1000 Fictions
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Antre à fan fictions Tokio Hotel...
 
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 [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23

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Bibo
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Bibo

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MessageSujet: Re: [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23   [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 5 Icon_minitimeVen 4 Avr - 10:47

Bill 7 mai 17h23

L'air frais ... ça fait vraiment du bien. Et pouvoir enfin se dégourdir les jambes, marcher un peu dehors, sans personne qui vous poursuit... c'est tellement agréable... Même si le supermarché le plus proche et à 10 bonnes minutes de marche de la maison, je suis content, je me sens adulte avec mon carton vide pour mettre mes courses.
Aujourd'hui, je ne suis pas maquillé, mes cheveux sont lisses, j'ai mis un jogging ample, relevé mes cheveux et je les ai planqués sous ma casquette, pour passer le plus inaperçu possible.

Je sens des regards dans mon dos, j'entends des pas derrière moi. J'ai une seconde d'angoisse, l’habitude sans doute, mais je ne change pas mon rythme, après tout, je suis sur un trottoir, quoi de plus normal qu'une bande de jeunes racailles qui marche dessus un lundi en fin d'après-midi ? Ils doivent sortir de cours. Je retrouve mon sourire. Ils rentrent en même temps que moi dans l'hyper. Mais je ne leur prête déjà plus d'attention, c'est normal d'avoir peur de tout, quand on passe sa vie entouré de garde du corps à sursauter au moindre bruit. Ça rend légèrement parano. Je flâne dans les rayons, remplissant petit à petit mon carton et m'extasiant de ces choses simples qui me manquaient tellement. Un paquet de bonbons, des gâteaux, du lait, des céréales, du cacao, des pâtes, des pizzas surgelées, un peu de sauce tomate en conserve, quelques boisons gazeuses et je me dirige vers la caisse.
Me revoilà sur le trottoir, la nuit est tombée, seules les faibles lumières de la rue m'éclairent, les maisons sont très espacées et sont toutes éteintes, comme si tout le village avait disparut et ces jeunes qui sont toujours derrière moi, je les entends ricaner.

« Hey Bill »

Je me fige un instant. Mon rythme cardiaque s'emballe... Mon dieu ! Ils m'ont reconnu ! Mais comment ils ont fait ?
J'accélère le pas.
Bill respire profondément... après tout tu n'es pas le seul à t'appeler Bill en Allemagne ... arrête d'être parano et dépêche toi de retrouver Tom...
Un autre groupe de jeunes arrive en face de moi, ils sont six, mais on dirait qu'ils ne forment qu'un seul homme, qu'une seule masse, deux d'entre eux fument... et la chaleur de leur cigarette éclaire leur visage.
Je suis presque en train de courir...

« Cours autant que tu veux, tu ne nous échapperas pas tu sais, sale tapette ! »

Les visages des jeunes du groupe qui avance vers moi, se dessinent de mieux en mieux dans la pénombre ambiante. Ils ont un sourire malsain, une violence dans les yeux, et ils s'amusent à écraser leurs poings droit contre leur paume gauche... tous dans le même rythme...
Je cours... alors que je sais, que cela ne sert à rien, que je ne fais que me rapprocher d'eux un peu plus vite, je cours de côté, je zigzague...

« J'adore quand ma proie court et tente de fuir, j'adore voir son regard plein de terreur, j'adore l'entendre me supplier d'arrêter et tu ne feras pas exception à la règle, Bill... »

Je m'arrête net, je suis maintenant encerclé... plus aucun moyen de fuir... je suis condamné...

- Comment avez-vous su que c'était moi ? Pourquoi ?


« Que tu es naïf, c'en est risible... tu sais, ce village est très petit... les nouvelles vont vites... et on a vite fait d'entendre quelques gémissements dans une forêt... »

Voilà comment ils savent... comment ils ont su...

« Tu veux savoir pourquoi ? Je n'ai pas vraiment de raisons officielles, mais si tu en veux une, alors dis toi que c'est parce que je ne supporte pas les mecs dans ton genre, de ton espèce... je trouve ça dégueulasse... un mec ça doit pas se faire enculé tu sais... c'est pas naturel... en plus avec ton frère... tu trouves pas ça répugnant ?
Tu sais, j'ai bien cru que vous ne vous sépareriez jamais ...
Tu sais... pendant que moi je te massacre, j'ai une autre équipe qui s'occupe de ton frère...
Il est encore sauvable lui... mais toi... t'es qu'une tapette, et tu changeras pas... tu sais, on va lui faire passer l'envie de se faire limer le cul à ton frangin... lui faire comprendre que c'est moche... que ça se fait pas... »

- Tom ? Vous allez faire du mal à Tom ?
Vous n'avez pas le droit espèce de salopards !



Je sais que je n'aurais jamais du dire ça... Mais ça m'a échappé... rien que d'imaginer ce qu'il peut être en train de subir ...

Un coup au visage ...
Une douleur aigue...
Un craquement...
Une série de rires...
Mon carton qui tombe ... les courses qui s'étalent partout ...
Un autre coup ... dans le ventre celui-ci ...
Je tombe...
Suffoque...
Ils rient...
Je suis à terre... en foetus... je me protège comme je peux...
De nouveaux coups ... toujours plus nombreux, toujours plus forts...
Une brûlure...
Ils sont en train de me brûler avec leurs clopes...
C'est douloureux...
Ils rient...
Je crois que je saigne... j'ai peut-être une côte cassée... j'ai mal... je crie... je hurle... je demande de l'aide... j'appelle Tom... je crie de toutes mes forces...

Schrei so laut du kannst...

Mais personne ne répond à mes appels... ils rient... me déshabillent lentement... pour mieux me frapper... je suis nu... je protège mon visage... autant que je peux... me recroquevillant sur moi-même... je voudrais disparaître...
Ils rient... toujours plus fort...
Je les supplie d'arrêter...
Mais les rires ne font que redoubler...
Je ne sais pas depuis combien de temps ils me frappent... ni depuis combien de temps je suis nu sur ce trottoir... je ne sais même plus si j'ai mal... je ne sens plus rien... j'ai même arrêté de crier... de toute façon ça ne sert à rien... il n'y a personne... ou personne ne veut entendre...
Ils sortent une lame... je la vois briller... vont-ils me tuer ? Vais-je mourir ici ? Sans tom ?
Je sens la lame qui s'enfonce... juste un peu ... elle me frôle... juste assez pour m'entailler ... mais pas assez pour me tuer... assez pour que je saigne mais pas assez pour que je me vide de mon sang...
Je ne vais donc pas mourir ici ...
Une autre entaille... j'entends le bruit de ma peau qui craque sous la pression de la lame... je sens chaque goutte de sang quitter mon corps...
Je ferme les yeux... une larme coule...
Les rires se font moins fréquents... ils doivent se lasser...

« Bon les mecs, on se barre ! J’espère qu'il a compris ... »

Il se rapproche de moi ...

« T'as compris connard ? Hein petit PD ? T’as compris ? »

Je ne réponds rien ...
Il me tape dans les côtes... je m'allonge de douleur...
Il me regarde... les yeux remplis de victoire...

« Alors répond ! »

- Oui... dis-je faiblement...

« Dis le plus fort ! Que tout le monde entende ! »

- Oui

« Aller un petit effort, on n'entend rien ! Tu parles aussi doucement qu'une fille, soit un homme si t'en es capable... fait honneur à ce qui te sert de couilles ! Merde ! »


- OUI !


J'ai hurlé, plus de rage et de désespoir... je suis humilié jusqu'au bout...

« C'est bon les mecs ! Vous avez entendu, la femmelette a compris ! On peut se casser »

J'entends leurs pas qui s'éloignent... leurs rires qui s'étouffent dans la nuit... heureusement qu'ils n'ont pas pris de photo... c'est déjà ça ... j'essaye de me relever, mais c'est encore trop douloureux, je saigne d'un peu partout, mais à priori rien de mortel.
J'essaye d'attraper mon jogging pour sortir mon portable et appeler Tom...
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superbrune

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MessageSujet: Re: [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23   [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 5 Icon_minitimeVen 4 Avr - 20:52

KYAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA O__O
Je veux une suite
Tu ne peux pas nous laisser comme ça, c'est trop sadique, il est arrivé quoi à Tom ? T__T'
Ah je veux trop une suite
Pauvre Bill ça doit être affreux...


SUITTE


I love you
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Bibo

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MessageSujet: Re: [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23   [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 5 Icon_minitimeVen 4 Avr - 20:56

honnêtement tom c'est pire ...
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Bibo

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MessageSujet: Re: [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23   [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 5 Icon_minitimeVen 4 Avr - 21:26

j'aurais aimé faire ce chapitre encore plus violent, j'aurais aimé qu'il soit gore, qu'il donne la nausée, mais là encore les mots ne sont pas sortis comme je voulais, ils sont trop doux, trop pures... j'aurais voulu faire un truc qui fasse presque gerber, tellement ça aurait été gore... mais pas réussis, pas vraiment essayé aussi ...
j'espère que ça marchera quand même...



CE CHAPITRE EST COMME L'AUTRE VIOLENT ! (je l'ai pas censuré) ALORS ENCORE UNE FOIS PRUDENCE CA PEUT CHOQUER !

[FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 5 Banierechapitre18partieiq4



Tom 7 mai 2007 : 17h 28

La porte sonne... je peste, mais dans un effort surhumain, je me lève pour aller répondre.

- Alors Bill qu'est-ce que t'as oublié ?

Mais à ma grande surprise, ce n’est pas Bill qui se trouve sur le pas de la porte, mais 6 mecs qui me regardent plein de haine.
Je tente de fermer la porte, mais c'est trop tard, l'un deux a mis son pied dans l'entrebâillement, et en 2 secondes ils sont tous dans l'entrée, et me tirent vers le salon.

- Qu'es-ce vous foutez là ? Je ne vous ai pas autorisé à entrer que je sache ! Dégager de chez moi !

« Tsss... tu comprends pas... le droit on le prend... on est là pour une bonne raison, pour ton bien... pour te sauver ... »

- Vous êtes malades ou quoi ? Et la propriété privée vous connaissez ?
Me sauver de quoi ? Vous êtes malades ?

