre à pleurer, pleurer, parce qu’on a échouer, parce que j’ai été trop con de croire qu’on pouvais se cacher éternellement, parce qu’on auraient pas du sortir dans paris en pleine nuit, parce qu’on auraient pas du se découvrir, parce que je me souviens même plus qu’il a essayer ou qu’il m’a embrasser, parce que cette nuit avec lui était la plus magique de ma vie et la plus romantique, parce que si c’était à refaire je le revivrais, parce que ça veux dire qu’on va faire la une des journaux, parce que ça veux dire que tout le monde va savoir, parce que je suis trop faible pour supporter ça, parce que je pensais me foutre de ce que penses les autres, parce que notre carrière et finie, parce qu’il va falloir se justifier, s’expliquer, parce que je l’aime à en mourir, parce qu’on va se faire lincher par la presse et par les gens, par nos amis, par notre famille, par la maison de disque, parce que j’aimerais m’enfuir loin, courir tout droit sans jamais me retourner, mais que je ne peux pas faire ça, parce que mes jambes ne me répondes plus... parce que trop de choses se bouscules dans ma tête... Parce que je l’aime.

Tom finis par briser le silence et dit le plus simplement, et neutrement du monde : « oui et ? ».
Comme si cette photo ne changeait rien à sa vie, à notre histoire, à son amour, à notre histoire.

- Comment ça et alors ? tu te fous de moi ?
- Non, il l’a dit tellement calmement, pendant ce temps j’ai la tête baissé, les mains sur le visage pour cacher mes larmes qui coulent. Je suis trop faible... Je me hais...
- T’es sur que t’as bien regarder la photo ? y a rien qui te choque ?
- Non, je vois juste mon frère hyper heureux et qui se sent libre, et moi qui m’apprête à l’embrasser... Je vois pas ce qu’il y a à dire de plus.
- David en reste quelques secondes abasourdit, comme s’il n’était pas sûr de bien entendre... Rien à dire de plus ? tu le fais exprès Tom ? tu te rends compte de ce que ça représente ? de ce que cette photo va faire ? de ses conséquences ? sur le groupe, sur votre image, sur moi, sur la maison de disque, sur mes ventes, sur les concerts, dans les fans, dans les journaux ? Je commence à avoir de sérieux doutes sur vous deux, j’avais déjà trouvé étrange le fait que vous dormiez dans la même chambre, j’aimerais savoir ce qu’il se passe entre vous et je veux le savoir maintenant : Êtes-vous Amant ? .
- Notre vie privée ne regarde que nous, on donnes une image au public, aux fans, aux médias mais en privée on est libre, on fait ce qu’on veut merde ! il a dit ça avec tellement de conviction dans la voix, je l’admire et je l’aime pour ça... je relève la tête vers lui, je n’oses toujours pas croiser le regard de David. Je suis en admiration devant mon grand frère, il est là stoïque, il fixe David avec un regard ferme, et de défis. Je me sens si faible, si inutile, j’aimerais tellement être comme lui...
- Comment ça elle ne regarde personne ? tu plaisantes là ? VOTRE vie, tout ce que vous faites ME regarde, regarde la presse, les fans, vous n’avez aucune vie privé, rien. Je te pose une dernière fois la question qu’es ce qui se passe entre vous ?
- Il se passe que nous nous aimons, que nous sommes amant, que je l’aime et que je me fous totalement des autres, de leurs avis, de leurs regards, que je me fous de tout, que la seule chose qui compte c’est Bill parce que je l’aime à en crevé que ça te plaise ou non. Il a dit cette dernière phrase avec un brin de colère dans la voix, mais il fixe toujours David qui est au bord ou de la crise de nerf ou de la crise de rage, mais pour l’instant il a plutôt l’air de chercher à assimiler ce qu’il vient d’entendre et c’est pas évidant.
La main de tom rejoins la mienne, et la serre très fort, il a besoin de mon soutient, de mon appuis, il a besoins que je sois fort avec lui, que je le soutienne, que je l’épaule, parce qu’à nous deux, on est indestructibles...
Il cherche enfin mon regard, David à baiser les yeux, tom à gagner la première manche, il cherche dans mes yeux un soutient qu’il ne trouves pas, à la place il y li de la peur, de l’angoisse. Il faut me comprendre, il vient d’avouer, de dévoiler notre secret, notre honte, notre bonheur, notre malédiction, notre amour.
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Bibo

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MessageSujet: Re: [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23   [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 4 Icon_minitimeDim 30 Mar - 20:16

Chapitre 12 suite

[FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 4 Banierechapitre12partiedn6



Pour toi j'aurais donné toute ma vie...
Trahi par mon âme, j'ai perdu l'esprit...
Moi et lui...
Une pure folie...
Mais j'aurais goûté à ce bonheur infini...
Tant pis si pour ça, je suis bannie du paradis...
C'est toi qui me maintient en vie...
Je me damnerais pour toi...
Qu'importe si je fais fausse route...
Arrête de me faire du mal, je t'en pris...
Un jour tu regretteras tout ça...
Un jour tu pleureras en pensant à moi ...
Ce jour là, reviens-moi...
Je t'attendrais...
Car le seul enfer que je redoute c'est toute une vie sans toi...



Celui qui à dit que l'amour se suffisait à lui-même, qu'il était plus fort que tout, plus fort que les convenances, plus fort que la pression, plus fort que le regard des autres, plus fort que leurs mépris... A mentit... Le vrai Amour ne peut exister sans l'approbation du monde...


Tom 19avril 2007 :15h34

Voilà, c'est fait, c'est dit, c'est avouer... J'arrive pas à croire que ce soit moi qui vienne de dire ça, avec une telle aisance, comme une telle évidence. David n'a pas à nous dicter notre conduite, le monde n'a pas à nous juger... J'ai l'air tellement convaincu par ce que je dis, mais même si ma voix n'en laisse rien paraître et que mon visage reste fermé, j'ai peur, j'ai beau avoir tout avouer, je ne me sens pas plus fort, pas soulagé, au contraire le poids sur mes épaules vient de tripler. Mais qu'importe, je le fais pour lui, pour nous, parce qu'il fallait bien le faire un jour.
Ça fait quand même du bien d'avouer son amour à l'être qu'on aime, et qu'on désir le plus au monde.
Je détourne mon regard du manager qui à l'air abattus, le pauvre, il doit chercher un moyen d'étouffer l'affaire, mais il n'y arrivera pas, parce qu'à la prochaine interview, écrire ou télé je balance tout, j'avoue en direct mon amour et tant pis pour les conséquences, elles sont tellement secondaires quand on aime quelqu'un.
Je me surprends moi-même, d'être si fort, d'accepter si facilement de tout dévoiler...
Peut-être parce que je viens de comprendre ce que ressent mon petit frère, pourquoi il n'arrête pas de dire que quand on aime vraiment, on est obligé de le crier au monde entier, parce que le bonheur est trop intense, trop fort et que si on le garde pour nous on fini par exploser...
Je suis amoureux, c'est officiel ^^ et quoi de plus beau pour une 1ère et dernière fois que son petit frère, que son double, que son jumeau, que son sang, que sa chair ?

Le regard de Bill est vitreux, il a dû pleurer... mais je ne comprends pas pourquoi.
Il me fixe avec ses grands yeux noisette qu'il a écarquillé, c'est trop mignon...
Il a peur, il veut reculer, il sert fort ma main, mais je sens qu'il veut tout arrêter ...


Bill s'il te plait, pas maintenant, ne recule pas, ne me laisse pas, ne nous abandonne pas, j'ai besoin de toi maintenant, je ne tiendrais pas seul, j'en suis incapable...
Ma force c'est la tienne, c'est toi, c'est que tu sois près de moi... Sans toi, je suis trop faible... Ne me laisse pas... Bill... je t'en supplie... Ne me fait pas ça ... Ne Nous fait pas ça ...
J'ai renoncé à tout pour toi, j'ai tout abandonné, les filles, les coups d'un soir, la drague, j'ai renié ce que je suis pour vivre notre histoire, tu ne peux pas me laisser ... Pas maintenant ... Pas alors que le plus dur va commencer... Pas alors qu'on a besoin d'être soudé pour y arriver...
Non ... pas maintenant...
Je n'y survivrais pas...

Et pourtant dans ses yeux, je lis qu'il m'aime, mais qu'il est trop faible ... Alors que c'est lui qui voulait qu'on soit ensemble, lui qui voulait que je laisse tomber les filles pour lui, lui qui disait m'aimer plus que tout, lui qui nous voyaient dans 50ans, toujours amoureux, dans notre petite maison douillette...
Mais ce n'était que du vent, que des mots... Alors que pour moi c'était un projet d'avenir, un rêve, un espoir, une envie...
Il est incapable d'assumer son amour, mais je sais qu'il m'aime...
Ses yeux pleurent, mais les larmes ne coulent plus ...
Il a compris que j'avais compris, il baisse la tête, il a honte... Il essaye de détacher sa main de la mienne, mais il ne peut pas, il ne doit pas, c'est la seule chose qui fait que je ne m'effondre pas, le contact de sa peau contre la mienne...
Je dois tenir le coup ... Pour nous ... Il va changer d'avis c'est sûr ... c'est impossible autrement ...
Ma main sert plus fort la sienne, pour lui faire comprendre qu'il doit rester, qu'il peut rester, que je ne lui en veux pas d'avoir peur, que moi aussi j'ai peur... Mais qu'on peut le faire...
Il tente encore de se dégager avec ses dernières forces, mais je suis plus fort que lui, alors il renonce...

David sort de son silence, il n'a rien vu de la scène qui s'est déroulée sous ses yeux, il pleure de rage...

- Les garçons, je vous le dit le plus clairement et calmement que je peux, VOUS DEUX C'EST FINI ! et ça prend effet maintenant, et c'est sans discussion, sans négociation d'aucune sorte. Vous allez reprendre vos habitudes, Tom tu vas retrouver ton statut de Dom Juan et Bill, tu fais ce que tu veux, de toutes façon avec ta gaffe à Yam, tout le monde à compris que tu étais gay, enfin bisexuel quoi (vu que tu as quand même eu Karen), donc pour toi c'est Homme ou Femme au choix mais PAS TOM. Je vais vous surveiller de très près, vous ne serrez jamais seul dans la même pièce. Je ne veux plus de photos de ce genre là ! c'est bien compris ?
Pour ce qui est de l'explication du comment du pourquoi de cette photo, puisqu'on va sûrement vous demandez des justifications, vous n'aurez qu'à dire, que vous aviez trop buent durant votre quatier-libre du soir, et que vous avez décidé d'aller faire un tour, et que sous l'effet de l'alcool, Tom à cru que tu étais une fille et il a essayé de t'embrasser mais tu l'as repoussé au dernier moment. J'envoie le communiquer de presse dès qu'on arrive à Nuremberg, et vous avez intérêt à vous tenir à cette version ! Y en a marre de réparer vos bourdes tout le temps !


Son ton est ferme et sans appel ... Mon cœur se meure... Je ne peux pas accepter ça en silence... Je ne peux et ne veux retoucher, recoucher avec une de ses cruches sans cervelles, je ne veux plus de cette vie, je ne peux plus de se rôle là ... Je veux juste être heureux, je veux juste être amoureux, frémir sous ses doigts, avoir un air gaga devant ses sourires, avoir des pensées perverses quand il se penche ou marche devant moi, je veux juste pouvoir le toucher, l'aimer, je veux juste être libre... Il ne peut pas nous imposer ça, on ne s'est jamais laissé dicter notre conduite et on ne va pas commencer aujourd'hui...
Ma main ressert son étreinte et broie celle de mon double...
Il ne régie pas, ne bouge pas, je ne l'entends même plus respirer, il est inerte ...
Dit quelque chose ! Rebel-toi ! Montre lui combien on s'aime ! Qu'on se fou de ce qu'il dit, de ce qu'il penses, de ce que vont dire les journaux, qu'on se fou d'être célèbre ou pas ! dit lui qu'on veux bien tout perdre pour pouvoir rester ensemble ! Dit-lui !

- Je ... Enfin... On... D'accord...

C'est Bill qui vient de parler... enfin il l'a murmurer, tellement doucement, avec une voix d'outre tombe... Mais il l'a dit... il vient d'accepter ... Il vient de renier notre amour ... Il vient de me trahir... Il vient de m'achever...
Ma main desserre la sienne... pour la lâcher... il tente de la reprendre... Mais je l'en empêche... c'est fini... il m'a trahie, blesser, renier... David à l'air soulagé et affiche un sourire satisfait...
Moi je n'en peux plus, je veux hurler, je veux tout plaquer, je veux les tuer, ma rage est palpable, mais je ne fais rien, je me contente d'enjamber mon frère (qui a les bras croisés sur la table et qui pleure dedans), sans un regard et je sors de la pièce... en claquant la porte...

Je me dirige vers mon lit, puisque je suis coincé dans le tour bus, je croise les 2 G qui me demande ce que nous voulaient David, pourquoi il avaient l'air si furieux, je ne suis pas en état de leurs expliquer, et mon regard plein de haine et de larme parle à ma place...
Ils ont compris et n'insiste pas. Arriver devant mon lit, je prend mon oreiller par les 2 bouts et je le frappe contre le mur de toutes mes forces, de toutes ma rage, pour évacuer, pour oublier, pour me soulager... Plus je frappe, plus j'ai mal, mais plus j'ai mal, plus je penses à autre chose qu'à lui...Alors je frappe, de toutes mes forces, pendant de longues minutes, je ne remarque même pas mes phalanges blanches, je ne vois même pas les plumes qui voles autours de moi, je ne remarque même pas le sang qui coules de mes mains, je ne sens mêmes plus que ce n'es plus l'oreiller je frappe contre la paroi mais mes mains, je ne sens pas le sang qui coule, je n'ai aucune douleur, je suis dans un autre monde, je suis bien ... Je ne capte même pas les 2 G qui me regardes l'air horrifié sans comprendre, je me remarque même pas qu'ils m'éloignent du mur, et qu'ils me couche sur le lit de bill ... les larmes coulent sans interruption, ma vue est brouillé... Je me sens seul, si seul ... si mal ... cette odeur.. son odeur... et mes pleures redouble... Moi qui déteste pleurer, moi qui ne pleure jamais, et encore moins devant les autres, moi qui suis si fort d'habitude, qui suis si froid, si détacher...
Je finis par m'endormir de fatigue et de désespoir...

19h23

Le bus s'arrête, on est arrivé à Nuremberg, Gustav, vient me réveiller, il ne pose aucune question... c'est un vrai pote lui ... Peut-être qu'un jour je lui raconterais, peut-être qu'un jour je lui expliquerais... peut-être qu'un jour il comprendra...
Comme toujours les fans sont agglutiner devant l'hôtel, comme si j'avais besoin de ça maintenant ... Encore que ... Nan je suis trop faible, je serais pas à la hauteur ... en même temps es-ce qu'elles sont vraiment apte à s'en rendre compte ?
Elles sont trop connes... Bill à disparut, il doit être déjà dans sa chambre... Pourquoi je pense à lui ? Il faut que je l'oublie, David à raison, je dois oublier ... et reprendre mon rôle de Dom Juan ...

Je repère dans la foule 2 filles pas mal, elles ont l'air copine, et un peu bourrée, c'est exactement ce qu'il me faut... Je leurs fait des petits sourires pervers en coin ...
Elles ont compris ... elles sont vraiment trop prévisibles ... je les hais ...
Ce soir j'ai pas le courage d'attendre, je veux pas être discret...

Carpe Diem comme on dit ... vis l'instant présent... c'est exactement ce que je vais faire...

Je les attrapes toutes les deux, et les emmènes avec moi, sous le pluie d'insulte et de sifflement des autres filles qui penses qu'elles sont entrain de cauchemarder ...
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MessageSujet: Re: [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23   [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 4 Icon_minitimeDim 30 Mar - 20:52

Oh Putain
Bill il est vraiment méchant
Et Tom trop mignon, j'adore le voir triste dans les fictions [ oui je suis sadique j'aime bien le voir souffrir]
Puis il va se faire un plan à trois avec les filles O_o'
Et Bill, non mais quel con..
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Mathilde

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MessageSujet: Re: [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23   [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 4 Icon_minitimeDim 30 Mar - 21:39

ah.
David. l'enfoiré.

BORDEL.
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MessageSujet: Re: [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23   [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 4 Icon_minitimeLun 31 Mar - 10:14

superbrune=> il est pas méchant, il est faible … il a honte, il a peur … et il s’est abaissé …
ils ont perdus une bataille pas la guerre XD
moua aussi j’aime bien les faire souffrir et je peux te dire qu’ils ont pas fini ^^
et oui dans le prochain chapitre, un espèce de yuri ^^

Mathilde=> uep ^^mais comprends-le aussi …
Il veut pas que sa se sache et l’inceste le dégoûte, peut ont vraiment le blâmé de ça ?
Nan je sais que dans ma fic’ on veut à tous les perso’ à tour de rôle (sauf au G’s) mais chaque point de vu est d’après moi justifiable et compréhensible ^^
Et je rappel que ma fic’ est un jolie drame ^^
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MessageSujet: Re: [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23   [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 4 Icon_minitimeLun 31 Mar - 11:20

ATTENTION CHAPITRE POUVANT CHOQUER ! YURI

je tiens à préciser que si vous ne ressentez aucune émotion, que vous trouver mon espèce de lemon yuri vide et fade, sans sentiments, d'un inérotisme affligant, c'est Normal Smile et c'est même le but Smile

j'espère que vous aimerez ce chapitre Smile moua je me suis éclaté à l'écrire Smile

[FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 4 Banierechapitre13nm3

Chapitre 13


How did I ever let you slip away ?
Comment ai-je pu te laisser filer ?

Never knowing I'd be singing this song some day
Sans jamais savoir qu'un jour je chanterai cette chanson

And now I'm sinking, sinking to rise no more
Et maintenant je sombre, je sombre pour ne plus jamais me réveiller
Ever since you closed the door
Depuis que tu as fermé la porte

If I could turn, turn back the hands of time
Si je pouvais, remonter le cours du temps

Then my darling you'd still be mine
Alors ma chérie tu serais toujours mienne

You had enough love for the both of us
Tu as assez d'amour pour nous deux

But I, I, I did you wrong, I admit I did
Mais je, je, je t'ai causé du tord je l’avoue

I'd never hurt you
Je ne te ferais plus jamais de mal

If I could turn back the hands
Si je pouvais remonter le cours du temps

There'd be nothing I wouldn't do for you
Il n'y aura rien que je ne ferais pas pour toi

Forever honest and true
A jamais honnête et fidèle

If you accept me back in your heart
Si tu m'acceptes de nouveau dans ton coeur

I'm going down
Je suis en train de tomber

Down on my bended knee
Par terre à genoux

And I'm gonna be right there until you return to me
Et je resterais là jusqu'à ce que tu me reviennes

If I could just turn back that little clock on the wall
Si je pouvais juste remonter cette petite horloge sur le mur

Then I'd come to realize how much I love you, Love you love you love you
Alors je commencerais à réaliser combien je t'aime, t'aime, t'aime




On aimerait tous pouvoir changer notre passé, faire d’autre chose, d’autres choix, être plus fort, ne pas renoncer à certaines choses... Mais on ne peut jamais changer le passé... Il reste figé à jamais...





Bill 19 avril 07 : 19h45

Je suis vraiment qu’une merde, qu’un gros lâche, qu’un peureux, qu’un nul, qu’un moins que rien, que le pire connard de la terre.
Mais comment ?
Comment ais-je pu faire ça ?
Comment ais-je pu LUI faire ça ?
NOUS faire ça ?
Me faire ça ?
Je suis vraiment trop faible ...
Nous deux c’est fini... c’est sûr...
Après la nuit qu’il m’a offert à Paris ... Après s’être offert à moi ...
Et moi ? Comment je le remercie ? comment je lui prouves que je l’aime ? que je tiens à lui ? que je ne peux vivre une seconde sans lui ?
Hein ? comment je fais ?
Je le largue en direct ... Je renie notre amour ... Je refuse de l’assumer ...
Je ne suis qu’un monstre ... Je mérite de crever en enfer...

Tout ça à cause de ma connerie ...

S’il savait à quel point je l’aime, combien je le désir, comme j’aimerais qu’on vive ensemble tous les deux, qu’on passe chaque seconde ensemble... s’il savait comme je l’aime ... S’il savait combien j’ai envie de le crier au monde ... C’est pathétique ... j’avais l’occasion d’assouvir cette envie, de me libérer le cœur, ce cœur qui me hurle que je l’aime, que c’est l’homme de ma vie, que jamais personne ne pourra le remplacer, ce cœur qui s’emballe à chaque fois que je pense à lui, à chaque fois que je le vois, à chaque fois, que je l’aime...
J’avais l’occasion rêver de me sentir enfin libre ... il le voulait aussi ... et j’ai tout gâché ...
Et j’ose encore l’aimer ?
Je suis qu’un connard... Que le pire des salops...

J’ai fais ça par pur lâcheté, parce que je suis faible, parce que je l’aime, mais que je ne peut pas encore abandonner ma vie pour lui. Parce que je tiens trop à tout ça, au succès, aux fans, à la musique, aux concerts ... et que nous deux, ça veut dire tout abandonner, renoncer à tout ça ...

Je sais que je viens de faire la plus grosse connerie de ma vie, je sais que c’est moi qui voulait l’aimer, moi qui lui ai demander de se renoncer à tout pour moi, moi qui lui est demander de mentir... moi qui pensait être fort...
Alors que c’est lui qui à tout avouer, lui qui était près à vivre notre amour contre vent et marrée...
Et moi qui le pensais faible... il m’a donner la plus belle preuve d’amour qu’on puisse avoir, et moi je l’ai rejeté...
Je me hais...
Si seulement je pouvais revenir en arrière ... si seulement il pouvait me pardonner, si seulement je pouvais changer les choses... Pourquoi il faut toujours que j’écoute ma raison et pas mon cœur ?

Pourquoi ai-je si peur de ce que je suis ? de ce que je ressens ? pourquoi es-ce que j’assume pas ?

Et David ... lui que je croyais notre ami ... il nous a renié au lieu de nous accepter comme on est...

Je suis assis sur le petit balcon, les genoux contre mon torse, et l’oreiller entre mes genoux et ma tête, et je pleure en silence la tête enfouie dans les plumes, je suis si faible ...
J’aimerais mourir étouffé, là tout seul, sur ce balcon, de cet hôtel de merde...
Je le mériterais ...

Je devrais aussi aller à la réception, demander le numéro de sa chambre et tout arranger, mais je ne peux pas ... je suis trop lâche... j’ai trop honte ... Je n’aurais pas la force de croiser son regard, pas la force d’assumer ma connerie...
Il doit m’en vouloir à mort, il doit souffrir, il doit pleurer, il doit être aussi mal que moi, il doit attendre que je vienne le rejoindre, que je m’excuse... Que j’essaye d’arranger les choses... Que je lui explique ... Il ne doit pas comprendre pourquoi son petit frère est si con ...

Ça y est, je me sens encore plus mal, mon cœur se sert, il va étouffer, exploser, mourir... Il est trop fatigué de battre... Son oxygène est partie ...
A quoi bon continuer ? Puisque c’est sans lui ?

Il pleut, mais je ne sens plus les gouttes de pluie sur ma peau, le vent souffle, mais je n’ai plus froid ... la nuit est sans étoiles, mais je n’ai pas peur... si seulement j’avais le courage de sauter ... mais je suis là aussi trop lâche pour le faire ... Ma vie c’est lui et je l’ai perdu, alors à quoi bon vivre ? ha je sais, vivre pour la musique, pour les fans, pour les concerts, pour la célébrité, pour ce pour quoi j’ai abandonné Tom, pour ce que je pensais être plus important que l’amour, alors que c’est tellement plus secondaire...


Tom 19 avril 07 : 19h45

Et pourtant c’est bien moi ... Tom ... je n’ai jamais fais une partouze de ma vie, mais y a un début à tout... On arrive dans le hall, je vais directement à l’accueil récupérer ma clé...
Ma clef... pour la 1erè fois, je n’ai pas la clef de Bill et il n’a pas la mienne ...

N’y pense plus Tom, tu as deux filles superbes qui m’attendent que toi, et toi tu ne penses qu’à ton traître de frère... Il ne va pas te gâcher ta nuit quand même...

Je retrouve les 2 filles entrain de glousser entre elles...quelles cruches... enfin au moins elles ne posent pas de questions et n’ont pas l’air plus traumatiser que ça, par ce que je m’apprête à faire, alors autant en profiter...

On arrive enfin dans ma chambre, les 2 cruches ne marches déjà plus droit. Elles me regardent et me demande entre 2 hoquets ce qu’elles doivent faire. Je leur explique qu’elles n’ont qu’à commencer par se servir dans le mini bar, elles ont l’air ravie et sortent directement 5mini bouteilles,et qu’après elles n’ont qu’à commencer à baiser sans moi et que les rejoindrais quand j’en aurais marre de les regarder faire...

Elles acquiesces sans poser de questions, elles sont vraiment connes, c’est pas possible... C’est quand même cool d’être Tom Kaulitz tu peux faire faire n’importe quoi à n’importe qui, sans avoir besoin de te justifier. Elles ont déjà descendu les 5 bouteilles et je me lèves gentiment pour aller en chercher d’autre, et elles me souries. Je m’assois sur une chaise dans un coin de la pièce et je les regardes faire, comme un vieux voyeur pervers, c’est peut-être ce que je suis.
Finalement elles sont pas si laides que ça ses 2 filles, la 1ère a de long cheveux noir jusqu’au milieu du dos, à la Eva Longoria dans la pub L'Oréal, yeux bleu foncés, plus grande que moi, ses formes sont presque parfaite, elle doit passer des heures à muscler son corps, dommage qu’elle ait des seins microscopique. La 2ème est blonde, yeux vert, taille moyenne, le genre tout dans l’excès, à la Paméla Anderson, on a l’impression que tout est faux chez cette fille, sauf ses deux horribles bourlés sur les hanches.
Elles ont l’air d’être copines ou meilleures amies dans la vraie vie, je dis vraie vie, parce qu’ici c’est un rêve, un cauchemar ou un fantasme au choix, et pis elles sont bourrées, alors elles ne se rendent pas compte de ce qu’elles font, d’ailleurs elles auront tout oublier demain. Elles se réveilleront dans ma chambre et leur imagination ferra le reste. La brune s’agenouille devant la blonde, pour qu’elles soient à même hauteur sur le lit et elle dépose un petit baiser sur ses lèvres, baiser que la blonde approfondie directement, elles me montres leurs langues qui se bouffes, c’est dégueullasse... Enfin attendons encore un peu, elles arriveront peut-être à m’exciter, c’est quand même un fantasme basique de voir 2 nanas baiser sous ses yeux nan ? Elles sont maintenant en sous-tif, celui de la blonde et rose saumon et lui fait des seins en formes de poire, c’est hyper laid, et celui de la brune et aussi noir que ses cheveux, avec des lanières blanches au milieu genre corset, il est pas mal. Elles se caresses les seins, s’embrassent le visage, se suce les tétons à travers le tissus, tout en baladant leurs mains sur leurs corps, la brune remonte la mini jupe de sa vis-à-vis et dévoile son sexe à l’air libre. Tsss elle à même pas de string, c’est immonde... elle a juste un ticket de métro, enfin au moins elle s’épile c’est un bon point. La brune décide d’aller plus loin et rentre 1, puis 2, puis 3 doigts sans ce sexe offert, l’autre gémie, elle lui demande d’aller plus vite, ça fait tellement surfait... On se croirait dans un mauvais porno, elle retire ses doigts, laissant la blonde complètement frustrée, et elle l’oblige à lui lécher les doigts pleins de sa sécrétion vaginale, puis elles se roulent des pelles, peut-être pour partager le goût.
Et moi qui ne ressent rien, même pas un début d’érection, on dirais que je suis blasé, je ne penses qu’à lui ... qu’à sa trahison ... Je regarde ses filles comme je regarderais un documentaire sur Arte à 2h du mat’ c’est-à-dire que je vois sans regarder, que j’entend sans écouter. Elles sont totalement nues, je sais pas comment, j’ai du avoir une absence, la brune commence à faire un cunnilingus à la blonde, elle roule une pelle à ses lèvres comme si c’était une bouche, elle les lèches, les suçotes, souffle dessus, y dépose des centaines de petits baiser, les caresses du bout des doigts, y passe sa langue, en trace les contours... Avec sa langue, elle écarte les 2 lèvres avant l’enfoncer dans son intimité... Elle s’applique vachement, à croire qu’elle à déjà cogité sur la question... La blonde continue de gémir, elle a perdu tout contrôle sous la langue experte de la brune... En temps normal, devant une scène pareille, je crois que je l’aurais prise en levrette pendant qu’elle continue son léchage, mais là ce cul en l’air, me fait penser qu’à une chose ... Bill... A croire que je ne l’oublierais jamais... qu’il hantera mes pensées à jamais.... je suis entrain de perdre mon temps, elles ont inverser les rôles, elles se doigtes, se caresse, se lèches, peut-être même qu’elles ont oublier que je devais les rejoindre, elles sont bourrées et dans leurs tripes. Tant mieux pour moi... Je rêvasses en admirant ses fesses bien rebondie, et ses cheveux noir qui tombent sensuellement sur ce dos nus...