« Te sauvez de l'autre tapette qui te sert de frère... On va te faire comprendre que ce que vous faites c'est pas bien... Que tu dois arrêter... que se faire mettre, c'est pas aussi agréable et jouissif que tu ne le penses... »

Je crois que je commence à comprendre... Je crois que je vois où ils veulent en venir... je crois que je vois, ce qu'ils vont me faire... ils veulent me violer ....
Mais me violer ne signifierait pas être PD aussi ?
Je ne comprends pas... Ils s'approchent de moi... Je recule... mais c'est trop tard, 2 mecs me tiennent par les bras, je me débats, je donne des coups de pied dans le vide, je veux tout tenter, je veux essayer, je veux me dire que j'ai résisté, que j'ai essayé... Même si je sais que tout est perdu d'avance... Je crie... Ils rient...
Celui qui semble être leur chef, semble chercher quelque chose. Il fait le tour de la maison, pendant que les 2 mecs me tiennent toujours et je hurle ...
Un de ceux qui me regardent l'air mauvais, me demande de me taire... et voyant que je n'obéis pas m'assomme d'un violent coup de poing.
Je perds conscience, quelques secondes, ou peut-être quelques minutes.
Une énorme douleur me réveille en sursaut... un hurlement strident, à m'en péter les cordes vocales... une douleur indescriptible, déchirante.
Et toujours ces rires...

- Alors ça te fait toujours bander de te faire enculer ?
T’aimes ça hein ?


Je me retourne et constate que je suis à 4 pattes le cul à l'air, en totale soumission devant 6 mecs...
L'un d'eux a enfoncé quelque chose dans mon anus... une batte de base Ball... comment était-ce possible ?
La douleur se fait plus forte à mesure que la batte s'enfonce en moi... j'aimerais hurler, mais plus aucun son ne sort de ma bouche... je suis condamné au silence... la peur est trop grande, la douleur trop forte, je suis paralysé... terrorisé... je sens ma fin proche, et eux continuent à rire. Les larmes coulent le long de ma joue, des larmes de douleur... je me sens déchiré de l'intérieur, il retire complètement la batte, pour mieux me la renfoncer, toujours plus violement, toujours plus profondément... j'ai envie de me recroqueviller en fœtus pour avoir moins mal, pour atténuer la douleur, la peine, la souffrance, mais je ne peux pas...
Eux rigolent toujours...

- Alors taffiole, tu vois c'est pas bon de se faire enculer. Faut que tu arrêtes ça tout de suite. Tu peux encore être sauvé. Ca peut passer pour une erreur de jeunesse, mais il ne faut plus que tu recommences, tu comprends ? On fait ça en espérant que tu comprennes que t'es pas une de ses taffiole sans cervelle, mais que t'es un vrai mec. Pas comme la tarlouz' qui te sert de frère. Elle est perdue elle, c'est un cas désespéré, mais toi, tu peux t'en sortir.
Ça fait mal hein ?
Tu donnerais tout pour qu'on arrête non ?

Alors c'est donc ça... c'est donc pour ça... Des homophobes... Mais pourquoi moi ? Pourquoi maintenant ? Comment nous ont-ils trouvé ? Comment ont-ils su ?
Trop de question se bousculent dans ma tête...
La batte effectue sa dernière sortie... je sens une chaleur m'envahir, une chaleur enivrante, presque jouissive, comme quelque chose qui glisserait en moi, qui me chatouillerait de l'intérieur en me faisant mal, c'est très étrange, je sens cette chose couler, lentement.
Un léger picotement me parcourt l'échine, et toujours cette chaleur.

- Hé les mecs il saigne du cul ! C’est trop gore !

Je ne dis rien, je ne peux plus parler, je commence à avoir mal aux bras, mes muscles sont engourdis et cette délicieuse chaleur, me donne envie de m'endormir.
Un des mecs le remarque et me frappe violement au visage, ma lèvre s'ouvre. Je saigne, regarde impuissant les gouttes de sang tomber sur le tapis et je me surprends à me demander comment je vais réussir à les enlever, vu qu'on a loué cette maison pour la semaine et qu'on doit la rendre en état.
La batte est balancée sur le canapé, le bout est rouge sang, et plusieurs mecs me regardent saigner, sans rien dire.
Le chef se rapproche de moi et me dit :

- Suce moi !

Le sucer... s'il pense que je vais obéir ... il rêve... après ce qu'il vient de me faire...
Mais il n'attend pas de réponse... il descend son jean et enfonce son sexe dans ma bouche... je manque de vomir ou de m'étouffer ou les deux à la fois.

- Aller suce ! Montre comme tu sais bien le faire, si tu veux pas qu'on recommence !
Mais cette fois-ci avec une bouteille en verre. Je te laisse imaginer les dégâts que ça peut causer.

Je ne peux pas... je n'y arrive pas... je ne veux pas... aucun autre homme que Bill... jamais... si je le mords, je sais qu'ils me tueront... alors que faire... il s'impatiente, et décide de commencer tout seul... il s'enfonce et se retire de ma bouche... plus violement à chaque fois... je sens les relents de vomi... il cogne contre ma luette...
Il m'ordonne de sucer, je suis à 4 pattes la bitte d'un inconnu dans la bouche, le cul meurtri par ce même mec, et je me surprends à pomper... sucer... lécher... je le fais assez grossièrement, mais j'imagine que c'est celui de bill... même si lui ne serait jamais aussi violent... même si lui n'a pas le même goût... même si lui n'appuierait jamais contre ma tête comme ça... même si ses soupirs n'ont pas ce son roque... même si ce n'est pas lui... même si je ne veux pas faire ça... L'instinct de survie sans doute... je pleure, les yeux clos, mais je suce ce pardon?, parce que je n'ai pas le choix ... et parce qu'il me menace de devoir tous les sucer si je fais ça mal...
Il éjacule assez rapidement en moi, et m’ordonne d’avaler, je le fais, parce que je n’ai pas le choix, mais je sens que je vais vomir.
Il me regarde satisfait, et les 2 colosses qui me maintenaient à 4 pattes me lâchent enfin.
Instinctivement, je me mets en position du fœtus, je me protège, comme un enfant, comme une proie traquée. Ils sont là, au-dessus de moi, et me regardent l'air satisfait.

- Bon, je pense que t'as compris. En plus entre nous tu suces vraiment pas bien, ce qui prouve ce que je pensais, t'es pas une tapette.

Et ils s'en vont, non sans m'avoir un peu tabassé, et écrasé la fameuse bouteille en verre sur la tête. Je sombre une nouvelle fois dans l'inconscience.


Doucement, je reprends conscience, avec un horrible mal de crâne. La pièce est redevenue sombre, la nuit est maintenant bien noire, et la maison étant isolée, je n'ai aucune source de lumière. Les cloches de l'église sonnent et leur bruit lointain me parvient comme un murmure... je tends l'oreille pour ne pas manquer un son... 4 coups graves et rapprochés, puis des sons plus aigus... les heures... 1er coup... 2ème coup... 3ème coup... 4ème coup... 5ème coup... 6ème coup... 7ème coup... 8ème coup...
20h ... et Bill n’est toujours pas rentré ! Que lui est-il arrivé ? J’angoisse.... il faut que j'aille voir ça...
Je prends alors conscience de ce qui vient de se passer, je suis à moitié nu, le pantalon et le boxer sur les chevilles, allongé sur le tapis du salon, la lèvre en sang et une atroce douleur au niveau des fesses, comme un déchirement, comme une hémorragie, comme des battements de coeur, comme si j'étais meurtri... comme une douleur fantôme... comme si je sentais encore tous ces trucs me déchirer, comme si je sentais encore ces allers et retours en moi... comme s'ils étaient encore là... comme s'ils ne s'étaient jamais arrêtés...
Je tente de m'asseoir, en m'aidant de la table basse, mais la douleur est trop forte, les larmes coulent le long de mes joues déjà inondées.
Bill...
Je ne pense plus qu'à lui... je ne pense plus à ce qu'ils m'ont fait, je ne pense plus à ma douleur... Je dois le sauver... je dois l'aider... Je sais, je sens que lui aussi souffre, je dois le retrouver...
Ignorant la douleur, je me lève. J'essaye de marcher, mais la douleur m'aveugle... je sens une goutte de sang glisser le long de ma cuisse, et je m'effondre sur le canapé.
Les salauds...
Mais il faut que j'y aille... il a besoin de moi, et tout ça c'est ma faute... chaque pas se fait plus douloureux que le précédent, je boitte, mais je réussis à me rhabiller et même si mon visage est déformé par la douleur, j'avance ...
Je sors de la maison et sur le pas de la porte, ma tête se met à tourner dangereusement, je me sens mal et vomis. Vomis tout ce que j'ai, toutes mes tripes, tout le sperme de ce salaud, toute cette horreur, j'ai même quelques gouttes de sang qui sortent de ma bouche, mais je ne m'en inquiète pas, je ne pense qu'à une chose, je n'ai qu'un seul but.
Je descends le petit chemin en gravier qui mène à la route, tourne à gauche... J'ai l'impression que les secondes sont comptées, je vais le plus vite que je peux, empreinte le même chemin, les mêmes rues que lui, espérant qu'il soit là, et que je n'ai pas à faire le tour du village. Un cri de douleur m'échappe... je ne peux plus les retenir, j'ai l'impression de saigner encore plus à chaque pas, comme si j'écartais la plaie, comme si je la ravivais à chaque pas...
Je n'aurais jamais dû le laisser aller seul faire les courses, j'aurais dû le protéger... j'aurais dû veiller sur lui...
Je dois marcher depuis 6 bonnes minutes, quand j'arrive sur la rue principale, celle qui longe le parc, enfin plutôt l'herbe et les 3 bancs...
Les lumières des maisons sont toutes éteintes... Comment est-ce possible ? Alors qu'il n'y a que des vieux par ici ? Toujours le nez derrière leurs fenêtres...
Ma peur s'intensifie, quand j'aperçois une ombre, une masse informe allongée à moitié sur l'herbe, à moitié sur le trottoir...
Mon sang ne fait qu'un tour, je hurle son prénom de toutes mes forces... je cours vers cette masse... c'est Bill, j'en suis sûr, je le sens... est-il mort ? Est-il blessé ?
Non, c'est impossible, je l'aurais senti... je le saurais s'il était mort... ou alors ne ressentons que la douleur et la peine de l'autre quand on est jumeaux... peut-être que la mort n'a pas de douleur, et que je ne peux pas la ressentir, peut-être est-il mort pendant que moi-même je souffrais, et que je n'ai pas su faire la différence entre ma peine et sa peine ...
Tout se bouscule dans mon esprit... mort, blessé, secours... oui, c'est ça, il faut appeler de l'aide, ma main cherche dans ma poche, mais rien, pas de portable, il a dû tomber de ma poche quand ils m'ont...
Non... je ne préfère pas y repenser ...
J'arrive enfin à côté de lui, il est nu... il ne bouge pas... ses yeux sont clos, il a du sang partout... du sang... sur son petit corps si fragile... Ils ont osé s'en prendre à lui... à un être sans défenses... comment ont-ils pu ? Comment des gens peuvent être si cruels ? Lui qui était si naïf... qui trouvait toujours le meilleur chez les gens, qui faisait confiance à n'importe qui... qui croyait toutes les promesses... Mais pourquoi je dis était ? Il n'est pas mort ! C’est impossible ! Pas Bill ! Pas MON BILL !
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MessageSujet: Re: [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23   [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 5 Icon_minitimeVen 4 Avr - 21:27

Je tremble, je n'ose pas le toucher... j'ai peur, et si son corps était froid ? en même temps la température est fraîche et il est nu...
Je sanglote... moi qui ne pleure jamais, voilà que je ne fais que ça depuis 2 heures... je me sens comme un moins que rien, comme le pire des nuls ...