Je sais que c’est mal ... Je sais que c’est un viol... Je sais qu’elle hurle ... Je sais que la blonde étouffe ses cris en l’embrassant de force... Je sais que je ne devrais pas ... Je sais que ce n’est pas lui ... Je sais que c’est elle ... Mais j’en ai besoin ... J’en ai tellement envie ... Je ne suis qu’une loque ... Qu’une merde ... Qu’un salop ... Je suis entrain d’enculer à sec cette fille, en essayant de me persuader que c’est lui ... J’en deviens même sado ... Je me surprends à essayer de lui faire mal, je la griffe, la frappe, la claque ... tout en m’enfonçant encore plus loin en elle... Alors que c’est cette brune, cette cruche, que ses gémissements et ses cris de douleurs, ne m’atteignent pas ... Parce que se ne sont pas les siens, parce que je suis devenu sourd aux autres voix, que seule la sienne à se pouvoir de m’exciter, de me transporter loin ... Ses cheveux noir sur se dos si blanc ... Bill ... Nan ce qu’est pas lui ... ce ne sont pas ses courbes ... ce ne sont pas ses cheveux parsemé de mèches blanches ...
Mais je m’en contente, parce que j’ai envie de lui, parce que je suis meurtrie, parce que j’ai besoin de lui, besoin de m’imaginer que je suis en lui, besoin de croire qu’on ne fait plus qu’un ... besoin de croire qu’on s’aimerais à jamais ... Besoin de me sentir bestial ...
Je suis un monstre ...
Ça y es je me vide en elle... Mais je n’ai pas joui, tout ça c’était que du vent... qu’une douloureuse illusion... J’ai essayé de la meurtrir comme il m’a meurtrie, pour me venger, pour me soulager, mais ça ne m’a pas soulagé ... je les vois s’effondrer sur le lit ... elles dorment ... la brune à une goûte de sang qui coule entre ses fesses, et moi je l’admire couler... je ne fais rien, je ne penses rien, je ne dis rien ... Je suis vide...

6h09

Je ne penses pas avoir dormis, je suis sur le balcon de ma chambre, je sais pas comment j’ai atterrie ici, les rayons du matin et la fraîcheur de la rosé m’on réveillés...
J’ai les joues salées, j’ai dû pleurer ... mes idées s’embrouilles, je ne sais plus ou je suis, ce que je fais ici, c’est à peine si je sais qui je suis... j’entre dans ma chambre et vois ses 2 filles enlacées dans mon lit, et là tout me reviens par flash, et je les resitues...
Faut que je me tire d’ici, je veux pas être là quand elles vont se réveiller... je veux pas qu’elles me poses de question, elle n’ont qu’à imaginer... elles seront moins déçue... Je vais faire un tour dans les rues, à cette heure-ci, il n’y aura pas de fan devant l’hôtel.
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MessageSujet: Re: [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23   [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 4 Icon_minitimeLun 31 Mar - 21:07

Citation :
Je suis vraiment qu’une merde, qu’un gros lâche, qu’un peureux, qu’un nul, qu’un moins que rien, que le pire connard de la terre.
Exact Wink, au moins tu t'en rends compte, parce que sinon il faudrait vraiment que tu te fasses du soucis

Citation :
qu’après elles n’ont qu’à commencer à baiser sans moi et que les rejoindrais quand j’en aurais marre de les regarder faire...
Oh il est énervé le Tom là Oo'

Quoi ? Ah là Tom il éxagère Oo', mais bon il a fait ça pour essayer d'avacuer sa douleur, mais ça n'a pas marché, il pense toujours à Bill
Rah putain faut que ça s'arrange entre eux deux là

Bref suite I love you
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Bibo

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MessageSujet: Re: [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23   [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 4 Icon_minitimeMar 1 Avr - 20:13

[FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 4 Banierechapitre14ym6



voilà, je suis de retrour de vacance Smile et je vous met la suite Smile honnetement, cette suite, plus je la lis, moins je sais ce que j'en penses... un coup, je l'aime, un coup je l'aime plus ... le début et mal écrit je trouves, j'ai pas réussie à bien écrire ce que je voulais, mais bon Smile

Chapitre 14


What day is it?
Quel jour est-il ?

And in what month?
Et de quel mois ?

Nothing to lose
Rien à perdre.

Nothing to prove
Rien à prouver.

It's you and me and all of the people
C?est toi et moi et tous les gens.

I can't keep up and I can't back down
Je ne peux pas continuer et je ne peux pas faire machine arrière.

And I don't know why, I can't keep my eyes off of you
Et je ne sais pas pourquoi, je ne peux pas éloigner mon regard de toi.

All of the things that I want to say just aren't coming out right
Toutes les choses que je veux dire n'arrivent pas à sortir correctement.

I'm tripping on words
[/c]Je bute sur les mots.

[color=indigo]You've got my head spinning[/c]
Tu me fais tourner la tête.

[color=indigo]Everything you do is beautiful
Tout ce que tu fais est merveilleux.

Everything you do is right
Tout ce que tu fais est juste.


Bill 20 avril : 6h09

Je frissonne, ronchonne de me faire réveiller par les premières lueurs du jour ...
Il fait frisquet et je réalise que je suis toujours sur ce balcon miteux ... J'ai sûrement dû m'endormir là de fatigue, et ma nuit à dû être courte puisque mon oreiller est encore humide...

Sans savoir pourquoi, sans vraie raison, comme une envie inassouvie, quand on ne peut pas faire autrement, quand la pulsion prend le dessus, quand on ne comprend pas pourquoi, quand on ne sait plus ce que l'on fait ...

Un besoin soudain, une envie démesurée, une pulsion, un désir à assouvir : Hurler.
Accoudé au balcon, sans savoir vraiment pourquoi, peut-être trop de pression, trop de larmes, trop de douleur, trop de rage... Je sais, je sens qu'il faut que je hurle son prénom, que je hurle mon amour pour lui ... Je sais qu'il ne l'entendra jamais, je sais que personne ne saura jamais que c'est moi, un cris perdu en somme... mais j'ai ce besoin, cette pulsion, ce désir à assouvir ... C'est complètement idiot, je sais, tout ce que j'ai a y gagner c'est de réveiller la moitié de la ville ... Mais je dois le faire... pour me libérer...

- TTTTTTTOOOOOOOMMMMMMMMM JE T'AIMEEEEEEEEEEE

J'y ai mis toutes mes forces, toute ma colère, toutes mes tripes, toute mon âme, tout mon être, tous mes regrets, toute ma frustration, tous mes ressentis, tout mon amour...
Je reste là quelques instants, contemplant le monde sous mes yeux, les rares passants dans la rue, la fraîcheur du matin, la ville qui s'éveille ...
Je reste là ... peut-être que j'attends un signe, une réponse ...
Mais la vie suit son court, et qu'importe si je ne la suit pas, elle se passera de moi...

C'est vidé, lessivé mais soulagé que le rentre dans la suite royale, dans laquelle je n'ai même pas dormi et que je croise le 1er miroir de la journée...
Argg je fais peur à voir, mes yeux sont tous rouges et bouffies, sans doute à cause des larmes, j'ai dû pleurer toutes la nuit, mes cernes sont énormes... faudra que je cache ça ... heureusement que je me débrouille en maquillage...
Je suis mort... Et dire que ce soir y a un concert et qu'il faudra être au top...
Ce soir... je vais devoir être à côté de lui, je vais devoir affronter son regard, en direct devant des milliers de fans hystériques... Ce soir je vais devoir lui chanter combien de l'aime... Alors que je l'ai blessé au plus profond de lui...
J'aimerais ne jamais être à ce soir, j'aimerais ne jamais devoir l'affronter ... j'aimerais que tout cela ne soit qu'un mauvais rêve...

Une bonne douche bien chaude, des fringues propres, un bon maquillage et j'aurais tout oublié ... espérons....

Tom 20 avril 07 : 06h11

Un cris, une brise, une voix, une hallucination peut-être ... J'ai cru entendre un cri, un cri de désespoir, de douleur, de tristesse, d'amour, de regret, j'ai cru entendre sa voix ... son cri ...
Le temps s'arrête quelques secondes, ou peut-être quelques minutes ...
Je dois vraiment être atteins ... J'entends sa voix partout ...
Mais qu'es-ce qu'il foutrait à 6h du mat' dehors à hurler ? J'ai vraiment un grain ...
Et pourtant ça avait l'air si réel...
Une bonne ballade matinale, et en rentrant une bonne douche chaude et tout ira bien...

Und Dann wir alles gut...

11h00

J'ai passé 5 longue heures à marcher, à errer dans des rues qui me sont inconnues, à penser à lui, à nous, à la vie, à notre avenir, à réfléchir à ce que j'allais faire, à regarder les gens, les vitrines, le monde, la vie, à me dire que tous ces passants ne savent pas la chance qu'ils ont d'avoir leurs vies, réglée à la seconde près, ils savent ce qu'ils doivent faire, ils n'ont pas le temps de se poser toutes ses questions ... Encore que ... Enfin je sais pas ... Ils ont l'air si sereins et je les envie pour ça ...
Les rues se sont remplies beaucoup trop vite, elles sont maintenant bondées, il faut que je rentre, David ne va pas tarder à venir me réveiller... J'espère que ses 2 connes sont parties...

12h34

Les 2 filles n'étaient plus là quand je suis rentré, à mon plus grand soulagement. Je n'aurais pas eu la force de me justifier, d'entendre leurs cris d'hystériques, de devoir trouver un mensonge crédible, sur une nuit d'amour que l'on a pas eu...
L'eau chaude qui coule le long de mon corps nu, la buée sur la vitre, la chaleur, je suis si bien... Ma main descend jusqu'à mon entre jambe, par pur réflexe, je me caresse, mes vas et viens se font de plus rapides, plus insistants, la chaleur me fait perdre pied, m'étourdis, je ne sais plus ce que fais... Je suis si bien...
Je suis à 2 doigts de l'orgasme, et toutes mes pensées vont vers lui ...
Je gémis son prénom sans même en avoir conscience...
J'imagine que ce sont ses mains qui me caresses, qu'il est là, avec moi ...
Je soupir une dernière fois son prénom assis dans la douche, l'eau brûlante, coulant toujours à flot, les yeux fermés ... je suis si bien ...
Je rêvasse encore quelques minutes, fini de me doucher et descends au petit déj'.
Je ne sais pas encore comment je vais réagir en le voyant, l'ignorer ? l'embrasser devant tout le monde ? (comme ça il ne pourra plus nier), bouder ? attendre de voir comment il va réagir ?
Je suis complètement perdu, je le hais autant que je l'aime, parce que oui, j'ai le cœur brisé, mais je l'aime, plus que tout, je ne peux pas l'oublier aussi vite, et je ne sais même pas si je le veux...

J'arrive dans la salle du restau de l'hôtel, et repère immédiatement David et les 2 G qui me font de grands signes amicaux.
Mon cœur se sert... Il n'est pas là ... il n'est pas descendu prendre le petit déj' avec nous ...
Je ne fais aucune remarque sur son absence, je ne peux pas en faire devant David.... D'ailleurs je ne lui dis même pas bonjours, et les 2G le remarque immédiatement, mais ne disent rien.
J'aimerais que l'un des 2 me dise où est mon frère, pourquoi il n'est pas là... Mais je ne dis rien, comment si je n'avais pas remarqué son absence, comme si tout allait bien, comme si tout était normal...
David jubile ...
Georg me fait des clins d'oeil et des sourires qui en disent long... Je ne comprends pas ce qu'il veut. Pensant que je me fais prié, il me dit :

- Alors ? Raconte !

Et moi, comme un con, je lui réponds :

- Racontez quoi ?

Il me regarde l'air ahuri :

- Mais... les 2 canons de hier soir ? T'as déjà oublié ?

Merde, je suis trop con, je les avaient complètement oubliés, c'est vrai que j'ai pas été discret. J'avais pas songé une seconde au fait que tout le monde m'avais vu (tout le monde, sauf bill, d'ailleurs il ne doit jamais rien en savoir, jamais l'apprendre, ça lui ferait trop mal...) et que je devrais raconter tous les détails. David, lui, affiche un grand sourire, il, est certains d'avoir gagné, certains que ce n'était qu'une passade, qu'une erreur, et que j'ai retrouvé goût aux filles, mais il faudra bien qu'un jour il se fasse une raison, j'aime mon frère et personne d'autre, enfin je crois... Mais je ne suis plus assez fort pour l'assumer tout seul.

- Bin ... heu ... c'était pas mal ...

Cette réponse évasive, n'a pas l'air de satisfaire Georg, il veut des détails, et ne comprends pas que je ne lui en donne pas, comme à mon habitude.

- Aller Tom ! Raconte nous tout ! On veut des détails croustillant merde ! c'est pas tous les jours qu'on a 2 canons dans son lit ! Aller soit un pote ! raconte ! En plus Bill n'es pas là, il pourra pas gueuller ^^ cette féniasse à décider de prendre son déj' au lit et de reposer sa voix toute la journée, il nous rejoindra que ce soir.