- NNNNNNNNNNOOOOOOOOOOOOOONNNNNNNNNNNNNNN !!!!!!!!!
BBBBBBBIIIIIIIIIIIIIIIIIILLLLLLLLLLLLLLLLLLL !!!!!!!!!


Ma voix transperce le silence de la nuit, de cette nuit... quelques oiseaux prennent peur et s'envolent dans le ciel noir ....
Je pleure sur son corps, je pleure de le voir comme ça, de me voir comme ça, je pleure parce que j'ai mal... je pleure pour oublier ma peine, pour revenir en arrière...
J'enlève mon tee-shirt et le pose sur son corps... il tient dans sa main, blotti contre son cœur, son portable... comme pour le protéger, comme pour ne pas s'en séparer, comme si c'était son bien le plus précieux...
Je lui enlève et voit qu'il est allumé, et qu'il m'a appelé, son téléphone m'appelle dans le vide ...
Mes pleurs redoublent... et je ne le vois pas trembler... il murmure...

- Tom ? c'est toi ?

Dans un murmure presque inaudible ...
Mais je l'entends... mon visage s'éclaire, je lâche le téléphone, et souris de soulagement, de bonheur qu'il soit encore en vie, de ne pas l'avoir perdu, qu'il soit toujours prêt de moi...
Merci mon Dieu...

- Oui Bill, je suis là... tout va bien maintenant... je suis là ...

Je le prends dans les bras, le relève avec le plus de douceur que je peux... lui enfile mon tee-shirt, il s'y agrippe et respire son odeur... mon odeur... ses yeux s'ouvrent lentement, ils me regardent, pleins d'amour, de tristesse, de soulagement, de compassion, de gratitude...

- Pourquoi tu n'as pas décroché ? j'ai essayé de t'appeler... Tom... j'ai eu si peur... quand j'ai vu que tu ne répondais pas... j'ai eu si peur... j'ai imaginé tellement de choses horribles... Tom... je suis si heureux... que tu sois là...
Tu sais, sans toi, je me serais laissé mourir... ici...
Je t'aime tellement tu sais ...

Il sanglote et moi aussi... On est là tous les deux... assis dans cette rue, dans les bras l'un de l'autre, tous les deux meurtris par ce qu'on vient de vivre...

- Bill... tu veux que j'appelle les secours ? Pour tes blessures ?

- Non... je ne veux pas... j'ai honte... tu sais il faudra se justifier après... tout expliquer, tout raconter... et je ne peux pas Tom... je ne veux pas...

Sans un mot, j'acquiesce, je ne peux pas aller contre sa volonté... je me détache de lui... doucement, posant un baiser sur son front... j'ai trop peur de lui faire mal, si je l'embrasse ailleurs...
Je contemple le parc... calme... froid... paisible... comme s'il ne s'était rien passé... alors que sous ce lampadaire, mon frère est recroquevillé et tremble de tout son corps...
Je ramasse le carton et les courses de Bill...
Et l'aide à se relever... il émet quelques gémissements de douleur... lui aussi boitte... Mais je refuse de lui demander pourquoi... je ne sais pas si je veux savoir ce qu'ils lui ont fait... je regarde discrètement ses fesses, mais je n'y vois aucune goutte de sang... avec un peu de chance ils ne l'ont pas... violé... il ne le supporterait jamais... il est trop fragile...
On marche tous les deux, silencieusement dans la nuit noire et sous un ciel sans étoiles, on frissonne... je porte le carton et Bill essaye d'avancer en s'appuyant sur moi... Il souffre mais ne dit rien... de temps en temps, il émet un petit cri, mais rien de plus.
Le voir comme ça, nu, habillé d'un de mes tee-shirt, alors qu'il a toujours juré, qu'il ne porterait jamais ce genre d'horreur ...
Quand je suis arrivé ses vêtements avaient été lacérés... et puis les remettre lui aurait sans nul doute rappelé trop de mauvais souvenirs... alors on les as donc laissé là... sur le trottoir, sous ce lampadaire, seul témoin de cette nuit fatidique...
Arrivés à la sortie du village, sur le petit bout de route que l'on doit prendre pour rejoindre le petit chemin qui mène « chez nous », Bill brise le silence, et comme si de rien n'était me dit avec un soupçon de déception dans la voix :

- C'est trop con pour la pizza, elle a dû décongelé ... tu crois qu'on peut la faire réchauffer quand même ?

Je souris... Je l'aime ...
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superbrune

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MessageSujet: Re: [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23   [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 5 Icon_minitimeSam 5 Avr - 22:58

AAAAAAAAAAAAAAAAAAAH
C'est horrible
Tom ='( Ah c'est trop triste
Les connards, ils sont vraiments dégueulasses, si je les attrape je vais les tuer
Et puis pauvre Bill
Ah ils me font trop de la peine :'(
et puis Bill avec sa pizza à la fin..
Pauvres choux


SUITE
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Bibo

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MessageSujet: Re: [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23   [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 5 Icon_minitimeSam 5 Avr - 23:03

j'aime ce chapitre ^^
il est affreux, mais tellement chou, pleins d'amour ...
et ué la pizza c'était pour faire rire ou sourire le lecteur ...
je t'avais dis que tom c'était le pire
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MessageSujet: Re: [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23   [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 5 Icon_minitimeDim 6 Avr - 19:26


cette suite s'étale sur plusieurs mois, et je l'aurais bien faite plus complète, mais j'ai pas réussi... alors faut faire plus ou moins gaffe aux dates.
J'e la poste, même si j'ai l'impression que plus personne me li a part superbrune, j'ai du perdre des lecteurs en cours de route ...



banière



Paroles : Queen - show must go on
Jem ? Just a ride

Empty spaces - what are we living for ?
Espaces vides - Pour quoi vivons-nous ?

Abandoned places
Endroits abandonnés

On and on
Sans cesse

Does anybody know what we are looking for
Est-ce que quelqu'un sait ce que nous cherchons ?


Behind the curtain in the pantomime
Derrière le rideau, dans la pantomime

Hold the line
Tiens le coup

Does anybody want to take it anymore
Est-ce que quelqu'un peut encore y arriver ?

The show must go on
Le spectacle doit continuer

Inside my heart is breaking
A l'intérieur mon coeur est en train de se briser

My make-up may be flaking
Mon maquillage est peut-être en train de s'écailler

But my smile still stays on
Mais mon sourire reste encore

Whatever happens I'll leave it all to chance
Quoiqu'il arrive je laisse tout ça à la chance

Does anybody know what we are living for
Est-ce que quelqu'un sait pour quoi nous vivons ?

I guess I'm learning
Je devine que j'apprends

I must be warmer now
Je dois être plus aguerri désormais

I'll soon be turning round the corner now
C'est bientôt la fin pour moi

Outside the dawn is breaking
Dehors l'aube commence à poindre

But inside in the dark I'm aching to be free
Mais à l'intérieur dans le noir je me languis d'être libre

The show must go on
Le spectacle doit continuer

Ooh inside my heart is breaking
A l'intérieur mon coeur est en train de se briser

My make-up may be flaking
Mon maquillage est peut-être en train de s'écailler

But my smile still stays on
Mais mon sourire reste encore

My soul is painted like the wings of butterflies
Mon âme est peinte comme les ailes des papillons

Fairy tales of yesterday will grow but never die
Les contes d'hier grandiront mais ne mourront jamais

I can fly - my friends
Je peux voler - mes amis

The show must go on
Le spectacle doit continuer

I'll face it with a grin
J'y ferai face avec une grimace

I'll top the bill
Je tiendrai l'affiche

I'll overkill
Même si ça doit me tuer


Tom 12 mai 2007 12H32

Je ne lui ai jamais dis. Lui m'a tout raconté, dans les moindres détails, en pleurant, dans mes bras. Il m'a raconté qu'ils l'avaient frappé, insulté, déshabillé, humilié, traqué, espionné. Et ses blessures prouvaient ses dires. Heureusement il n'avait rien de cassé, juste une petite fêlure qui s'est déjà presque remise. J'ai passé des heures et des heures à le consoler, à lui dire qu'un jour tout irait bien, il a passé des heures dans mes bras, sans un mot, parce qu'entre nous les mots sont inutiles, parce qu'il avait juste besoin d'être contre moi, près de moi. Parce que je suis le seul à pouvoir lui faire oublier l'horreur de cette nuit, parce que dans mes bras, il oublie tout, il se sent en sécurité.
Il n'a posé aucune questions quand il a vu le désordre du salon, il n'a rien dit quand il a vu les gouttes de sang sur le tapis. La batte avait heureusement disparue. C'est à ma grande surprise, que ce soir là, à peine arrivé dans la maison, il a fermé la porte à double tour, il a fermé tous les volets, allumé toutes les lumières, et qu'il m'a entraîné dans la chambre du haut. Il m'a regardé de ses grands yeux noisettes et il m'a demandé de lui faire l'amour, de lui faire l'amour toute la nuit, pour laver ses blessures, pour panser son cœur, parce qu'il avait besoin de moi, besoin de sentir ma présence en lui, besoin de ma chaleur, qu'il avait besoin de ma douceur, besoin d'un contact, besoin de se sentir aimé, besoin de se sentir quelqu'un, besoin de moi, besoin de ne faire qu'un. Besoin de ma tendresse pour oublier sa douleur. Alors c'est ce que j'ai fais. Sans un mot, je l'ai posé sur le lit, je lui ai enlevé mon tee-shirt trop grand, mais qui lui allait comme un gant. Je l'ai regardé avec le plus de tendresse et d'amour possible, avec tout celui que je lui porte. J'ai embrassé chacune de ses blessures, caresser le plus doucement que je pouvais chaque parcelle meurtrie de sa peau. Et je lui ai fait l'amour, le plus doucement possible, puis il m'a demandé plus de violence, plus de passion, plus de frissons, il voulait que la souffrance se transforme en jouissance.
Il n'a jamais vu le sang sur mes fesses, il n'a jamais su ce qu'ils m'avaient fait.
Je ne voulais pas l'inquiéter. Je sais qu'on a toujours dit qu'on se dirait tout. Mais ça, je ne peux pas le dire. Je n'ai pas la force, et de toute façon, ça ne servirait à rien, ça ne changerait rien. J'essaye de l'oublier, et même si ça me hante de temps en temps, si j'ai encore un peu mal, mais je sais que je suis assez fort pour surmonter ça. Et puis on ne change pas le passé. Je sais qu'il se doute de quelque chose, peut-être même qu'il a tout deviné, sans que j'ai besoin de lui dire, peut-être que je sous-estime sa capacité à lire en moi.
Mais même s'il sait, je ne veux pas qu'il connaisse, ni même qu'il imagine, la douleur et le mal que ça fait, ni l'humiliation. Je ne veux pas qu'il sache ce qu'il m'a obligé à faire...
Je ne veux pas gâcher nos moments à deux pour ça, je ne veux pas revivre cette souffrance, je ne veux pas lire la peine et la douleur dans ses yeux. Il a l'air de respecter cette décision, parce qu'il ne m'a posé aucune question, il doit avoir compris que si je voulais lui en parler un jour, j'irais le voir de moi-même, il ne veut pas me forcer, ni me brusquer.

Comment m'en sortir ? comment faire ? je ne sais plus, je ne sais pas. Je ne supporte plus la pression, le regard des autres. Ca ne fait même pas 15 jours, mais j'ai l'impression que tout mon monde s'effondre, tous mes rêves, tous mes projets. Je crois que le regard des autres commence à me peser. J'ai toujours affirmé que je n'en avais rien à foutre, mais c'est faux. On a tous besoin du regard des autres, moi le premier vu que j'ai toujours tout fait pour me faire remarquer.
Au fond de moi je sais que ce regard, ce mépris, ces insultes, cette violence, ne cesseront jamais. Je sais que les interviews, les photos, tout tournera toujours autour de Bill et moi, peut-être encore plus qu'avant. Je sais que des magasines nous ont déjà proposé des sommes folles pour qu'on accepte de se faire prendre en photo comme un couple. Mais nous avons toujours refusé, on ne veut pas entrer dans leur petit jeu malsain et glauque. Du moins pas pour l'instant, mais peut-être qu'on craquera.
Si on leur donne ce qu'ils veulent : est-ce qu'ils nous laisserons enfin en paix ?
J'aimerais tellement faire redescendre la pression. Mais on est connu, et on le sera toujours un peu, connu un jour, connu toujours. Jamais ils ne nous lâcheront. Jamais nous ne pourrons être heureux. Jamais.

Bill dernier concert du Zimmer Tour 14/05/07 Köln

Je ressens l'excitation, le stress, la panique, l'envie, la peur, la joie, l'impatience, et ce petit quelque chose que j'ai à chaque fois. Je ne sais pas ce que c'est, c'est un sentiment à la fois désagréable et à la fois le plus beau de tous. C'est quand ton cœur s'arrête de battre, tu sens la chaleur t'envahir et un courage immense, une joie plus grande que toutes celles que tu as connu, tu as l'impression de ne plus être toi, d'être guidé par quelque chose de plus fort que toi, tu sais ce que tu dois faire, tu sais que tu dois le faire maintenant, comme une intuition qui ne te lâcherait pas, comme si tu savais que c'est la chance de ta vie, que tu dois le faire sous peine de le regretter toute ta vie, tu as peur, mais tu as envie d'y aller, ta vue ne voit plus que l'objectif que tu dois atteindre, c'est comme si tu ne voyais plus les gens autour de toi, comme si tout disparaissait, comme si tu vivais tout au ralenti, comme dans un film. C'est quelque chose de magnifique bien qu'assez effrayant au début, parce que pendant quelques minutes tu ne contrôles plus rien, mais tu sais que la force qui te guide te veut du bien. Cette sensation me manquera... peut-être plus que les autres. Mais elle n'est plus suivie de l'acclamation des fans, elle n'est plus happée par les cris par l'énergie des gens, par le bonheur dans leurs yeux... par leurs joies, leurs rêves, leurs espoirs... Tout ça a disparu... mais cette sensation est toujours là et ça me réconforte... Je viens de finir de regarder le dvd de la première tournée, j'ai eu les larmes aux yeux... de les voir... de voir ces milliers de fans... de les entendre crier... je me rappelle comme si c'était hier de ce concert là... j'ai voulu le revoir, pour m'en souvenir, pour pouvoir me les imaginer... pour pouvoir les re-matérialiser ce soir... Pour essayer de berner mon esprit, pour lui faire croire qu'ils sont tous là... pour les voir, même si ce n'est qu'une illusion... de toute façon, tout ce show n'est qu'illusion...
Je gravis une à une, et pour la dernière fois, les 5 marches qui me séparent de la scène...
Je ressens leur présence... mes yeux son clos... j'ai monté ces marches des centaines de fois, je n'ai plus besoin de les voir, elles sont gravées dans mon esprit... Les cris imaginaires résonnent dans ma tête, l'énergie m'appelle... Je suis à Oberhausen, le 11 mars 2006, je ne suis pas ici... J'ouvre les yeux, et je les vois... je peux voir chacun de leur visage, je peux voir le bonheur, la joie, les larmes, l'hystérie, l'amour, la passion sur leur visage, je sourie. Heureux, bercé par cette douce illusion, mon visage s'illumine de bonheur. Je veux pouvoir profiter de mon dernier concert au maximum. Je veux pouvoir garder cette douce illusion. Mais c'est impossible. Les notes d'Ubers Ende Der Welt résonnent dans mes oreillettes. Ce n'est pas Jung und Nicht mehr Jugendfrei... Je ne suis pas en mars 2006. L'illusion aura tenu quelques instants, pendant quelques secondes, j'aurais été heureux, j'aurais vécu le plus beau dernier concert dont on peut rêver. Je chante, mais mes yeux se referment, je veux recréer l'illusion, je veux retourner là-bas. Je chante machinalement, l'habitude sans doute. Je chante sans vraiment de conviction, mais je chante. J'ouvre les yeux, et ce que je vois me fend le cœur, il n'y a personne. Certes, la salle n'est pas vide, mais il n'y a aucun mouvements de foule dans la fosse, pas de cris, pas d'hystéries, juste des fans en larmes. Qui essayent d'y croire, qui essayent de crier, qui essayent de chanter, qui me regardent les yeux pleins de désespoir, sans doute parce que le mien doit se lire dans mes yeux.
Je ne veux pas que ça se finisse comme ça. Même si les gradins sont vides, même si je les vois descendre dans la fosse, pour se rapprocher de nous. Même si elles ne sont qu'une cinquantaine, elles sont là. Et pour elles, et pour moi, je vais tout donner. Enfin tout leur donner, leur donner l'illusion que tout va bien, l'illusion que je suis heureux qu'elles soient là, je veux leur donner le meilleur concert de leur vie, même si pour moi, c'est sans doute un des pires.
Comment chanter l'espoir ? Comment chanter la joie ? Comment puis-je encore chanter Spring Nicht ? alors que ma seule envie est d'en finir ? vaste mascarade... Heureusement que je suis habitué à prendre mes airs préfabriqués... heureusement que je n'ai jamais vraiment pensé ce que je chantais... j'étais d'accord avec les paroles, mais elles ne me touchaient pas autant que si elles me parlaient vraiment, autant que si j'avais vécu tout ce qu'elles racontent, autant que si chaque mot, me faisait remonter un souvenir douloureux ou heureux, autant que si je devais me retenir de pleurer tellement l'émotion serait grande.
Mais ce soir, ça à une signification particulière...
Ce soir pour la première fois de ma vie, j'ai envie de sauter... une envie, comme un besoin vital, comme une drogue...
Comment est-ce que je peux être aussi hypocrite ?
C'est simple... C'est parce que c'est mon dernier concert... Notre dernier concert...
J'ai longtemps hésité... entre être moi-même et pleurer sur scène, dire à tout ces gens que je ne pense pas une seconde tout ce que je dis, quand je chante l’espoir, quand je dis qu'il y a toujours quelqu'un qui est là près de vous... que je serai toujours là pour elles... pour eux ... qu'il ne faut jamais perdre espoir, toujours y croire... que tout ça c'est du vent... même si elles y ont cru ... même si on a réussi à leur faire croire ...
Vaste foutaise... quand je pense que ces chansons ont permis de redonner de l'espoir, du courage, ont permis à certaines de ne pas sauter ... Je me dis qu'elles ont de la chance d'y avoir cru... parce que moi c'est fini... je ne crois plus en rien... mais pour la dernière, j'ai décidé d'y croire à fond, de jouer la carte de l'hypocrisie, de toute façon, la salle est presque vide... mais qu'importe, je la vois pleine à craquer... j'entends mes 20 000 fans qui hurlent, qui me donnent de l'énergie, de l'espoir... je les entends chanter par cœur mes paroles... je sais que ce n'est pas vrai, je sais que je m'imagine tout ça... mais je veux tout donner, pour la dernière, je veux en garder un merveilleux souvenir... quelque chose à laquelle me rattacher, même si je sais que c'est fini... Je veux que tout soit parfait... que tout soit comme avant... je veux y croire... Alors je me défonce, comme je le l'ai jamais fait ...
Je veux leur donner un merveilleux souvenir, certaines retrouvent le sourire quelques instants, certaines pleurent une ou deux larmes. Une dizaine d'entre elles chante, elles chantent les paroles avec leur âme, leur cœur, elles sont contentes d'être là, mais tristes d'être si peu... mais peut-être soulagées de pas être seules, de pas être entourées d'hystériques. J'ai envie de descendre au milieu d'elles, elles sont toutes accoudées aux barrières, nous regardent, me regardent. Ce n'est pas le concert que j'imaginais, mais peut-être est-ce un des plus intimistes et beaux de ma vie. Mais je ne m'en soucie plus ou pas, je suis juste triste, déçu, meurtri, trahi. Et je n'en profite pas vraiment, pas autant que je pourrais du moins. Les chansons s'enchaînent, je ne vois pas le temps passer, tout est machinal, automatique, j'essaye d'en profiter, de le vivre bien, de le ressentir comme il faut, mais je n'y arrive pas...
Le concert touche à sa fin. Les fans applaudissent, on les salue, je tiens la main de Tom, il m'embrasse dans la nuque, et d'un coup, tout me semble tellement futile, en une seconde, je suis de nouveau heureux. Alors, parce qu'elles nous réclament une dernière chanson, je décide le leur offrir, je me concerte un peu avec les autres, et tous sont d'accord.
Elles n'en reviennent pas, même Saki et David dans les coulisses, ne comprennent pas.
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MessageSujet: Re: [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23   [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 5 Icon_minitimeDim 6 Avr - 19:27

- Je dédie cette chanson à vous toutes, vous qui êtes venues ce soir, pour notre dernier concert, je sais que vous l'aimez, et que vous vouliez la voir figurer dans la set list de la tournée, alors pour la dernière, on vous l'offre : Hilf mir fliegen.