Mon cœur ne fait qu'un bon ... Bill ... Je baisse les yeux, ils se remplissent de larmes, mais je ne veux pas que les autres s'en rendent compte, il faut que je me ressaisisse. Il m'a laissé, il ne veut pas me voir, refuse de m'affronter, il veut le faire ce soir sur scène, devant tout le monde. Mais on doit parler, je veux comprendre, je veux qu'il me regarde dans les yeux et me dise qu'il ne m'aime pas. Je veux me l'entendre dire.

- Bon, bin pour résumer les 2 filles de hier, elles étaient bien bonasses, je l'ai est regardé se tripoter entre elles, et après, je me suis fait les 2, et après elles ont fait ce qu'elles voulaient de mon corps et je peux vous dire qu'elles avaient de l'imagination à revendre ^^ . Je devrais faire ça plus souvent, c'est trop tripant ... Ou alors avec 1 autre mec et une fille, comme ça, on la prendrait chacun par un trou, ça peut être tripant, mais bon faut trouver le bon mec aussi, je me fous pas à poil devant n'importe quel mec moi ^^

Les 2 G ont l'air satisfait de mes explications, j'ai retrouvé mon air pervers, enjoué et satisfait, je suis content, j'ai réussi à inventer une histoire en 2 secondes chrono, et à passer des pleures à la discussion passionné, je suis trop fort. David à bien sûr tout écouté avec attention, espérant déceler un truc qui colle pas, mais il a l'air convaincu, il a juste tiré la gueulle quand j'ai parlé de 2 mecs pour une nana, mais s'est vite ravisé.
La journée passe très vite, on va dans la salle de concert, on fait les balances, Bill est là aussi, mais il se démerde pour ne pas croiser mon regard, pour qu'on ne soit pas seul, il m'évite, et moi j'en crève.

Bill 20avril 21h43

Voilà, le moment fatidique est arrivé, je l'ai évité tout le concert, je ne me suis pas collé à lui, je n'ai pas cherché son regard, je l'ai fuis. Mais maintenant je n'ai plus le choix, c'est lui et moi, seul, pour notre chanson.
Je suis assis sur mon tabouret, la tête baissée, je me concentre, je ne veux pas voir son regard, je ne veux pas l'affronter, pas maintenant, pas sur cette chanson, mais je n'ai plus le choix. Il arrive, s'assois à son tour, il est à 1m de moi, nos jambes pourraient se toucher, mais je suis recourbé sur mon tabouret, je m'y attache comme à une bouée de sauvetage. Il a la tête baissée, les 1ères notes résonnes, impossible de reculer... Ma voix tremble, je ne sais pas si je pourrais chanter, mais il le faut. Je ferme les yeux, et me laisse bercer par cette douce mélodie, et machinalement, je chante, toujours les yeux fermés, je lui chante cette chanson, notre chanson, je lui chante ma connerie, ma peur, mon amour, mes regrets, les larmes coules le long de mes joues, mais mes yeux sont toujours clos, je ne veux pas l'affronter, pas aujourd'hui, demain peut-être... Je suis trop faible, trop lâche ... c'est trop tôt. L'émotion est partout, j'entends des pleures, j'ouvre les yeux, les fans du 1ers rangs sont en larmes, sûrement de me voir pleurer, mon regard croise le leurs, elles me souries, tout en pleurant, je vois pleins d'amour, d'espoir dans leurs yeux, elles me donnes sans le savoir du courage, du courage pour me tourner vers lui, du courage pour risquer de croiser son regard. Lentement mes jambes se déplient, je me tourne vers lui, mais il a la tête baisser, comme s'il était concentré.
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MessageSujet: Re: [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23   [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 4 Icon_minitimeMar 1 Avr - 20:13

Nimm mich mit und halt mich *
Sonst treib ich alleine in die Nacht **

Ce n'est pas ce soir que je croiserais son regard noisette. Je ne vois que ses mains, qui glisses le long de sa guitare, ses mains si belles. Ses mains meurtrie. Je baisse la tête, je suis sûr que c'est ma faute ses marques sur ses doigts, je les reconnaîtrais entre milles, ce n'est pas la première fois que je les vois, je suis sûr que c'est de rage... il a dû se fracasser les mains contre un mur, comme il fait quand il est vraiment énervé ...
Je me hais... j'ai mal ... si mal ... J'aimerais tellement me racheter.
La chanson se finit, les autres arrive, on enchaîne sur rette mich... Sans un regard, sans un sourire. Je sèche mes larmes, et ne remarque pas, qu'il en fait de même.

22h30

Le concert est fini, les autographes en backstage aussi, il m'évite, il doit être furax, et je le comprends.
Mon cœur se serre, mais je tente de penser à autre chose, dans le van, Gustav fait le point sur le concert, pour lui tout était parfait, comme toujours d'ailleurs, sauf 2 ou 3 fausses note par ci par là, de Georg, il ne fait aucune remarque sur le fait que tom et moi, on ne se parles pas, il doit avoir compris que sa le dépasse.

0h23

Seul dans mon lit, je suis fatigué, triste, déçu et en même temps bien puni, après tout je l'ai bien cherché. Les larmes ne coulent plus, j'ai du vidé mon stock, et comme je ne mange plus rien, et ne bois plus grand chose, aucun risque que ça revienne.
La nuit me semble étrangement longue.

Bill Mannheim 21 avril 07 : 21h43

48h qu'on ne s'est pas parlés, 48h sans un regard, 48h sans un mot échangé, 48h que je souffres, 48h que j'en crèves, 48h que je me maudis d'être si lâche, 48h loin de lui, 24h que j'ai tenté ma première approche, 24h que c'est lui qui m'évite.
Ce soir je tente le contact, je suis plus détendu, je vais le faire, même si j'ai peur, même si j'en crève. Quitte à mourir, je veux que ce soit lui qui m'achève.

Wie lang könn' wir beide hier noch sein? ***

C'est le moment, mon cœur bât à 1000 à l'heure, mais je dois le faire...
Mon pied vient doucement, mettre un léger coup dans sa jambe...
On ne fait pas plus minable comme contact, mais au moins, il sera obligé de me regarder...

Un sourire se dessine sur ses lèvres,

Du bist ****

Il lève là tête vers moi,

Alles, was ich bin

Nos regards se croisent,

Und Alles, was durch meine Adern fließt

Je plonge mes yeux dans les siens,

Immer werden wir uns tragen

Et il fait pareil, on a tous les deux un sourire béas, on a l'air con, mais on est tellement bien, ses yeux, ce regard, ce visage, ce sourire, ça m?a tellement manqué ... je continue de chanter, mais j'en tremble, de joie, de bonheur, d'amour... une larme de joie coule le long de ma joue. Je suis si heureux.

Un coup de pied pour un regard, un coup de pied pour une complicité retrouvé, un coup de pied pour un sourire, un coup de pied pour un rire inaudible pour les autres mais qui résonne encore dans mon cœur, un coup de pied pour être sûr que tout ça est réel, un coup de pied pour l'amour, un coup de pied parce qu'on est seul au monde devant des milliers de personnes, un coup de pied parce que plus rien d'autre ne compte, qu'importe David, qu'importe les fans, qu'importe le monde tant qu'on est tous les deux. Un coup de pied pour tout retrouver, un frère, un confident, une vie, un amant, un amour. Un coup de pied pour un regard qui veut tout dire, qui est plus fort que tout, plus fort que les mots, plus fort que les actes.
Un coup de pied pour envoyer bouler le passé, un coup de pied pour tout oublier, un coup de pied pour voir briller les millions d'étoiles dans ses yeux...

* Emmène-moi et tiens-moi
** Sinon j'erre seul dans la nuit
***Combien de temps encore pouvons-nous rester là tous les deux?
**** Tu es
Tout ce que je suis
Et tout ce qui coule à travers mes veines
Nous nous soutiendrons toujours
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CHAPITRE 15

Si nos mains se cherchent et se retrouvent,
Si nos esprits se croisent et se découvrent,
Une envie de savoir que tu n'es jamais loin,
Tu sembles comprendre,
Ce qu'il y a entre nous,
De si fort, de si grand,
Ce qui nous tiens debout,
Tout me semble si facile,
Une voix qui résonne, qui murmure et qui crie,
Qui n'a jamais de cesse, que de rapprocher nos vies,
C'est pour ça que c'est toi...



Il suffit parfois d'un regard, d'un sourire, pour tout arranger, pour tout oublier... pour tout recommencer... pour se dire combien on s'aime...
Parce qu'un regard à bien plus de signification que tous les mots du monde...
Parce que les mots mentent, mais pas les yeux...
Parce qu'un regard est profond et qu'on peut s'y noyer...
Parce qu'un regard ne s'explique pas avec des mots...



Tom 21avril 07 : 21h46

Parce qu'on ne contrôle pas toujours ses émotions ...
Parce que nos sentiments prennent souvent le dessus et parlent pour nous ...
contre notre volonté ...
Parce que quand il m'a touché, j'ai frissonné et ma tête s'est levé,
Parce que quand j'ai vu ses yeux brillants, quand j'ai croisé son regard ... ce regard, que je fuyais depuis 55h et 07 minutes...
Que je fuyais parce qu'il me fuyait ...
Que je fuyais parce que je ne voulais pas le voir ...
Parce que j'étais furieux contre lui ... parce que je voulais le tuer ... parce que je lui en voulais ... parce que je ne voulais pas qu'il voit la colère dans mes yeux ... parce que je voulais pas affronté son regard ... Parce que j'avais peur de ce que j'allais y lire ...

Mais dès que je les aient croisés... Tous mes doutes, toutes mes peurs, toutes mes craintes, toute ma haine, toute ma colère, tout mon désespoir, toutes mes interrogations ... tout à disparue ...
Je ne voyais plus que lui, plus que ses yeux, plus que ce regard qui m'avait tant manqué ... je ne voyais plus que ses yeux noisette pleins d'amour, de désir, de passion, de peur, de regrets, ses yeux qui cherchaient le pardon ... Je ne voyais plus que ça ... plus que lui ... le concert, les fans, les cris, les lumières, la musique, tout a disparu ... je ne voyais plus rien, je n'entendais plus rien ... hormis le son de sa voix, hormis son amour ...
Je ne pouvais rien faire ... Je ne contrôlais plus rien ... Je ne voulais pas ... mais ma bouche là fait ... elle a sourie ... mes yeux se sont mis à briller ... Je l'ai aimé ... Je lui ai pardonné ...
Jamais ne n'aurais imaginé que tout soit si simple, si naturel, si évident ...
Les secondes m'ont semblé des heures, des heures de bonheur intense ... mes mains ont continuées à jouer ... sans que je ne puisses les contrôler ... je ne pouvais plus que le regarder, plus que lui sourire ... rien d'autre n'avait d'importance ...
On s'est compris ... en quelques secondes, on avait tout oublié ... certains diront que c'est impossible, que c'est trop rapide ... mais c'est parce qu'ils ne l'ont jamais vécu ... qu'ils n'ont jamais ressenti ce lien, cette magie ...

La chanson s'achève ... je n'arrive pas à me détacher de lui ... Les cris sont comme un son lointain ... un murmure ... je pose ma guitare, toujours plongé dans son regard, il pose son micro ... pendant un instant, j'ai espéré ... pendant une seconde, j'ai rêvé ... pendant une seconde, je nous ai vu, je l'ai vu s'avancer vers moi les yeux humides, pendant un instant je l'ai vu ses yeux pleins d'étoiles, pleins de désir ... Pendant un instant je nous ai imaginé nous embrassant avec passion... Ici ... devant tous ses gens, pendant une seconde, j'ai vu les flashs nous mitrailler ... Pendant une seconde, j'ai entendu des cris d'horreur, pendant une seconde, j'ai vu une photo de lui et moi, une immortalisation de cet instant magique à la une de tous les magasines... Pendant une seconde j'ai pensé que c'était vrai... Pendant une seconde, je me suis sentit heureux, libéré ... Pendant une seconde j'y ai cru ...
Mais il ne l'a pas fait ... Peut-être es-ce mieux ainsi ... Il s'est juste approché de moi, avec des yeux qui me hurlaient des je t'aime à l'infini, il m'a pris dans ses bras, me serrant fort ... Me murmurant des je t'aime, je t'aime, je t'aime, je t'aime, que seul moi pouvais entendre ...
Pendant une seconde, une larme à coulé le long de ma joue ... Une larme de joie, autant qu'une larme de désespoir, je l'avais retrouvé, mais il n'avait pas oser avouer au monde ses sentiments ...
Pendant une seconde, j'ai hésité ... j'ai voulu l'embrasser moi ... J'y ai pensé fort, mais je suis trop faible ... Je voulais que ce soit lui ... Je voulais qu'il avoue lui notre amour ... qu'il me le prouve ...

Doucement je redescends sur terre, les flashs m'éblouisses, les cris résonnes dans ma tête, mon frère me sert toujours, de toutes ses forces, et continu de me dire qu'il m'aime ... même si j'aimerais des actes ... des preuves ...
Mais j'ai la faiblesse de l'aimer ... Alors je l'attendrais ... j'attendrais qu'il soit près ...

Si on espère trop quelque chose, si on n'y rêve trop, si on l'imagine trop, si on l'attend trop, si on se réjoui trop ... On est forcément déçue ... parce que la réalité, n'est jamais à la hauteur du rêve...


Bill 21avril 07 : 21h50

Je vis un rêve éveillé ... Il m'a pardonné, on s'est aimé ... devant des millions de flashs qu'on ne voyais même plus ... Seul au monde ... Je ne regrette rien ... Si c'était à refaire, je le referais ... Je sais que je vais devoir affronter David, mais qu'importe ... Il n'arrivera pas à me séparer de lui une seconde fois ... j'ai eu trop de peine, j'ai eu trop mal ... j'ai même voulu en finir... Il est ma vie et me l'enlever, c'est me condamner ... Et comme personne ne veut ma mort, même pas moi, ils sont obligés de nous laisser nous aimer ...
Les 2G reviennes pour la fin du concert ... je ne sais pas vraiment si je suis en état de chanter, la salle est en transe, Georg me fait un sourire franc, il à l'air heureux qu'on se soit retrouvés, qu'on se fasse plus la gueule, que tout redevienne comme avant... Gus lui nous fait un clin d'oeil complice ... Je me sens en confiance, je me sens heureux, je me sens bien, et pendant un instant, je ne pense plus à rien, je ne pense plus aux conséquences, je ne pense plus à David, qui va nous tuer à la fin du concert ... Je ne sais pas si je suis prêt à l'affronter mais j'essayerais ...
Parce que j'ai décidé d'être fort, j'ai décidé de tout affronter pour lui, pour nous... J'ai décidé de l'aimer ...