Je chante cette chanson en regardant Tom. Parce que cette chanson, et une des rares, qui me parle vraiment, qui me fasse frissonner, qui me fasse remonté toute une série de souvenirs. Ses yeux brillent, les miens ne le quitte plus, je le toucherais bien, mais je ne veux pas le gêner.
Les lumières s'éteignent, les fans partent, en nous remerciant.

Ainsi s'achève notre dernier concert.
Cette fois c'est la fin.

Je ne réponds pas aux questions de l'équipe technique qui me demandent pourquoi j'ai rajouté une chanson par rapport à ce qui était prévu. Je ne veux pas gâcher cet instant. Tom est partie ranger sa guitare, parce que personne d'autre que lui ne peux la toucher. Même pas moi. Je n'ai jamais compris pourquoi, mais c'est Tom. Moi je ne me suis jamais préoccupé du matériel, la seule chose dont je m'occupe c'est mon micro et ce soir comme tous les soirs il est dans ma poche droite.
Un pincement au cœur, une nostalgie. C'est la dernière fois que je serais en coulisse, la dernière salle de concert. Depuis quelque temps tout ça me paraissait normal, routinier, faut dire que c'était tellement quotidiens, qu'ont avaient plus de raisons de s'émerveiller de ça. Mais ce soir, je suis redevenu un gosse devant un gros cadeau un soir de noël. Je veux garder l'odeur, l'ambiance des coulisses, je veux pouvoir m'en rappeler encore et encore. Même si j'ai toujours détesté cet endroits, tellement impersonnel, sale, avec des poutres en métal qui traînes partout, des câbles, et surtout trop de gris. Mais ce soir c'est différent.
Ce soir c'est la fin de Tokio Hotel. Et tout le monde le sait, les fans, pour la plupart s'en foutent, de toutes façons pour elles ont existaient plus. Et la presse en fait ses gros titres.
Les 2G, ont été géniaux sur ce coup là. Ils ne nous ont rien dit, n'ont rien fait, n'ont pas essayés de nous en dissuader, ils ont juste acceptés, comme ils nous l'avez promis quand ont leurs à dit qu'on étaient ensembles. Ils ont tenus leurs paroles.
Ça me fait mal, parce que c'était ma vie, son adolescence, mon enfance aussi, ma vie, mon avenir... Mais ce soir c'est fini, pour de bon. De toutes façons ont a plus de producteur, on a plus de fan, on a plus rien. Et on espère que comme ça, on sera enfin libre, libre de s'aimer, libre de vivre notre vie. Qu'on sera plus des symboles vivants, qu'on sera plus les jumeaux Kaulitz, qu'on sera juste Bill et Tom... 2 mecs marginaux qui s'aiment et qui vivent leur petite vie tranquille, loin de tout, loin des gens, loin du monde. Enfin libre.
On veut juste être normal. Juste une fois.

21 juin 2007 : 13h43

Mon portable sonne, je reconnais la voix de Peter, un de nos anciens producteurs, maintenant c'est lui qui m'appel et plus David. Il me signale que bravo veut faire un photo shoot dans 2jours de Tom et Moi, comme un couple.
Encore ...
Je lui demande combien il propose et il me répond qu'ils ont acceptés de monter à 290 000Euros, mais qu'ils veulent en échange l'exclusivité.
J'interroge Tom du regard, il hoche la tête et me sourie.
Je répond que c'est d'accord mais pour 300 000 et qu'en échange ils nous demandes ce qu'ils veulent. Peter est étonné, mais il a apprit qu'avec nous, il ne fallait plus s'étonner de rien.
Notre plan marche à merveille.
Tout ce passe comme prévu.
En effet, même si on est redevenus des anonymes, depuis plus d'un mois maintenant, les journalistes nous assailles toujours. On fait toujours la une de tous les journaux, les gens continus de nous traquer, de nous insultés, les paparazzi sont à l'affût du moindre geste tendre, de la moindre parole.
On n'aura jamais la paix.
Alors on va leurs donnés ce qu'ils veulent tous, on sa se donnés en pâture à ses vautours, pour qu'ils nous achèvent enfin. Pour qu'enfin, on puisse voir de vraies photos des jumeaux les plus dégueulasses d'Allemagne.


23juin 2007 : 15H09

Nous voici dans les couloirs de la rédaction de Bravo. Ses couloirs qu'on a tellement foulés, tous les 4 ... mais aujourd'hui on est deux ... Aujourd'hui, c'est officiel, on est bien l'attraction principale. Main dans la main, on se dirige d'un pas décidé vers le studio photo.
Je porte un jean noir moulant là ou y faut et évasé en bas, et j'ai mon tee-shirt rouge « the icon », j'ai les cheveux lise, comme ça ils en feront ce qu'ils veulent ...
Tom, lui a un baggy bleu foncée, un tee-shirt blanc uni. Et il n'a pas sa casquette, il a juste son chouchou dans les cheveux.
Le photographe nous fait un grand sourire, il est adorable avec nous, mais dans ses yeux, je vois la même excitation, que le journaliste de la ZDF qui m'a fait avoué que j'étais gay.
Ils sont tous pareils. Mais on le savaient. On savaient qu'on allait devoir faire face à ça.
A eux, à leurs regard déformé.
Mais on fait ça pour qu'un jour, quelqu'un remarque que sur ses photos on s'aimaient vraiment, que quelqu'un regarde ses clichés et se disent : « merde ses 2 là, ils s'aimaient, ils puent l'amour, le désir, la passion, l'envie... et dire qu'on les as tués ... ».
Je veux qu'ils voient tous, ce qu'avait vu cette fille, en bas de l'hôtel à Hambourg, celle qui m'avait dit qu'elle était heureuse qu'on s'aime, parce que c'est la seule qui a su voir en nous l'amour, la passion, le désir, la folie, la seul à bien y réfléchir qu'y ait comprit, peut-être même avant nous, qu'on étaient fait l'un pour l'autre, qu'on était fait pour s'aimer.
J'ai enfin compris le sens profond de sa phrase.
je ne la remercierais jamais assez.

Je ne fais pas ça pour le fric, de toutes façons là où on va, ils ne nous servira plus. Je fais vraiment ça, pour que les gens est un souvenir de nous deux, comme 2 personnes qui s'aiment et qui s'aimeront toujours. Je fais ça pour ses connards qui m'ont interdit de toucher à mon frère. Je fais ça pour tous ceux qui nous ont rejetés sans savoir, sans comprendre, sans voir qu'on s'aiment plus que tout.

Le photographe, nous demande de nous enlacer, de nous regarder tendrement, de nous embrasser, de poser nos mains un peu partout sur le corps de l'autre, de nous mettre torse nus... on accepte tout... après tout on leurs as donné carte blanche. D'ailleurs je trouves ça très existant de se toucher comme ça devant un objectif.
Ça aurait fait un super souvenir ... dommage.
L'amour nous étouffe, il a remplit toute la pièce et même le photographe l'a remarqué, et se sent mal à l'aise, comme s'il interrompait quelque chose de sacrée, de beau...
Il a perdu sa confiance et il a perdu ce regard de charogne, maintenant il est intimidé. Il a comprit. Il a ressentit, il a vu, il a comprit. Notre plan marche à merveille.
On se sourient et au bout d'une bonne heure de photo on s'en va. Le photographe nous souhaite bonne chance et plein de bonheur. Le pauvre, il a l'air d'être dégoûté de devoir faire ce qu'il doit faire. Parce que lui, sait ou font finir ses photos, il sait ce qu'on va leurs faire dire, il sait qu'elles ne sont là que nous nous salir. Mais il ne peut pas reculer ... il n'a pas le choix, c'est son métier. Mais sa peine me fait mal au cœur, alors je lâche quelque instant la main de Tom, et je retourne dans le studio photo et je lui dis avec un sourire sincère, qu'il doit le faire, qu'on ne lui en voudra pas, et qu'on est conscient de ce que ses photos vont devenir.
Il a l'air encore plus mal à l'aise, mais mon sourire lui redonne un peu de courage, il me murmure un Merci et moi je m'en vais retrouvé mon Tom.