22h23

Nous voilà dans la loge, assis sur un vieux canapé poussiéreux... Tout est fini, ce soir, c'est le grand soir, depuis notre sortie de scène, ma main n'a pas lâché la sienne. Je le veux près de moi, je veux ce contact, j'ai besoin de sa peau, de sa chaleur, de son odeur. Ma tête vient se blottir au creux de son cou au moment où David ouvre la porte...

N'ai pas peur petit homme, affronte le monde, affronte celui que tu redoutes, la partie ne fait que commencer... car le boss final ce n'est pas lui, le boss final est plus fort, plus grand, plus féroce, que tout ce que tu peux imaginer ... Si tu échoues ici, tu n'arriveras jamais plus loin ...
Courage petit homme ... tu peux y arriver...


Son regard se pose immédiatement sur le canapé...

Je tremble...

Son visage souriant et satisfait, se décompose ... Ses yeux s'emplissent de rage, de haine, de dégoût.... il fulmine, l'horreur se lie dans ses yeux...

Il me sert la main plus fort, pour me donner du courage, pour que je sois fort...

Sa bouche, s'ouvre et se ferme, comme quelqu'un qui chercherait de l'air ou ses mots...

Personne n'ose bouger, respirer... on attend tous la suite ... Moi avec peut-être plus d'appréhension que les autres ...

Il se décide enfin à parler ...

Les mots sont parfois plus lourds que le silence ...
Certains de nos mots, dépasses notre pensée ...

- Je croyais vous avoir interdit de vous revoir ! Je croyais avoir été assez clair !
Comment osez-vous ? Comment pouvez-vous ? Vous êtes écœurant !
Séparez-vous tout de suite ! plus jamais ça !
Georg ! Gustav ! sortez ! je dois parler avec les jumeaux !
Et si un journaliste était entrée ? hein ?
Et si vous vous retrouviez avec votre photo en 1ère page ?
Vous vous rendez compte que vous seriez pris pour des monstres ?
Vous ne vous rendez pas compte qu'ils vont vous détruire ?
Qu'ils s'acharneront contre vous ?
Qu'ils vous détruirons ?
Vous vous rendez compte des conséquences ?
J'ai pas l'impression que vous compreniez vraiment l'enjeux, les règles, vous n'en faites qu'à votre tête, mais ça ne se passera pas comme ça, je vais vous en empêcher...
Bill tu viens avec moi tout de suite, tu dormiras avec moi, dans l'autre hôtel et Saki prendra un matelas dans la chambre de Tom et ce jusqu'à la fin de la tournée !
Et c'est sans discussion !
Je vous aient laissés votre chance, vous n'avez pas su la saisir...
Alors je prends les choses en main, pour votre bien ...




Quand la peine est trop forte, quand la conviction est trop grande, quand on prend tout mal, quand ont à tellement peur qu'on écoute même plus ce que les autres nous disent, on ne se rend pas compte, qu'ils ne disent pas que des mensonges, que certaines choses sont vraies, et que tous ses reproches, tous ses conseils, sont en faite pour notre bien ...
Parce qu'aimer, c'est parfois être cruel...



Sa voix est cassée, à force de hurler, sa rage s'est calmée ... enfin un peu ...
Sa main toujours dans la mienne, je sens qu'il a peur ... Peur que je cède, peur que je l'abandonne encore une fois, peur que je sois faible, peur que je me lève et que j'accepte dans rechigner ...
Et j'avoue que pendant 1 seconde, j'y ai pensé, j'ai pensé à tout arrêté, David à raison, on est des monstres, mais on s'aime ... 2 monstres qui s'aiment ...
Mais je tourne la tête, et croise les yeux de mon double, plein d'appréhension, de peur, et je lui souris ... je lui fais comprendre, que cette fois-ci je ne me laisserais pas faire, que cette fois-ci je serais fort, fort pour moi, fort pour lui, pour nous deux, pour me prouver que je peux le faire ... Parce que j'ai peur, mais que je sais que ma vie se joue ici, que mon avenir, notre avenir, se joue là, que ma réaction, mes paroles, cèleront notre perte ou notre victoire...
Mon cœur bât, ce qui prouve que pour l'instant je ne suis pas encore mort, mais il n'a jamais battue aussi vite, j'ai peur, je stresse, je suis tétaniser ... d'ailleurs je ne suis pas le seul, les 2G, n'ont toujours pas bougés d'un pouce... David fulmine ... Il attend une réaction ... un geste une parole ...
Je ne sais pas depuis combien de temps on est tous là ...
Mes yeux se plonge dans ceux de mon manager, et là sans que je comprenne comment, sans que je puisse le contrôler, le courage m'envahie, à cet instant je sais que je vais réussir, je sais que je vais en ressortir gagnant ...
Et d'une voix calme et ferme, j'articule :

- Il en est hors de question. Tu m'as déjà eu une fois. Pas deux. Tu ne peux pas nous séparer, tu n'as pas ce pouvoir. Si tu oses faire ça, c'est fini. Tokio Hotel, la tournée, tout. J'abandonne tout et je pars avec lui. Et si tu me réponds qu'on est encore sous contrat et que j'ai pas le choix, alors je resterais, mais je ferrais tout fouarer, et tu seras la riser de la profession, vu que y a que ça qui compte à tes yeux. Alors c'est soit Tom et Moi, soit plus rien du tout.

La pression retombe, je me sens léger, libéré, je sais que quoi qu'il arrive j'ai gagné. Dans tous les cas, je suis heureux. Je sais que la scène me manquera, mais Tom est plus important que ça, il est au-dessus du reste.

Les 2G, on les yeux grands ouverts, ils ne comprennent pas... David me fixe sans comprendre, il a l?air perdu...

- Tu ne peux pas, tu n'as pas le droit, et de toutes façons tu aimes trop ça, cette vie, pour tout faire fouarer !

Je souris, et étrangement, je suis très calme... et je lui réponds

- Non, j'aime cette vie, c'est vrai, mais j'aime Tom encore plus. Et si tu crois que ça me plait de tenir ce rythme de dingue, de jamais savoir dans quel pays je suis, de devoir toujours sourire, posé devant les photographes, de devoir toujours répondre aux mêmes questions, de devoir me justifier de tout... De plus voir ma famille, mes amis ... de plus pouvoir sortir dans la rue. Tu te trompes ...

Voilà c'est dit, je me tourne vers mon reflet, et il me sourit, il est heureux, je l'ai fait, il est fière de moi, et je vois dans ses yeux l'amour et le remerciement...

Et comme pour répondre à la question implicite des 2G, sa main se détache de la mienne, et viens caresser ma joue, je ferme les yeux... soupire ...
Le monde à disparu... il n'y a plus que nous ...
Son visage s'approche du mien, nos nez se font un bisou papillon, nos lèvres se touche, sa main vient dans ma nuque, et notre baiser s'approfondit...
On est heureux ...
Hors du temps, hors de l'espace, hors du monde ...
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MessageSujet: Re: [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23   [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 4 Icon_minitimeMer 2 Avr - 18:17

Citation :
Hors du temps, hors de l'espace, hors du monde ...
Oh putain cette dernière phrase c'est splendide

J'aime tout simplement ce dernier chapitre, il est magnifiquement bien écrit, et puis Bill a sû prendre les devants et assumer devant David, devant Georg, devant Gus'
Mais le plus dure reste à venir.. ils devront affronter le regard des gens, enfin je ne sais pas comment ça va se terminer, et j'attends la suite pour le savoir, mais sache que ces deux chapitres sont vraiments sublimes

I love you
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MessageSujet: Re: [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23   [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 4 Icon_minitimeMer 2 Avr - 19:22

merciii Smile
ravie que sa te plaise ...
j'avoue que moua aussi, j'aime cette partie ... tu vois bill n'est pas un connard finalement ... ni tom ...
ils sont juste humain ^^
je vais chercher la suite
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MessageSujet: Re: [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23   [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 4 Icon_minitimeMer 2 Avr - 19:24

voilà la suite ^^, j'espère qu'elle vous plairas, je l'ai écrire en partie dans l'avion, en partie assise sur un lit à toulouse, toute seule dans un appart' géant et totallement vide à me faire chier ... alors plus je le lis, plus je l'aime pas ... c'est pour ça que j'arrête de la lire ^^

[FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 4 Banierechapitre16fi4


Ich habe einen Schatz gefunden
J'ai trouvé un trésor

Und er trägt deinen Namen
Et il porte ton nom

So wunderschön und wertvoll
Si merveilleux et précieux

Und mit keinem Geld der Welt zu bezahlen
Et tout l'argent du monde ne pourrait l'acheter

Du schläfst neben mir ein
Tu t'endors à côté de moi

Ich könnt dich die ganze Nacht betrachten
Je pourrais te contempler toute la nuit

Sehn wie du schläfst, hörn wie du atmest
Voir comment tu dors, Ecouter comment tu respires

Bis wir am Morgen erwachen
Jusqu'à ce que nous nous réveillons le matin

Hast es wieder mal geschafft, mir den Atem zu rauben
Tu as réussi, comme toujours à me couper le souffle

Wenn du neben mir liegst, dann kann ich es kaum glauben
Lorsque tu te trouves à côté de moi je peux à peine le croire

Dass jemand wie ich, so was schönes wie dich Verdient hat
Que quelqu'un comme moi ai mérité quelqu'un d'aussi merveilleux que toi

Du bist das Beste, was mir je passiert ist
Tu es le meilleur qui me soit arrivée

Es tut so gut, wie du mich liebst
Ca fait tant de bien comme tu m'aimes

Vergesst den Rest der Welt
Oublie le reste du monde

Wenn du bei mir bist
Quand tu es avec moi

Du bist das Beste, was mir je passiert ist
Tu es la meilleure chose qui me soit arrivée

Es tut so gut, wie du mich liebst
Ca fait tant de bien comme tu m'aimes

Ich sag's dir viel zu selten
Je te le dis bien trop rarement,

Es ist schön, dass es dich gibt.
C'est merveilleux que tu sois là

Dein Lachen macht süchtig
Ton rire me rend dépendant

Fast so als wär es nicht von dieser Erde
Presque comme s'il ne venait pas de ce monde

Auch wenn deine Nähe Gift wär
Même si tu émanais un poison

Ich würd bei dir sein, solange bis ich sterbe
Je serais près de toi jusqu'à ce que je meurs

Dein Verlassen würde Welten zerstörn
Ton départ détruirait mon monde

Doch daran will ich nicht denken
Mais je ne veux pas penser à cela

Viel zu schön ist es mit dir
C'est merveilleux avec toi

Wenn wir uns gegenseitig Liebe schenken
Quand nous nous échangeons de l'amour

Betank mich mit Kraft, Nimm mir Zweifel von den Augen
Je me recharge en force, mes doutes disparaissent

Erzähl mit tausend Lügen, ich würd sie dir alle glauben
Raconte mois 1000 mensonges, je les croirai tous

Doch ein Zweifel bleibt
Mais il reste un doute,

Dass ich jemand wie dich verdient hab
Es-ce que quelqu'un comme moi te mérite

Wenn sich mein Leben überschlägt
Si ma vie s'estime

Bist du die Ruhe und die Zuflucht
Tu es le repos et le refuge

Weil alles was du mir gibst
Parce que tout ce que tu me donnes

Einfach so unendlich gut tut
me fait du bien de manière infinie





Tom 21avril 22h45

Je suis si heureux, un sourire béas sur mes lèvres (décidément il ne me quitte plus), ), mains dans la main avec l'homme que j'aime, je sais que plus rien de nous séparera, jamais. Je sais que David à comprit qu'il avait perdu, et qu'il est obligé d'accepter. Je suis tellement fière de mon petit frère.
Perdu dans mes pensées, je ne vois même pas les yeux ronds des 2G, ni le sourire qui se forme sur les lèvres de Georg, ni le « Ja » de victoire de Gustav. C'est la voix calme et neutre de David qui me sort de mes pensées.

- Bon, votre choix est fait, vous aller devoir assumer les conséquences de vos actes, je vais prévenir les autres et votre mère, à moins que vous ne vouliez le faire vous-même.
Je vous vous demanderez juste, comme une dernière faveur de rester discrets, de cacher votre relation, le plus longtemps possible.
Enfin... faite comme vous voulez... de toutes façons vous ne m’écoutez plus. Je vous aurez prévenus, j'aurez fait tout ce que pouvais pour vous empêchez de gâcher votre vie.
A la fin de la tournée, vers novembre, je vous quittes.


Le silence est complet, David s’arrête de parler quelques instants, pour se ressaisir sans doute.. l’émotion qui émane de lui est si forte ... Lui qui nous aient toujours apparut, comme un roc, comme quelqu’un qui ne flanche jamais, qui sait toujours ce qu’il faut faire, qui ne laisse jamais gagné par l’émotion ... On le découvre sous un autre jour ... peut-être plus humain ... il est triste, vulnérable, il essaye de paraître, neutre, fort, mais les larmes perles aux fond de ses yeux ... Il est triste ... c’est la voix tremblante et résigné qu’il continu ...


je ne souhaite plus être votre manager, je suis vraiment désolé. Mais je ne cautionne pas l'inceste, et je dois avouer que ça me dégoûte, de vous voir vous embrasser, je trouves ça immorale et légèrement immonde.

Je sursaute légèrement ... immonde ? immorale ? partir ? ses mots se bousculent dans mon esprit ... Je le regarde suppliant, comme si un regard pouvait le faire changé d’avis ... comme pour le supplier de rester ... comme pour lui demandé si j’ai bien entendue ....
Ses yeux croisent les miens ... mais ils les détournent bien vite ... il baisse la tête ... sans doute la douleur et la honte ...

Si je ne pars pas sur le champs, si je ne déchire pas vos contrats dans la seconde, c’est uniquement parce que contrairement à ce que vous pensez peut-être, je vous aime bien... je reste en souvenir du bon vieux temps, mais tout est fini.