Life, it's ever so strange
La vie, c'est si étrange

It's so full of change
C'est plein de changements

Think that you've worked it out
Tu penses que tout marche

Then BANG
Puis BANG

Something happens to you
Quelque chose t'arrive

To throw you off course
Et te met hors course

And then you Breakdown
Et puis tu Déprimes

Well don't you breakdown
Ben ne déprimes pas

Listen to me
Ecoute moi

Because
Parce que

It's just a ride, it's just a ride
C'est juste un tour, c'est juste un tour

No need to run, no need to hide
Pas besoin de courir, pas besoin de se cacher

It'll take you round and round
Je pendrais ta main encore et encore

Sometimes you're up
Parfois tu es en forme

Sometimes you're down
Parfois tu es plus bas que terre

Don't be scared
Ne sois pas effrayé

Don't hide your eyes
Ne fuis pas tes yeux

It may feel so real inside
ça peut sentir si vrai à l'intérieur

But don't forget it's just a ride
Mais n'oublie pas que c'est juste un tour

Truth, we don't wanna hear
Vérité, on ne veux pas l'entendre

It's too much to take
C'est trop à supporter

Don't like to feel out of control
Je n'aime pas me sentir hors de contrôle

here's no getting off
Il n'y a pas d'échappatoire

So live it, just gotta go with it
Alors vis le, tu dois juste faire avec




Tom 31 août 2007 : 20h45

presque 5 mois ont passé, depuis que tout est fini. On pensaient naïvement, que redevenir normal allait tout arranger ... Mais c'est encore pire. Les gens continues de nous regarder de travers, de nos éviter, de nous rejeter. Les journaux continus de diffuser les photos du bravo, on continus de faire la une des magasines, je sais pas ce qu'ils peuvent bien dire depuis tout ce temps. On ne lis mêmes plus les articles qui parles du nous. Cet été, on est partis, juste Bill et moi. Des vacances bien mérités. On est partis en Amérique. On pensaient être enfin tranquille là-bas. Mais pas tout à fait. on a beau fuir, partir le plus loin possible, il y a toujours des allemands, des français, des espagnoles, des italiens et des tchèques pour nous reconnaître et nous pourrir la vie.
Mais c'était quand même génial, Bill à pu faire des magasins à New York, on a pu aller se baigner à Los Angeles. C'était le pied. Là-bas, Bill, s'est même fait tatoué le bras. Maintenant il arbore un magnifique : Liberté 89. Pourquoi liberté ? parce que dans quelques heures maintenant, on sera enfin libre. Libre de faire ce que l'on veut, libre et responsables de nos actes. Ce soir on a 18ans. Le plus beau jour de notre vie, celui dont on rêves depuis qu'on a l'âge de comprendre ce que ça veut dire d'être adulte. J'ai tellement hâte d'y être.
On a loué un bar à Hambourg. Pourquoi Hambourg ? parce que c'est là qu'est notre studio (même si en réalité, il est en banlieue), parce que c'est là que tout à commencé, que notre histoire est née. Dans la petite pièce de Bill.
Je n'oublierais jamais ce soir-là. Sans doute un des plus beau de ma vie.
Tout a commencé ici, nous voulons tout arrêter ici. La boucle est bouclée.
Ce soir, tout nos amis sont là. Tout ceux qui nous ont soutenus, tout ceux qui ne nous ont pas lâché. Tout ceux qui nous aiment encore. Et ils ne sont pas beaucoup.
Personne ne sait que ce soir c'est la dernière fois. Tout le monde s'amuse, profite de la fête. L'alcool coule à flot, mais bill et moi, n'en buvons pas trop, nous voulons être totalement lucide.
Les gens rient, s'amusent, discutent, boivent, et nous, nous on en profite. Parce qu'on a rêvé de cet instant des millions de fois, qu'on à passé des heures à imaginer cette nuit, à fantasmer sur la fête parfaite. Et je crois sans nous vanter, qu'ont n'y est arrivés.
Certes la première fois qu'on n'y a pensé, on pensaient être au volant d'une voiture entourée de filles à moitié nues, mais le bar glacé c'est pas mal non plus et c'est surtout plus réaliste.
La fête bas son pleins, on a ouvert nos cadeaux (même s'il est pas minuit), on a eu le droit au gâteau, au joyeux anniversaire, aux bisous, aux embrassades, à l'amour, à l'amitié, à la sympathie des gens.
23H59.
Je cherche Bill du regard. C'est l'heure. Dans moins d'une minute on a 18ans. Dans quelques secondes on sera libre. Pour de bon.
Je le repère, nos regards se croisent, on se comprend, il me sourie.
Les invités ne font plus attention à nous, ils sont bien trop occupés à joué à la roulette et au poker.
Les 12 coups de minuits résonnent, alors que bill et moi, on s'est discrètement éclipsé de notre fête. Il s'arrête au milieu de la rue et m'embrasse.

- Joyeux anniversaire Tom

- Joyeux anniversaire Bill


On se l'ai souhaités en même temps. Comme on le fait chaque année. Sauf que cette fois-ci c'est la dernière fois.
Main dans la main, on se dirige vers la chambre d'hôtel qu'on a réservés. On seraient bien retournée dans la petite pièce de bill, mais c'est devenu impossible.
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MessageSujet: Re: [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23   [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 5 Icon_minitimeDim 6 Avr - 19:28

voilà je pense que je poste le prochain chap (donc le 2O) et après, je poste les 3 dernier d'un coup ...
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MessageSujet: Re: [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23   [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 5 Icon_minitimeLun 7 Avr - 22:47

PUTAIN
Un de mes chapitres préférés aussi, vraiment sublime
Déjà ce qui m'a interppelée c'est la réaction de Bill lors du dernier concert, c'était tellement touchant de le voir comme ça, et puis voilà c'était super bien écrit pour faire passer les émotions.
Et puis la fin approche, j'ai hâte de l'avoir, même si ce chapitre la fait pressentir..
Suite I love you I love you

Spoiler:
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Bibo

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MessageSujet: Re: [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23   [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 5 Icon_minitimeMar 8 Avr - 10:51


Bon avant de commencé cette avant dernière suite, je tenais à dire deux ou trois truc :
Tout d'abord Je tiens à préciser, que c'est lent, très lent, trop lent ... et que ça peut faire chier, que ça peut laisser, mais c'est pour accentuer le plaisir et le faite que ce soit la fin et que tout doit être parfait.
Ensuite cette suite est courte, je le sais, mais pour moua elle est différente des autres.
Au départ je voulais faire un lemon, un vrai (un peu comme le 1er), mais finalement les mots ne sont pas sortis comme je voulais, et ça à donné ça. Et vous me connaissez, j'ai commencé à douté, et à me dire : c'est trop merdique, c'est même pas un vrai lemon, ça ressemble à rien ... et tout et tout ^^
Du coup, j'ai appelé à l'aide, un pote à moi, yaoiste, et je lui ai demandé de me donné son avis. Il faut savoir qu'il aime pas th, sauf quand c'est en anglais (comme ça il comprend les paroles) et quand je m'enerve (je deviens dingue quand il me dit qu'il l'écoute en anglais, et le pire c'est qu'il fait exprès de le mettre a fond quand il sait qu'il va me voir, mais passons, c'est pas le sujet)
Mais là, il m'a répondu un truc qui m'a bouleversé il m'a dit qu'il ne s'attendait pas à ce que mes mots le touches autant, vu qu'il se fiche de th et qu'il li pas ma fic', mais qu'il avait été happé dès les premiers mots par l'atmosphère de cette suite, et qu'il l'avait trouvé tellement forte, qu'il en a pleuré. Il l'a même relu plusieurs fois, toujours en larme ...
C'est pour ça que cette suite est importante à les yeux et que même si elle est courte, j'ai tenue à en faire une suite à part en espérant que vous allez ressentir la même chose que lui, quand il l'a lu ...


Paroles : en tus pupilas-Shakira


[FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 5 Banierechapitre20qi2




La vida es una colección de recuerdos
La vie est une collection de souvenirs


Pero a nado coma tú recuerdo también
Mais il n'y a rien dont je me souvienne, comme je me souviens de toi

Desde la redondez de tus labios
De la rondeur de tes lèvres

Al olor de tú piel,
A l'odeur de ta peau,

Al color de tú pelo,
A la couleur de tes cheveux

No pienses que tu irás y me voy a resignar
Ne penses pas que tu pourras t'en allé et que je me résignerais

Eres la mejor que me ha pasado
Tu es le meilleurs qui me soit arrivé

Y aun más coro y siento ...
Et plus encore...



Bill 1er septembre 0h11

Notre dernière nuit, notre dernière fois, nos derniers baisers, la dernière fois que je verrais son doux visage mourir de plaisir sous mes caresses, la dernière fois que je le sentirais en moi, la dernière fois, que sa douce chaleur m'envahira, la dernière fois que je vais respirer l'odeur de sa peau ...
La dernière fois que je verrais sont corps pleins de sueur, la dernière fois que je l'entendrais gémir mon prénom... la dernière fois que je pourrais le torturer en le faisant patienté trop longtemps ... la dernière fois que je me libérais en lui, qu'il se libérera en moi... la dernière fois qu'on tachera les draps... la dernière fois, que je passerais la mains dans ses dread ...
La toute dernière fois ... Notre dernière nuit d'amour ...
On le sait tous les deux... On est sûrement un peu triste, mais notre choix est fait...
on sait que cette nuit, sera parfaite, on sais que ce soir, on ira au bout de nous même ... que l'émotion sera encore plus forte, on sais que ce soir on en voudra encore et toujours plus... On sait que tout à une fin ... mais comme pour un dernier concert, on prend tout ce qu'on peut, on se grave des souvenirs, même s'ils ne nous serviront plus ... on sait ce que l'on doit faire ... On sait qu'on le fait pour nous ... on sait que cette dernière nuit, on aurais pus la passer blottis dans les bras l'un de l'autre... juste à écouter nos cœurs battre à l'unissons une dernière fois ... mais on a besoin de quelques chose de plus fort, de plus de sensation... de plus de passion, de contact ... On va mourir ce matin ... et on le sais ...
On s'est toujours demandés, ce que l'on ferrais avant de mourir ... on voulaient mourir après un concert, puis mourir à une fête ...bourrée comme jamais, mais content... le sentiment du devoir accomplis...
On voulait faire le tour du monde avant de mourir, on voulait mourir dans le plus bel endroit au monde, avec la plus belle des vues, on voulait le soleil, l'océan, l'infini ...
On voulait tellement de chose ... mais aujourd'hui on sait ce que l'on veut vraiment ...
on veut faire l'amour une dernière fois ... on veut voir nos visage respectif prendre du plaisir...
c'est la plus belle des vues ...
On aurait aimé faire un concert avant de mourir, ressentir une dernière fois, l'amour, la passion, les vibrations de 10 000 personnes qui sont là que pour vous ... On auraient aimé entendre une dernière fois 10 000 personnes chanté en cœur nos chansons, nos textes ... Mais ce souhait ne sera pas exaucé ...
qu'importe ...
on fera sans ...
cette pensée me fait mal, elle me rappelle pourquoi on a décidé de tout arrêter ....
pourquoi on a fait ce choix ...
elle me rappelle ses derniers mois ... ce véritable enfer, ces harcèlements permanant ... elle me rappelle mon enfer ... La déception de la vie ... Mais cette nuit est pour lui, pour le bonheur de ma vie, à celui qui a fait battre mon cœur depuis toujours ... au 1er être qui m'a fait frissonné,
mon premier amour,
mon double,
mon frère,
mon jumeau,
mon Tom ...
Il me regarde avec tendresse et désir, il sait à quoi je pense, il sait que j'ai un léger pincement au cœur, même si je suis conscient que c'est la meilleure chose à faire, la seule solution ...