Fini ... Fini ... si je n’étais pas assis je m’effondrerais sur place ... comment ? comment es-ce possible ? comment peut-il ? s’il nous aimes autant qu’il le prétend, pourquoi nous fait-il ça ?
Ce mot résonne dans ma tête, comme une sentence irrévocable ...
Je suis coupable ... fautif ... tout est de ma faute ...

Ça m'attriste que notre histoire, se finisse ainsi, et croyez que j'ai beaucoup réfléchie à la question avant de prendre ma décision et qu'elle fût douloureuse...
Je vous laisse, vous connaissez le chemin, le van vous attends à la porte de derrière, comme toujours.

A ses mots, il quitte la pièce ... Sans se retourner ...
Ça fait mal ... Très mal... trop mal ... Même si on a gagné, même si je devrais être heureux, je ne peux pas m'empêcher d'être mal, de me sentir fautif. David nous quitte ... je n'ai jamais voulu ça ... Même après ce qu'il a fait. Je l'adore, il a toujours était là pour nous, depuis le début toujours à veiller à notre bien être, il nous connaît mieux que personne... Comment travailler avec quelqu'un d'autre ?
Je me sens mal ... très mal ... peut-être trop mal ... le silence laisse place à l’incompréhension ... j’aimerais réfléchir à ce qui vient de se passer, mais on ne m’en laisse pas le temps, la réalité revient à moi.
C'est Gustav le 1er a parlé,il n’a pas l’air surprit, choqué, triste, comme si David n’avait rien dit, comme s’il ne s’était rien passé, au contraire il est content, le sourire aux lèvres, tout ému, comme s'il savait tout depuis le début...

- Alors là ! Si on m'avait dit que t'étais Gay Tom ! tu caches bien ton jeu !

Je souris et tout le monde éclate de rire ... au moins il a détendu l’ambiance.

Nan plus sérieusement, je suis content pour vous. Un peu étonné quand même, mais je pense que si vous avez fait ce choix, c'est que vous y avez bien réfléchis, moi je veux que votre bonheur, et pis vous êtes tous chou tous les deux, vous débordez d'amour et ça fait trop plaisir à voir.

Je me retourne vers Bill et on se souris ... nos mains se sont retrouvé naturellement ... les yeux de Bill sont humides... je sais que lui aussi souffre du départ de David, mais qu’il est heureux que les 2G soient enfin au courant ... comme ça, plus besoin de se cacher, plus besoin de flipper et d’épier le moindre bruit suspect...
Nous qui avions peur de leurs réactions, je vois qu’on avait tout faux...

Je vous vois un peu différemment, enfin je pense, parce que même si j'accepte, que je vous soutiens et tout et tout, il me faudra un peu de temps pour me faire à l'idée que mes twins préférés sont gay ^^

Nouvel éclat de rire dans la salle...

Pour ce qui est de l'avenir de Tokio Hotel, franchement, je vous fais confiance pour rester discrets, ou faire une annonce public.
j’espère juste que ça va pas faire un scandale ... que ça vous nuira pas... et même si c'est le cas, tant pis, on s'en remettra. Comme toujours et puis on a des fans cool et ouvert donc tout devrait bien se passer. On est potes et ça changera jamais, je vous aimes les mecs.

Que répondre à ça ? c'est tellement sincère, tellement encouragent, ça nous donne des forces, ça nous remotive, un de nos meilleurs potes nous accepte sans problème, sans poser de question, sans dégoût, il ne nous voit pas comme des monstres, mais toujours comme ses meilleurs potes, et il nous soutient, que demander de plus ?
Je souris et je sais que Bill aussi.

- Bon maintenant c'est mon tour de parler... En même temps, quand on passe après Gus' que dire de plus ? je suis d'accord avec tout ce qu'il a dit. Je suis juste triste que David parte, enfin il peut encore changer d'avis d'ici novembre, mais voilà, je suis juste choqué, de son attitude, franchement ça se fait pas.
Je crois que je viens de comprendre, pourquoi il vous a pris à part dans le tourbus, et
pourquoi Tom t'en est ressortis dans un tel état, et que tu t'es fracassé les mains ...
Et peut-être même que je comprends pleins de choses en plus...
Bref les mecs, je vous aime et je veux vous faire un gros câlin à tous les deux.


A ces mots, il écartes ses bras ... ils paraissent si protecteurs... qu’on a qu’une envie, s’y blottir...
On se regarde tous interloqués, et ont se marre, Georg qui veut un câlin, on aura vraiment tout vu, en tout cas il a réussi à nous faire retrouver notre bonne humeur, et on se marre à se faire un câlin géant. Je ne suis même pas jaloux que bill les prennent dans ses bras, qu'il les serrent fort, je le comprend et même ça m'attendris.
Je les adore vraiment ses 2 là, je ne sais pas ce que je ferrais sans eux.



Ils avaient attendu ce moment depuis si longtemps, ils avaient eu du mal à se retenir à la fin du concert, leurs envies n'avaient jamais été aussi forte, aussi frustrée, le manque était trop grand, ils n'en pouvaient plus, voulant faire tout, tout de suite, se toucher le plus vite possible, s'embrasser, s'aimer ... Tout ça, en même temps, ils voulaient du bestial, du brutal, de la violence ... Ce n'était pas dans leurs habitudes, mais c'est le seul moyen qu'ils avaient trouvés pour les aider à combler ce manque...
Une fois à l'hôtel, ils n'eurent pas un regard pour leurs fans, pas un sourire... Seuls leurs désirs comptaient... Il leurs fallaient se cacher le plus rapidement possible ... Ils ne purent rien faire dans l'ascenseur car il était bondé, mais sans doute, l'auraient-ils bloqués pour être enfin seul...
Aucun autre couloir ne leur paru aussi long que celui-ci...
Enfin ils y arrivaient...
Chambre 329 ...
Tom referma la porte du pied pendant que son double s'emparaient de ses lèvres et que ses mains déshabillaient bill en caressant toutes les parties de son corps qui s'offrait à lui.
Des baisers brûlant... des mains baladeuses... des préliminaires bâclés, voir inexistant...
La douleur se fit d'un côté comme de l'autre... aussi forte que leur désir, 2 cris perçants dans la nuit... puis une série de soupirs, de gémissements, d'orgasmes... Encore et toujours plus...
Ils leurs en fallaient plus, leurs envie ne s'atténua qu'au matin et la fatigue les gagna...
Mais ils ne purent fermer les yeux... Allongés l'un contre l'autre, leurs corps en sueur, ils réfléchissaient... perdus dans leurs pensés respectives...



Tom 22avril 07 6h08

Allongé côte à côté, les bras croisés derrière la tête, dans notre grand lit, dans cette chambre d'hôtel, après une nuit passionnel, une nuit que l'on attendaient depuis longtemps, depuis environ 56 heures, soit une éternité quand on s'aime, une question me vient à l'esprit. Je contemple le plafond, et je sais que lui non plus ne dort pas. Ma voix brise le silence de la pièce, elle tremble un peu, j'appréhende la réponse, autant que je la désire.

- Pourquoi tu as changé d'avis ? pourquoi as-tu décidé d'être fort ? De nous défendre ? Tu veux que le monde sache pour nous ? Tu veux faire une déclaration officielle ?

Mon cœur s'accélère, j'ai peur de la réponse, j'ai peur qu'il n'ose pas l'avouer au monde, que ce soit trop tôt pour lui... Le regard toujours fixé sur le plafond, je le sens se retourner vers moi, il se met de côté, en appuis sur un coude.

- J'ai fais ça, Parce qu'un jour, je t'ai dit, que tu étais tout pour moi, que tu étais au dessus de la musique, au dessus du chant, au dessus des fans, au dessus des disques d'or, au dessus de la célébrité, au dessus de la scène, au dessus du public, au dessus de l'argent, au dessus du succès, au dessus de ma vie...
Et ces derniers temps j'ai eu une fâcheuse tendance à l'oublier... Mais maintenant
c'est fini ... Tu m'as trop manqué, sans toi, je suis vide, fade, mourrant... sans toi ma
vie n'a plus aucun sens, plus aucune saveur...
Je t'aime Tom, plus que tout au monde, plus que ma propre vie, et je veux que tout le
monde le sache... mais pas tout de suite.
Je suis conscient que ça compte pour toi, que tu tiens à tout ça, à ce que tout soit clair, alors je te laisse le choix. De le dire ou pas. Fais comme tu le sens, fais ce qui te semble le mieux, je te soutiendrais, quoi qu'il arrive.

Sa voix ne tremble pas, elle paraît sereine, claire, décidée... Mais je sais qu'au fond de lui, il a peur, peur qu'à la première occasion j'avoue tout, que je me soulage enfin de ce secret...
Ma décision est prise depuis longtemps...
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MessageSujet: Re: [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23   [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 4 Icon_minitimeMer 2 Avr - 19:24

26avril 2007 Berlin 23h49 debout devant la fenêtre de la suite

Le concert au Vélodrome à été magique ... J'adore Berlin, cette ville est pleine de mystère, mais en même temps elle n'a plus de secret pour nous. Quand on étaient petit on venaient souvent ici, et on adoraient flâner dans ses rues chargé d'histoire, et depuis peu refaite à neuf, avec de grand building en verre et à forme vraiment original partout. Dans cette ville, je me sens libre, fort, au-dessus du monde...
Ce soir ont dort au Ritz, celui qui surplombe la Potsdamer Platz, c'est peut-être de là que vient mon sentiment de dominer le monde, en plus la vue est magnifique.
Quand je pense que quand on étaient petit on passaient devant cet hôtel avec admiration quand on allaient aux « tape-cul » géant sur Linkstraße et que Bill me disait à chaque fois, ses grands yeux remplient de rêves et d'espoir : « Un jour, je serais une star, et si tu veux, tu seras une star avec moi, et un jour on dormira là dedans... » il ne croyait pas si bien dire ...
Je me demande s'il s'en souvient...
D'ailleurs je l'entends qui arrive derrière moi, il sort de la douche et s'approche doucement de moi en espérant que je ne l'ai pas entendu, mais c'est peine perdue, je sens sa présence, je sais quand il est là ou pas, mais je le laisse faire, après tout, si ça peut lui faire plaisir.
Ses bras m'enlace la taille, et son menton se pose sur mon épaule. Il ne dit rien, lui aussi observe la vue, je sens son souffle dans ma nuque, son corps nu est encore chaud, et contraste avec ma peau, ce qui me provoque d'agréable frisson. On pourrait rester là des heures, l'un contre l'autre à regarder la rue, les voitures, la station de métro, les gens... L'illumination du Sony Center passe au bleu quand bill brise le silence à me demande :

- Tu crois qu'ils sont encore là ?
- Quoi ?
- Les tape-cul...

Une minute de silence... Puis il reprend d'une voix rêveuse :

C'est trop con, mais ce soir, j'ai une folle envie de redevenir un gosse, qu'on sortent dehors, qu'on rient pour un rien, qu'on fassent les cons, et qu'on aille faire des balançoires pour se souvenir du bon vieux temps... d'être libre en somme... d'être un ado normal ... qu'es-ce que t'en dit ?

Un sourire se dessine sur mes lèvres, et amusé je lui réponds :

- On n'est pas jumeaux pour rien nous deux ... je pensais justement à ça...
Mais t'as pas peur que ça tourne mal ? comme à Paris je veux dire ... tu penses pas
que David nous fait surveiller ?
- Nan, et franchement, je m?en fou, qui peux nous empêcher de nous éclater hein ? Et je pense que David à bien comprit le message, même s'il nous évite depuis 2jours.

10minutes après la fin de cette conversation, nous sommes fin prêts, à affronter le froid d'une fin avril. Gus et Georg nous ont rejoints emballés par l'idée d'une escapade nocturne après le couvre feu. Bras dessus bras dessous, nous quittons le tapis rouge du hall d'entrée, le portier nous dit bonsoir et nous souhaite bien du courage. D'après lui, nous ne sommes pas assez habillés, mais nous ne l'écoutons déjà plus, nous sommes heureux, le vent sec et froid nous glace jusqu'au sang, mais l'excitation est plus forte que tout, on brave un interdit, on est seul dans la rue tout les 4, comme on ne l'a plus été depuis bien longtemps. On délire, on se court après, on se taquine, on fait la course jusqu'à la « motte d'herbe » juste à côté des balançoires.
C'est comme dans un film, ou un rêve, on rient des conneries des uns et des autres, on hurles, parce que l'air de rien la « tape-cul » ça fait mal, en plus ceux là, font au moins 10metres de long, alors pour se parler d'un bout à l'autre, t'es obliger de hurler, ce que l'on ne se prive pas de faire.
Ça doit faire 10 ans, qu'on a plus fait de « tape cul » et j'avais oublié que tu faisais des bons de 3 mètres ... et que ça faisais si mal ... mais la douleur n'es rien, car à cet instant plus rien n'a d'importance. Les rares passants, nous dévisages ou nous sourient attendris par nos enfantillages, en même temps, ils ont l'air de nous envier...
Ça fait tellement du bien, d'évacuer la pression, de se foutre de tout, de sortir tous les 4, de se marrer... Le temps passe hyper vite et nos lèvres virent au bleu... On doit rentrée se mettre au chaud sous nos couettes.
Je m'endors contre Bill le sourire aux lèvres.

Le bonheur tient parfois à si peu de chose.
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MessageSujet: Re: [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23   [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 4 Icon_minitimeMer 2 Avr - 19:25

Chapitre 17

[FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 4 Banierechp17ok7


Sie lassen uns keine Wahl?
Ils ne nous laissent pas le choix

Sie wollen dass wir uns nie wieder sehen?
Ils ne veulent plus jamais que nous nous revoyons

Sie trennen uns - sie zwingen uns?
Ils nous séparent - ils nous forcent

Diesen Weg hier durchzustehen??
A être loin L'un de l'autre

Was wir haben ist so stark?
Ce que nous avons est si fort

Wir werden nicht alleine fliegen?
Nous ne volerons pas seuls

Was wir haben ist so groß?
Ce que nous avons est si grand

Wir werden miteinander siegen?
Nous allons vaincre ensemble

Was wir sind was wir tun?
Ce que nous sommes, ce que nous faisons

Wird nur in unsren Händen liegen?
Sera uniquement entre nos mains



Tom 30 avril 07 13h56 Studio ZDF à Hambourg

Ça y est... le moment est venu... Mon cœur bat à 100 à l'heure, mes mains sont moites, mais je sais que c'est ma dernière chance, je dois le faire, même si j'en tremble, même si les conséquences vont être terrible. J'ai attendu ce moment, tellement longtemps ...
On est à la télé, sur une chaîne nationale et en direct, donc aucun moyen de couper, de censurer, de déformer ce que je vais dire. Je sais qu'elles sont des milliers de fans, devant leurs postes de télé, à hurler comme des dingues.
Je sais aussi que le présentateur, va forcément parler de la sexualité de Bill, en effet, c'est un thème récurant et qu'on avait toujours réussi à dévier, mais maintenant que tout le monde sait qu'il est gay, il va falloir avouer.
D'ailleurs l'info circule pas mal, à fait 2 ou 3 gros titre, mais pourtant on a aucune répercussion négative. C'est ce qui me donne un peu de courage...
Le présentateur, commence à parler, il a les yeux qui pétilles, comme celui qui tient un gros scoop, comme celui qui va réussir à faire avouer à Bill Kaulitz ce que tout le monde soupçonne... Il en est fier ... même s'il fait semblant, d'être gentil et attentionné mais je sais qu'il veut son scoop et à n'importe quel prix...

- D'habitude on parle beaucoup de la sexualité de Tom,.. mais aujourd'hui une question est sur toutes les lèvres. Et celle de Bill ? On note que vos compagnons arrivent toujours à détourner le sujet et quand ils n'y arrivent pas, vous répondez que c'est de l'ordre du privé. On aimerait que vous répondiez ce soir.
Il y a des rumeurs, qui circules sur le fait que vous soyez gay, vous l'aurez déclaré à un magasine suédois. Ce n'est pas les premières rumeurs de ce genre qui circule sur votre compte et que vous démentissez, mais c'est la 1ère fois, que les gens on l'air d'y croire, et depuis quelques temps, il y a même l'extrait audio de cette fameuse interview qui circule sur Internet. Alors qu'en est-il vraiment ?

- Un enregistrement vous dites ? Je ne l'ai jamais entendu. D'ailleurs si vous l'avez, vous devriez savoir que je n'ai pas dit, que j'était homosexuel, j'ai dit que j'avais déjà couché avec un garçon, ce qui est légèrement différent.


Bill ferme les yeux, respire un grand coup, puis reprends.

- Depuis le début, à cause de mon look et de mes manières, on m'accuse d'être gay, et j'ai toujours démentie parce que ce n'était pas vrai.
Mais il est vrai ... que depuis quelque temps, je me suis rendu compte qu'il y a effectivement un homme qui m'attire.
Je ne suis pas gay, dans le sens où tous les hommes ne m'attirent pas, et où je continu à trouver les filles assez attirantes, mais je ne suis amoureux que d'un seul homme. Je suis donc en quelque sorte Bi.

Bill à l'air satisfait de son petit discours, je sais qu'intérieurement il stress, il a peur, mais il paraît serein, il affiche même son sourire préfabriqué, celui qui paraît naturel et qu'il fait sur tous les posters.
Hurlement dans la salle... c'est la panique chez les fans, certaines filles pleurent, hurlent, nous huent... et je sais qu'elles sont des milliers devant leurs télé à faire pareil... je sais qu'elles y croyaient toutes, que toutes pensaient que mon frère allait leurs tomber dans les bras, et franchement pendant 1 seconde, je les plains et je ressens leurs douleurs... mais l'important n'est pas là ... du moins pas encore ... le moment est bientôt arrivé....

- Ha !! ça c'est une révélation ! et pouvons-nous connaître le prénom de l'heureux élu ?
Comment vous vous êtes rencontrés ? avec votre emplois du temps surchargé ?
vous qui n'avez pas été amoureux depuis près de 2ans, je suis curieux, de connaître le
nom de celui qui a pris votre cœur.

- Désoler mais ces informations sont privés.


C'est là, que j'interviens... je jubile... c'est très excitant ... Personne n'est au courant de ce que je vais faire et pour l'instant tout se déroule comme je l'avais imaginé... je me mord la lèvre, change de position et articule d'une voix claire, forte, perverse et impatient.

- En fait ... je peux répondre moi à la question ...

Tous les regards se tourne à présent vers moi, les 2G sourient, le présentateur, ne comprends pas pourquoi j'interviens alors qu'il interview Bill... d'ailleurs lui me regarde terrorisé ... il ne sait plus ou se mettre, il sait ce que je m'apprête à faire ... Quelque part, il l'a toujours su, il savait très bien, qu'à la première occasion, j'allais tout déballer ... mais il m'a promit de me soutenir, promit qu'il respecterait mon choix, quoi qu'il arrive. Il se cache le visage avec les mains, comme pour disparaître, comme un enfant, qui veut devenir invisible aux yeux des adultes.

- Voilà, je sais que ça va en surprendre plus d'un, et peut-être même que vous allez être choqués, mais je me devais de le dire, parce que j'ai toujours été honnête avec vous, parce que je ne fais pas ça à la légère, parce que j'aimerais que vous vous souveniez, que le plus important dans ce que je vais dire, c'est l'Amour...
L'Amour est au dessus, de tout, de la moral, des normes ... et que de l'amour on en a...
Ce que j'essaye de dire, c'est que Bill et Moi, on est ensemble.
C'est moi, celui qui est volé son cœur, et il a volé le mien... Je sais que vous pensez tous que j'aime les filles et que j'en change tous les jours, et c'est vrai ...
Enfin c'était vrai ...
Bill à tout changé ... ça s'est fait par hasard, j'ai jamais été attiré par les mecs, et encore moins par mon frère... jusqu'à y a 116jours, j'ai tenté de refouler cet amour, mais ça n'a pas marché... parce qu'il est plus fort que tout ...
Je tenais à préciser que je ne suis pas Bi non plus, je l'aime juste lui....
J'espère vraiment que vous comprendrez...

Je souris, soulagé, heureux, satisfait parce que ce n'était pas si dur que ça à dire, l'impression du devoir accomplis, l'impression que j'ai bien fais d'avoir dit la vérité.

Le silence est total, le public n'en revient pas, le présentateur non plus, ils veulent tous être sûr de bien avoir compris. Comme s'ils n'arrivaient pas à le croire, comme si leurs cerveau refusait de l'admettre, de le comprendre, de l'intégrer, de le digérer...

Puis tout deviens floue dans mon esprit, je ne suis plus moi-même, je crois que je fonctionne par automatisme... comme si j'étais spectateur de ma propre vie ... comme si je ne contrôlais plus rien, ce que je dis, ce que je fais ... ce ne sont plus mes mots, plus mes gestes, plus moi ...
Je me souviens juste du hurlement d'horreur du présentateur, du regard méprisant de celles qui y a encore 2minutes m'admiraient, me vénéraient, celles qui auraient tout donnés pour un regard.
Ces yeux qui me regardaient avec admiration et passion... J'y vois du dégoût, de l'incompréhension, du mépris, de la haine, de la peur, leurs regards passent alternativement de bill à moi, comme si on allaient se lever en hurlant poissons d'avril !
Je ne sais plus ce qui se passe après... je crois que le présentateur ordonne la page de pub... Je nous vois jetés des studios comme des malpropres, sous des regards méprisants... Et toujours ses cris... ses regards ... ils me hantent... il en vient de partout... j'ai l'impression que le studio entier nous rejette... je ne comprends plus rien... et ses hurlements ... ses insultes ... ses coups ... de tous les côtés...

Bill 30 avril 07 14h11 Studio ZDF

Ça y est, le pire et passé... Je crois même que je m'en suis plutôt bien sortie, je n'ai pas tremblé, j'ai semblé sur de moi, convaincu... j'en ai dit mais en même temps pas trop, tout est parfait.
Mais ?
Qu'es-ce qu'il fait ?
Pourquoi ?
Tom !
nooooooooooooooooonnnnnn ...
Je sais ce qu'il va dire .... je pourrais deviner chacune de ses phrases ... chacun de ses mots... C'était un risque ... mais je ne pensais pas qu'il le ferait ...
Pas si tôt, pas en pleine tournée... pas sans m'en parler ...
Je ne veux pas voir ça ... le carnage de notre vie ...
Au lieu d'attendre la réaction de ma pseudo homosexualité, il balance la vérité d'un coup... de but en blanc. C'est du Tom tout craché... Agir avant de réfléchir...

Me cacher, partir en courant, disparaître... voilà les seules choses qui me viennent à l'esprit, mais je ne peux rien faire, mes muscles refuse de m'obéir... et puis j'ai promis ... promis de le soutenir ... quoi qu'il arrive... quoi qu'il dise... quoi qu'il fasse... je lui ai laissé le choix...
Alors démuni, je l'écoute, la tête plongé dans mes mains...

Je me pleure pas, j'ai juste envie de disparaître, envie de ne jamais avoir gaffer... Envie que tout soit comme avant ...

Il dit que l'on s'aime depuis 116jours ... Il les a compté ? Tom a compté les jours ? lui ? mes mains quittes mon visage, pour me permettre de le regarder, les yeux ronds...
Mon cœur se réchauffe, s'emballe un peu plus ... il est vraiment ... trop mignon ... adorable ... j'ai envie de me lever, de le prendre dans mes bras, de l'embrasser ... de l'aimer ... de lui dire merci, merci d'être lui, merci pour ce qu'il dit, merci pour ce qu'il fait ... merci d'être encore plus romantique que moi ... Mais ma joie laisse vite place à la réalité de la situation ... on est à la télé en direct, et Tom me fait une déclaration ...
Je scrute la salle inquiet ...
J'angoisse ... et pour une fois mes peurs sont fondées...
Le public ... en une fraction de seconde...
Les cris, les injures, les insultes, les pleures, le dégoût, le mépris, ont remplacé l'adulation, des applaudissements, les je t'aimes ...

Comment peut-on changer en si peu de temps ? aussi vite ? comment peut-on passer de l'amour a la haine juste pour ça ?

Je dois être trop naïf...

Puis tout deviens confus dans ma tête, tout est allé trop vite... Je me souviens qu'on a du quitter le plateau juste après l'annonce de la pub, parce que les fans présentes envahissaient tout le studio et nous menaçaient, pendant que les autres pleuraient en hurlant leurs peines et leurs désespoirs...

Je vois Tom qui suit le mouvement, complètement perdu, comme s'il n'était plus lui même, je me souviens de l'inquiétude dans le regard des 2G...
Je nous revois dans le van, ignoré par les fan, ou alors faisant des gestes obscènes...
Je sais, que j'ai été étonné de ne voir que 2 fans devant l'hôtel ... je me souviens du choc que ça m'a fait, de la tristesse que j'ai ressentie, je me souviens que mon cœur s'est pincé quelques secondes, mais je crois que dans le fond, j'étais soulagé ... soulagé de ne pas avoir à affronter une horde de fan, soulagé de pouvoir enfin respirer...
2 fans le sourire aux lèvres ... 2 fans avec des dessins et des montages à faire signer... Nous représentants tom et moi dans des positions plus qu'équivoque ... certaines sont même très réalistes et très belles... Moi qui m'offensait de ça avant ... j'en viens à me rattacher à ça ... A ses fans, qui fantasme sur l'inceste... On se rattache à ce qu'on peut, quand on se sens abandonner de tous...
je me souviens que l'un d'elle m'a dit : « On est tellement heureuse que vous vous aimez... Merci ». Sur le coup, je crois que j'ai sourie... je n'avais pas compris le sens profond de ça phrase...
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MessageSujet: Re: [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23   [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 4 Icon_minitimeMer 2 Avr - 19:26

1er Mai 07 17H34

Aujourd'hui concert à Hambourg... Le premier depuis l'annonce ... Le premier depuis que les fans savent ... c'est le grand test ... l'instant de vérité ... Les fans vont-ils nous suivre ou pas ?
Toute l'Allemagne est au courant... On en parle partout ... radio, télé, sur Internet ... L'inceste revient à l'ordre du jour ... Pour certains on est des symboles, pour d'autres il faudrait nous brûler vif... Je sais que ce n'est qu'un mauvais instant à passé.
Aujourd'hui pas d'interview avant le concert... c'est étrange d'avoir du temps libre ... de ne pas être obligé de courir de droite à gauche ... N'avoir rien à faire ça m'oblige à tourner en rond ... j'aimerais bien me poser ... dormir un peu... faire un câlin ... juste me poser dans ses bras, sentir sa chaleur, respirer son odeur, caresser ses cheveux, me laisser bercer par sa main qui frotte mon dos ... mais j'y arrive pas... Il faut que je bouge, que je cour partout ... j'appréhende ...
Je cherche David, ou Saki, ou n'importe qui, qui pourrait me dire si les fans sont là ou pas ... J'ai peur ...
Je tremble ...
Je fais les 100pas dans toutes les coulisses...
Et ces couloirs ... désespérément vides ... à croire qu'ils sont tous partis... qu'ils m'évitent ... Je sens que vais devenir parano ...
Et ce silence ... ça m'angoisse ...
C'est pour ça que j'aime les cris, que j'aime que toutes ses hystériques hurlent ...
C'est parce qu'elles comblent les silences, qu'elles me rassurent, que leurs hurlements me laisse croire que tout va bien, qu'elles nous aiment, qu'elles m'aime ...
Je n'arrive même plus à me souvenir si d'habitude on entend des cris quand on est dans les loges et qu'elles sont dehors à attendre ...
Je tombe sur Georg qui sort des toilettes, il n'a pas l'air plus stressé que d'hab'... il a l'air confiant ... peut-être que je suis le seul à flipper, le seul à réaliser que ce soir, la salle sera peut-être vide ... qu'elles se seront toutes jetés sur un autre groupe ...
Il me sourit attendrie de me voir stresser.
Il est comme un grand frère qui prendrait son petit frère dans les bras en lui disant que tout ira bien, juste avant un oral ...
Je lui demande, la tête enfouie dans son torse, si d'habitude on entend les cris ...
Il passe sa main dans mes cheveux, me relève la tête, pour que nos regards se croises, et me répond avec un grand sourire

- T'inquiète pas autant Bill... on les as jamais entendu à Hambourg ... Tout est normal ... Les fans sont toujours là ... dehors à hurler ton prénom ...