Je lui souris, les yeux plongés dans les siens... liées à jamais ... unis pour toujours ... Je suis prêt ...

Il s'approche doucement de moi, avec un air de pervers... je suis assis sur une chaise, je viens de finir d'écrire notre lettre d'adieu ...

Il s'assoit à califourchon sur moi... son visage à 5cm du mien... on se regarde toujours ... on se souris toujours ... sa main vient doucement caresser mon visage ... je ferme les yeux ... et viens blottir mon visage dans sa main ... je soupir ... j'aime tellement sa peau ... ses mains ... ses doigts ... sa douceur ...
Il continu de frôler mon visage ... il redessine le contour de mes lèvres avec le bout de ses doigts ... il me masse le visage et le crâne ... je pousse de petit cris de plaisir ... c'est tellement bon ... je ré ouvre les yeux étonné qu'il se soit arrêter... et je le vois me regarder, me contempler comme si c'était la première fois, comme s'il voyait l'être le plus magnifique du monde... ses yeux brilles comme ils n'ont jamais brillés ... il prend mon visage entre ses mains ... Et rapproche le siens encore plus, jusqu'à ce que nos nez se touches ... Il me fait un bisous esquimaux en longeant de haute en bas mon nez, comme une série de va et viens ... Je gémis son prénom encore une fois ... ses lèvres déposent des baisers dans mon coup, puis il remonte à mon menton, pour tracer le contour de mon visage, il baise, suçote, lèche, avec une tendre douceur ...je le laisse faire, mais il sait que j'en veux plus, que j'attend qu'il m'embrasse, mais il a l'air bien décider à me faire attendre le plus longtemps possible, autant qu'il tiendra, comme ça, à me dévorer des yeux, aussi longtemps qu'il résistera à mes lèvres, je ne ferrais rien...
rien .... que soupirer ... rien que profiter de chaque secondes ... rien que gémir son prénom, encore et toujours ...
Il m'embrasse le grain de beauté, celui que j'ai juste en dessous de la bouche ... puis doucement sa langue vient trouver mes lèvres, et en trace la forme ....
Je suis si bien ... il est tellement doux ... comme si c'était la première fois, comme s'il voulait prendre son temps... profiter de chaque geste, de chaque contact ... nos peaux frémisses en même temps ... je sais que nos excitations monte, mais lentement ... très lentement ... et c'est encore meilleur ...
Nos lèvres s'effleurent ... se cherchent, se trouvent ... il mordille ma lèvre inférieure ... Je joue avec son piercing ... et enfin un baiser ... notre premier baiser depuis qu'on a commencé ... mes mains se perdent dans ses dreads, lui essaye de me rapprocher de lui, il me sert, fort, il veut que l'on soit plus proche... il veut que nos corps fusionne ...
Je frissonne... gémis dans sa bouche ...
Nos langues continues leurs danses ... se cherchent, se taquine, se suce, se mordille, s'aime ...
Notre désir monte... il en devient presque douloureux, mais il faut tenir, ce n'est pas encore le moment ... il faut attendre ...
Il enlève mon tee-shirt en en profitant pour me lever de ma chaise, et me guider vers le lit ...
Ce lit d'un blanc, pur, innocent, parfait, neutre, ce lit qui ne nous jugera pas, mais qui sera le témoin silencieux de notre amour, de notre passion... le lit de la dernière fois ...
Torse nu au milieu de la pièce, ses mains descendent lentement ... au milieu de celui-ci ... Je frémis ...
Il s'arrête, et je comprend qu'il veut que je lui enlève le sien... un petit baiser sur ses lèvres et je m'exécute ... aujourd'hui il porte un tee-shirt ou on peut facilement rentrer à deux, alors au lieu de lui enlever, je me baisse, dépose deux ou trois baiser sur son torse et vient le rejoindre... on peut à peine bouger, mais on tien à deux, nos torses nus côte à côte ... il me sourie amusé de ma nouvelle idée... mais ça à toujours été un fantasme de me retrouver dans un de ses tee-shirt géant avec lui ...
On s'enlève nos pantalons respectif ... et je me baisse direction son boxer ... ou je contemple la bosse qui c'est formé ...
J'embrasse le tissu, il gémit ... Je souffle dessus ... il se cambre ... j'embrasse son aine, il m'en demande plus ... je pose ma main sur son sexe, il hurle ...
Et moi je souris ... j'aime l'entendre hurler, gémir, j'aime voir sa peau parler pour lui ... je l'aime ...
Je retire avec ma bouche son boxer ... et je me rends compte qu'il ne voit pas ce que je fais, puisque je suis caché par la masse de tissus ... ça rend les choses plus érotique ... c'est comme s'il avait un bandeau sur les yeux ... je peux faire de lui ce que je veux, je peux le surprendre ....
J'admire une dernière fois son sexe nu ... imberbe ... il est tellement parfait ... tellement beau ... ma main le caresse, toujours dans le même sens, comme on caresse un chat ...
Il soupire... me supplie de faire quelque chose ... j'aime quand il me supplie, j'aime ce tendre supplice ... plus on attend mieux c'est ...
en temps normal il me menacerait de se finir lui-même, mais compte tenu de la situation, il se tait, et continue de gémir mon prénom, inlassablement ...
L'envie est trop grande, je ne peux plus attendre .... je lèche son gland ... il ne s'y attendait pas et hoquette ...
je l'imagine sous le choc ... j'imagine la stupéfaction sur son visage ... je l'imagine se mordant la lèvre ... j'imagine que ses yeux se sont grand ouvert...
je remonte une seconde, repasse ma tête à travers l'ouverture du col pour l'embrasser et en même temps, ma main agrippe son sexe et effectue de légers vas et viens, accentuer de pressions à des endroits que je sais sensible chez lui... son visage est en sueur, il tremble, il me murmure entre 2 gémissements, qu'il ne tiendra plus très longtemps sur ses jambes, et qu'il faut aller sur le lit ...
Je ne l'écoute pas ... j'ai quelque chose à finir ... j'embrasse son torse en une ligne invisible, et retourne au niveau de mon occupation du moment ... En lui massant les fesses, je prends son sexe à pleine bouche ... tom fait des va et viens pour me donner le rythme et j'en profite pour rentrer un doigt... puis deux ... dans son intimité ... il hurle mon prénom ...
il hurle de surprise, de plaisir, de désir... il veut que j'aille plus vite... mais c'est lui qui contrôle tout, moi je subis ... alors il accélère ... puis ralentit ... il veut que se dure le plus possible ... il recommence ce manège 2 fois puis se libère dans ma bouche ... j'avale tout... jusqu'à la dernière goûte ... parce que c'est la dernière fois que je pourrais ... parce que j'aime tout ce qui vient de lui ... je retire mes doigts et enlève son tee-shirt, ses yeux son embués par le plaisir ... il n'en peut plus ... après un orgasme il lui faut toujours quelques minutes pour ouvrir les yeux ... et moi j'en profite pour l'admirer ... parce que je l'aime, parce qu'il est parfait ... on s'allonge sur le lit, moi sur lui ... et pendant qu'il récupère, j'embrasse son torse ... à chaque baiser, mes lèvres trembles sous les battements de son cœur ... c'est tellement plaisant comme sensation, comme des fourmis dans les lèvres ... il ouvre doucement les yeux, me murmure un merci avant de prendre le dessus, mon érection est toujours à son maximum et peut-être au delà ... A telle point que je l'ai presque oublier ... je pensais trop à son plaisir, que j'en ai oublier le mien ... mais lui ne vois pas les choses de la même façon et le regarde avec envie, avec désir ... il cherche ce qu'il va bien pouvoir me faire ...
Il se décide pour une fellation et des millions de baisers ... il embrasse mon étoile, la colorie avec sa langue ... s'attarde sur mon nombril, sur mes tétons durcis par le plaisir ...
Je soupir, je gémis, je crie, je hurle, je ne sais plus ... je ne sais même plus ce que je dis ... tout est confus dans mon esprit ... je ne vois plus rien, ma vue est brouillé par le plaisir, je ne fais plus attention à rien ... à rien d'autre qu'à Tom, qu'à mon amant, qu'à celui qui est entrain de faire ce qu'il veut de mon corps, le lécher, l'embrasser, le parsemer de petites traces rouges, le mordiller ... tout y passe ... et moi qui gémie ... je lui demande de me sucer, mais il ne fait qu'un va et viens, juste pour humidifier mon sexe ... toujours au-dessus de moi, ses mains caresses mon torse, et doucement ... trop doucement ... il descend ... s'empale ...
Nos cris s'unissent en un seul ... plus fort ... plus puissant ...
C'est trop bon ... me sentir en lui ... sentir sa chaleur autour de mon sexe ... subir ses caresses, ses baisers, son rythme ...
Merveilleuse torture ....
Ma main le branle en se callant sur son rythme ... Je veux que l'on partent en même temps ...

- T... ommm .... To...mmmm..... J... Je ... Je t'a... iiiiimmmmeeeeeeee

Je me libère en lui sous ses mots ... et lui se déverse entre nos corps au même instant ...
Toujours en moi, il s'allonge sur mon torse, mélangeant ainsi nos sueur identique ...
On se sourie ... sa tête dans le creux de mon cou ... et moi lui caressant le dos ...