Il dessert son étreinte et repart à ses occupations, en déposant un petit bisou sur ma joue.
Je reste 2minutes abasourdit par ce qui vient de se passer. Georg n'a jamais été du genre démonstratif, et voilà, qu'il devient attentionné, gentil, prévenant ...
Il sait que j'aime Tom, donc il ne me drague pas, alors pourquoi ?
Et puis Georg n'est pas gay... Alors pourquoi ?
Je décide d'aller en parler à mon grand frère, il aura sûrement une idée sur la question, lui qui a toujours réponse à tout.
Je le retrouve affalé sur un fauteuil avec sa grat', l'air concentré, mais à peine entrais-je dans la pièce qu'il lève les yeux, dépose sa grat' et me fait signe de venir m'asseoir sur ses genoux.
Ma peur disparaît comme elle était venue... sa présence me rassure, sa force est mienne, son courage est mien ...
Je l'aime tellement ...
C'est le seul être au monde capable de me calmer avec un regard bienveillant et un sourire charmeur.
Je m'assois sur ses genoux, il me sert fort ... très fort ... toujours plus fort ... Mes lèvres se rapproche des siennes, les effleures ...
il continu de me sérer fort ...
Il me murmure que tout va bien, que tout ira bien, qu'il ne faut pas craquer maintenant, que le plus dur reste à faire, mais qu'un jour on sera heureux...
ses mots, son souffle s'infiltre dans mes lèvres entrouvertes.
Mes yeux brilles, pétilles, pleures...
Ma bouche se saisie de la sienne,
je l'embrasse...
il me sert toujours ...
Je l'aime ...
Notre baiser achevé, il me regarde et répond à ma question informulée...

- Tu sais, je crois que Georg est plus sensible qu'on ne le pense, il s'inquiète pour nous, mais surtout pour toi, il veut nous protéger, nous rassurer...
Je crois qu'il l'a toujours fait, mais qu'il opérait discrètement, ne se ventant jamais de rien, mais je suis certain qu'il a fait beaucoup pour nous...
Et maintenant qu'on a tout avoué, il sait qu'on aura besoin de tous les appuis possibles pour passer ce mauvais moment, et il veut être là ...


Je l'embrasse une nouvelle fois ... il en rie ... j'admire sa capacité à savoir quand ça va mal, à répondre à mes questions avant que je n'ouvre la bouche, c'est tellement adorable... tellement rassurant...

19h00

c'est l'heure ou on se réunis tous dans une petite salle pour stresser ensemble, pour glander, pour répéter, juste pour être ensemble ...
De là, on entend les fans, la salle qui crie, qui hurle... On ne discerne pas encore de mots, mais au moins ça hurle ...
Elles sont là ... elles sont venue ... quand même ... malgré tout ... même maintenant qu'elles savent que leurs « Bill ich liebe dich » ou leurs « Tom fick mich » n'a plus aucune chance de se concrétiser... même si a la base elles étaient déjà minces...
Leurs cris me rassure, me berce, me soulage ...
J'observe tendrement mon groupe, ses 3 mecs que j'aime plus que tout, qui sont toujours là pour moi, et qui le seront toujours, ses 3 mecs avec lesquels ont a traversés toutes les épreuves, tout les doutes, toutes les galères, tous les flippes, toutes les joies... Je les regardes pour graver une images d'eux dans mes souvenirs, une image de ce moment, de cette paix, de cette sérénité. Je veut graver se moment à jamais...
Gus qui à l'air de prendre son pied, les écouteurs visés sur ses oreilles... il doit sûrement écouter du Mettalica à fond à en croire les gestes qu'il fait, il semble battre le rythme sur une batterie invisible ...
Georg qui rêvasse, comme s'il ne savait pas ce qu'il faisait là, il joue avec les fils de sa basse de manière totalement inconsciente...
Et Tom qui gratouille quelques accords et qui en révise d'autre...
Je souris, ferme les yeux et soupir de bonheur ...

19h30

C'est le grand moment... Les cris redoubles ... je met les écouteurs, les autres sont déjà partis... Les 1ères notes résonnes ...
Les cris redoubles ...
La fumée se dissipe ...
Je commence à chanté ...
Je ne sens pas le regard déçu de Georg ...
Je regarde la salle... Mon public ... Mes fans ...
Je dois continuer de chanter ...
Mon cœur se pince ...
Je suis déçu par ce que je vois ...
La salle est à moitié vide ...
Alors que notre tournée est complète ...
Ca veux dire qu'elles nous ont abandonné ...
Les cris me sembles tout à coup, émis par l'habitude ... Juste pour le principe ...
Je discerne quelques BBBBIIIIIILLLLLLLL ou TTTOOOMMMM mais peut convaincu ...
Elles ont l'air contente d'être là, mais elles ne sont plus hystérique, plus en transe...
Une larme coule le long de ma joue ...

The show must go on ...
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MessageSujet: Re: [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23   [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 4 Icon_minitimeMer 2 Avr - 21:31

vous bosser tous ou quoi ?
y a plus personne ? *pleure*
j'aurais pas du mettre 2 chp alors ?
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superbrune

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MessageSujet: Re: [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23   [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 4 Icon_minitimeJeu 3 Avr - 20:34

Oh désolée T-T', j'avais lu la moitié mais je devais partir de l"ordinateur T-T'
Bref c'est méga triste pour eux avec leurs fans..
Ils doivent être trop tristes et déçus
Puis les gens les rejettent comme ça, mais ils ne savent pas ce que s'est l'amour, vraiment c'est trop cons..
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Bibo

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MessageSujet: Re: [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23   [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 4 Icon_minitimeJeu 3 Avr - 20:44

t'as une vison trop cassante même si c'est ça, les gens comprennent pas l'inceste, je pense que dans la vraie vie, ça se passerait pareil ... enfin à mon avis ... les gens les lâcheraient ...
alors après oui c'est salop, oui c'est affreux, triste, ça te prend au trip, mais le monde est comme ça ...
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MessageSujet: Re: [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23   [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 4 Icon_minitimeVen 4 Avr - 10:45

bon le temps de la retrouver et je met la suite, même si j'ai l'impression que plus personne est motivé et que y a plus personne ...
*la preuve, toujours pas de rép pour la promesse*
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MessageSujet: Re: [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23   [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 4 Icon_minitimeVen 4 Avr - 10:46

ATTENTION JE TIENS A PRECISER QUE JE N'AI PAS CENSURER CE CHAPITRE MAIS QUE CERTAINES SCENES PEUVENT ÊTRE VIOLENTE ...
ALORS PRUDENCE



[FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 4 Banierechapitre18premietl8



Qui n'a jamais eu envie,
un matin en se réveillant,
après avoir contemplé l'horreur de son monde une fois de plus... une fois de trop...
de tout plaquer ...
qui n'a jamais fermé les yeux en songeant à ce que pourrait être sa vie...
qui n'a jamais ... toujours les yeux clos devant une fenêtre donnant sur sa vie,
d'envoyer tout valser,
le boulot,
la vie,
les gens,
les règles,
les obligations ...
de partir ...
n'importe où ...
mais si possible le plus loin possible d'ici ...
je suppose tout le monde ...
fuir où ?
n'importe où ...
pour y trouver quoi ?
La liberté... peut-être une vie meilleure ...
pour vivre hors et loin du temps ?
ou tout simplement pour changer de vie ?

L'espace d'un instant ...
n'avoir plus notre quotidien stressant et oppressant...

Mais sur toutes ces personnes,
combien seraient vraiment prêtes à partir ?
sans un sous en poche,
sans projet sur place ?
sans un avenir ?
combien seraient prête à prendre le premier billet d'avion aller,
sachant qu'il n'y aura jamais de retour ?
pas beaucoup ...
mais pourquoi avons nous sans cesse ce besoin ?
cette envie ?

cette envie de fuir le présent,
cette envie de liberté,
de tout plaquer comme ça ...
l'homme a besoin de tous ces fantasmes de vie meilleure,
comme si fuir était la solution ...
le remède miracle...
un jour on m'a dit :
" Tu sais, tu peux fuir au bout du monde, qu'importe, au bout du chemin, il y aura toujours toi ..."
et le pire c'est que c'est vrai ..
on aimerait tous fuir,
on rêve tous d'une vie meilleure ..
encore le côté insatisfait de l'homme ...
mais notre raison nous en empêche ...

Maudite raison ...

Et qui ... une fois la conclusion atteinte ... n'a jamais ouvert les yeux, et pleuré ... pleuré, parce que jamais on ne pourra vraiment tout plaquer... pleuré, parce qu'on est tous condamné à vivre notre vie ...



Tom 7 mai 2007 : 15h36

Une semaine que tout le monde est au courant pour nous deux ... Une semaine que nos concerts se vident à vue d'oeil, une semaine que ceux que nous pensions nos fans, nous envoient des lettres d'insultes, une semaine que sur tous les forums, sur tous les blogs, dans tous les journaux, tout le monde crie au scandale, à l'immondice, au péché, à la débauche, à l'euthanasie, à notre perte, notre condamnation ... Une semaine que tout le monde nous lâche... les uns après les autres ... La maison de disque est sur le point de déchirer notre contrat, mais elle a pour obligation d'attendre la fin de la tournée ... mais en même temps, vu que plus personne ne vient... bientôt ce sera des concerts intimistes de 100 ou 200 personnes dans des salles qui en contiennent 80 fois plus ... voir 200 fois plus ...
Et moi qui pensait naïvement que cela nous permettrait d'être enfin heureux... qui pensait naïvement que nos fans avaient l'esprit ouvert, qu'elles nous aimaient pour notre musique et pas pour nous, pas pour avoir une chance de finir dans notre lit.
Une semaine que les journaux font leurs gros titres sur nous ... les paparazzi nous suivent encore plus que d'habitude, espérant prendre une photo compromettante de nous deux, un baiser, une caresse, n'importe quoi ... Alors, on a décidé de ne plus apparaître côte à côte, pensant que ça allait calmer les médias, pensant qu'au bout d'un moment, ils n'auraient plus rien à dire ... Mais non ... rien n'y fait ...
Les journaux ont toujours le même genre de titre :
« Exclusif les jumeaux Kaulitz s'aiment ! »
« L'Allemagne sous le choc »
« Contre nature »
« Des jeunes filles horrifiées »
« Révélation : ils étaient amants ! »
« Des ex de Tom sous le choc témoignent »
« Karen n'arrive pas à y croire... elle revient sur sa nuit d'amour où à aucun moment elle n'a soupçonné quoi que se soit ».
« Elle savait ! Interview exclusive, d'une fan qui avait tout compris avant tout le monde et que personne ne croyait ! »
« Elles écrivaient des fictions sur eux, sur l'inceste : elles étaient loin de se douter que leurs fantasmes étaient réels ! »
« Plus que des frères... des amants... »

Sans compter des dizaines d'interviews de psychologues, de psychiatres, de médecins en tout genre... qui affirme que c'était prévisible étant donné le look et les manières de Bill et que j'ai succombé à son charme ... comme tant d'autres avant moi. Mais que ce n'est pas de ma faute, si j'ai succombé à ses charmes féminins ...
Tissus de conneries...
Plus personne ne se souvient de ma déclaration, tout le monde a oublié que je parlais d'amour avant tout, tout le monde semble oublier que l'amour ça ne se commande pas.
Je sais que le plus triste de nous deux c'est Bill. Et moi je me sens terriblement fautif ... c'est moi qui ai tout révélé ... Moi qui aurait dû me taire ... Moi qui nous ai mis dans cet enfer ... à cause de moi qu'on en est là ... Bill est déçu mais il n'a pas l'air de m'en vouloir, il me regarde toujours avec la même passion, mais dès que nos regards se séparent, il retrouve cette tristesse dans ses yeux. Il ne l'a jamais eue, mais depuis une semaine elle ne le quitte plus. Je le trouve de plus en plus renfermé, pensif, on dirait qu'il est en permanence plongé dans ses pensées.
Le seul point positif, si on peut dire ça comme ça, c'est que maman nous soutient à 100%, elle accepte que l'on s'aime et elle trouve même ça mignon. Elle sait que c'est notre vie, notre bonheur, notre amour et comme toutes les mères, elle souhaite voir ses enfants heureux et elle sait qu'on ne le sera jamais plus qu'ensemble. Elle est même allée jusqu'à affirmer qu'elle l'avait toujours su, inconsciemment.
Elle nous a raconté que quand on était bébés, on pleurait si on n’était pas ensemble, on ne pouvait pas dormir si on n’était pas dans le même lit. Et petits, elle nous retrouvait souvent blottis dans les bras l'un de l'autre, dans une chambre ou dans l'autre, parce que l'un de nous deux avait besoin de l'autre, avait fait un cauchemar, avait peur, ou juste comme ça. Un enfant normal, disait-elle, irait voir sa mère, pour un câlin, nous jamais, on allait toujours voir l'autre. Elle dit que c'est comme ça, qu'elle a comprit qu'on était plus proche que des jumeaux « normaux ».
C'est bien la seule de notre entourage à nous soutenir, avec les G's bien sûr.
Les G's qui ont profité de nos 10 jours de repos avant le dernier concert pour retourner chez eux. Nous on a décidé sur conseil de maman, de ne pas rentrer à Loitsche. Elle dit que là-bas les gens sont devenus fous, que l’abri bu devant la maison a été saccagé par des fans en rage. Alors on a choisis de se réfugier dans un petit village où on espère que personne ne nous remarquera et où pour l'instant personne ne nous a trouvé. La maison qu'on a louée est en retrait du village, en bordure de forêt. Pour l'instant, on est descendu qu'une fois au village, histoire de faire les courses, mais il faut y retourner parce qu'on s'ennuie tellement qu'on ne fait que manger. On a bien tenté de faire un tour en forêt, mais à chaque fois, ça fini en câlin sous un arbre, allongés sur la mousse ou contre un tronc d'arbre. Et le problème, c'est qu'on crie assez fort, et que même si au début ça a quelque chose d'excitant, j'ai peur qu'un jour quelqu'un, alerté par nos cris, nous surprenne... et là on serait mal ...

Bill a une grande envie de sortir, il en a marre d'être enfermé toute la journée, et moi je suis bien devant la télé, en plus on a plus de chances de pas se faire repérer si on n'y va pas à deux, du coup je le laisse partir seul...
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