Merveilleuse dernière fois ... il se retire ... un dernier cri de plaisir ...
mes yeux se pose sur la table de nuit ... tout est prêt ... elle nous attend ... elle nous appelle ... La lumière de la lampe de chevet se reflète sur la lame ... cette lame, notre libération, notre espoir ... notre avenir ... c'est bientôt l'heure ... mais pour l'instant profitons de ses derniers instants magique ...
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MessageSujet: Re: [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23   [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 5 Icon_minitimeMar 8 Avr - 10:51

voilà le chapitre 20, rien que pour toa ? (?)
on arrive a la fin ... arf
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MessageSujet: Re: [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23   [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 5 Icon_minitimeMar 8 Avr - 22:37

AHH Quel lemon, j'aime bien quand ils sont longs, quand c'est court jtrouve que ça va trop vite et c'est nul, mais là c'est long et j'adore, tes mots itout, c'est vraiment super
Et puis les descriptions de malade
Bref je veux la fin, même si elle s'annonce déjà triste
Mais avec toi on peut s'attendre à tous, alors j'attends

I love you
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Bibo

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MessageSujet: Re: [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23   [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 5 Icon_minitimeMer 9 Avr - 11:22

mdrrrrr
moua aussi j'aime les longs lemon bien bavant Rolling Eyes (on est perverse ou on l'es pas hein ^^)
je me rends pas compte moa, mais je suis contente que ça te plaise autant ...

la fin est horrible, affreuse, mais devinable, c'est la seule fin possible, la plus belle des fins ... la seule fin ...

on a enfin des réponses à des questions qu'on se posais depuis le début genre ; qui a remis des k's dans leurs lits tout au début ...

mais je suis sadique, je la poste pas aujourd'hui,j'attends demain Smile

mais demain promis tu l'auras Smile
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MessageSujet: Re: [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23   [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 5 Icon_minitimeMer 9 Avr - 22:46

Ok mercii *o*

Je crois que j'ai trouvé ton forum (j'étais déjà inscrite dessus)
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Azarel

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MessageSujet: Re: [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23   [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 5 Icon_minitimeJeu 10 Avr - 15:37

C'est pour quand la fin??
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MessageSujet: Re: [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23   [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 5 Icon_minitimeJeu 10 Avr - 15:56

c'est pour de suite ^^
enfin dans 5mins
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MessageSujet: Re: [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23   [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 5 Icon_minitimeJeu 10 Avr - 16:02

Paroles : Zusammen-Lafee

Tokio Hotel - Der letzte tag (c'est étrange, à la base cette chanson n'était pas dans la suite, mais je me suis rendue compte aujourd'hui à quel point les paroles étaient belles et à quelles points elles pouvaient coller ... )

[FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 5 Banierechapitre21gw6


Was wir sind was wir tun
Ce que nous sommes ce que ne faisons

Werden sie nie mehr verbieten
Ils ne l'interdiront plus jamais

Wir stehen zusammen
Nous sommes ensemble

Wir gehen zusammen
Nous marchons ensemble

Zusammen bis in den Tod
Ensemble jusqu'à la mort

Wir leben zusammen
Nous vivons ensemble

Wir schweben zusammen
Nous planons ensemble

Zusammen bis in den Tod
Ensemble jusqu'à la mort

Du bist bei mir - ich bin bei dir
Tu es avec moi - je suis avec Toi

Wir lassen uns nie wieder los
Nous ne nous séparerons plus jamais

Wir kennen keine Angst
Nous ne connaissons pas la peur

Wir suchen und wir finden unser Glück
Nous cherchons et nous trouvons notre bonheur

Denn hinter den grauen Wolken
Car sous les nuages gris

Wartet das Licht es gibt kein Zurück
La lumière attend, il n'y a pas de retour possible

Wir stehen zusammen
Nous sommes ensemble

Wir glauben an uns diese Liebe gibt Kraft
Nous croyons en nous, cet amour donne la force

Ihr wolltet uns trennen ihr habts nicht geschafft
Vous vouliez nous séparer, vous N'avez pas réussi

Wir gehn unsern Weg in die Freiheit zu zweit
Nous suivons le chemin de la Liberté à deux


Die Macht zweier Herzen ist jetzt bereit
Le pouvoir de deux coeurs est Maintenant prêt


Herz an Herz Hand in Hand hier ist nichts mehr was hält
Coeur à coeur main dans la main Il n'y a plus que ça

Vor uns der Himmel im Rücken die Welt
Devant nous le ciel, dos Au monde

Ich fühl mich geborgen da wo wir bald sind
J'ai l'impression d'être née ici, où Nous serons bientôt

Für immer - wir fallen - wir schweben im Wind
Pour toujours - nous tombons - nous planons dans le vent

Wïr stehen zusammen
Nous sommes ensembles.


On croit que rien n'est jamais plus fort que l'amour
Que c'est un don que le ciel nous a fait un jour
Un bien plus grand que tous les trésors de la terre
On croit qu'on peut le garder rien que pour soi
Comment penser que quelqu'un puisse le défaire
S'aimer pour nous est interdit
Impossible amour mais amour infini
S'aimer pour nous n'est pas permis
Si j'avais su que c'était joué d'avance
Si j'avais su que j'allais te faire souffrir
Comment savoir d'où vient le mal d'où vient le pire?



Tom 1er septembre 2007 : 6h32, l'aube se lève doucement sur Hambourg et les 1ers rayons du soleil s'infiltres par la vitre de la chambre et viennent doucement réchauffer leurs corps nus.

Tu étais le seul pour moi, le seul qui n'ai jamais compté, tu étais mon rêve, tu étais ma vie, tu étais mon espoir, mon souffle, ma raison de vivre, tu étais en moi, tu coulais dans mes veines, tu étais mon cœur, car tu le faisais battre, tu étais mon espoir d'une vie meilleur. Mais tu n'y a pas cru, tu es partis, tu m'as laissé, abandonné, tuer, trahis... Mais je ne peux pas t'en vouloir, car je t'aime depuis toujours. Tu n'as pas su supporter la pression, les regards, les réflexions, je sais que tu as essayé de ne vivre qu'avec notre amour, en essayant de ne pas te voir comme un monstre. Je sais que tu as essayé, et je t'aime encore plus pour ça, car je sais comme le regard des autres est important pour toi. Je sais que tu m'aimeras toujours, même si tu as tenté de le renier. Quand tu l'as acceptés, il était déjà trop tard. On aura vécu tout ce que l'on auraient jamais dus vivre et plus encore, et je t'aime de m'avoir donné tout ça. Nous sommes là tous les deux, mains dans ma main allongés sur ce grand lit blanc. Paisibles, nous savons que c'est la fin, nous nous sommes dit adieu, nous avons vécus notre dernière nuit en ce monde ensemble et ce fût la nuit la plus magique, la plus intense, la plus émouvante, la plus merveilleuse, la plus fantastique, la plus marquante, la plus belle, la plus orgasmique, la plus excitante, de ma vie, et de, je penses pouvoir le dire, de notre vie. Nous partons ensemble, sereins, personne ne pourra nous séparer, nos doigts entremêlés, nous sentons la vie doucement nous échappés. Nous allons vivre et faire ce que nous avons toujours souhaités au plus profond de nous : mourir ensemble, comme nous sommes nés ensemble, car deux jumeaux, sont deux êtres qui n'auraient du faire qu'un, la boucle et bouclé. Un dernier baisé passionné, au milieu du sang chaud fumant, c'est une sensation agréable, nous l'avons choisis comme un accord. Le monde ne veut pas de nous, mais comme nous avons besoin du monde, et que nous ne pouvons vivre sans lui, nous allons le quitter, tels des amoureux maudits, deux Roméo sans leurs Juliette, partant ensemble, main dans la main, parés pour vivre l'éternité ensemble, car elle, jamais ne nous sépareras. Cette douce pensée nous fait sourires. Ainsi notre vie s'achève, le sourire aux lèvres et ton regard plongé dans le mien.
A tout de suite mon ange... Je t'aime...


Die ganze Welt da unten
Le monde entier, là, en bas

Kann von mir aus untergehen
peut bien disparaître

Heute nacht
cette nuit

Sind wir zum letzen mal zusammen?
Sommes-nous ensemble pour la dernière fois ?

Es hat doch grad erst angefangen
Pourtant, tout ne fait que commencer

Wenn dieser Tag der letzte ist
Si ce jour doit être le dernier

Bitte sag es mir noch nicht
S'il te plaît ne me le dis pas encore

Wenn das dass ende für uns ist
Si c'est là que tout doit s'arrêter pour nous deux,

Sags nich
Ne le dis pas

Noch nich
pas encore

Ist das etwa schon der Tag danach ?
Sommes-nous déjà à ce « lendemain » ?

Wo alle Uhren still stehn
Quand le temps s'arrête,

Wo's am Horizont zu ende ist
Quand il n'y a plus rien au-delà de l'horizon

Und alle träume schlafen geh'n
Quand les rêves s'éteignent

Sind wir zum letzen mal zusammen?
Est-ce la preuve que nous allons être ensemble pour la dernière fois ?

Es hat doch grad erst angefangen
Pourtant, tout ne fait que commencer

Wenn das dass ende für uns ist
Si c'est là que tout doit s'arrêter pour nous deux

Sags nich
Ne le dis pas

Noch nich
pas encore

Das ist der letzte Tag
C'est le dernier jour

Ist das der letzte Segen
Est-ce la dernière bénédiction

Und unsere letzte Nacht
et notre dernière nuit

Hat unser ende angefangen ?
Est-ce le début de la fin ?

Egal wir sind ja noch zusammen
Peu importe pour l'instant nous sommes encore

Wenn dieser Tag der letzte ist
Si ce jour doit être le dernier

Bitte sag es mir noch nicht
S'il te plaît, ne me le dis pas encore

Wenn das dass ende für uns ist
Si c'est là que tout doit s'arrêter pour nous deux

Sags nich
Ne le dis pas

Wenn dieser Tag der letzte ist
Si ce jour doit être le dernier

Bitte sag es mir noch nicht
S'il te plaît, ne me le dis pas encore

Noch nich
pas encore

Das ist der letzte Tag
c'est le dernier jour


Bill 1septembre 07 : 6h32

On cherche tous une personne capable de nous aimer, de nous désirer, de nous faire l'amour avec passion même si on est malade avec un teint verdâtre ou jaunâtre, la morve qui coule, le vomi sur le coin de la bouche, l'haleine fétide, fiévreux dans notre vieux pyjamas troué avec nos pantoufle poussins. On cherche tous l'homme ou la femme chez qui rien ne nous dégoûtera, en qui on aura confiance aveugle, avec qui on pourras tout faire, à qui on pourra tout dire... La personne qui nous ferra vibrer, celle dont la vision du corps nu nous donnera des pensées perverses, celle dont un simple effleurement nous transcendera...
Je pensais que ce genre de chose n'arrivait que dans les films, que ce n'était qu'un vieux fantasme de romantique... et pourtant... Cette personne, je l'ai trouvé... c'est Tom, c'est mon frère, mon double, ma moitié et je l'aime. Ce n'est pas de l'amour, du désir, de la passion, c'est au-dessus, et il n'y a aucun mot pour ça... Il est mon oxygène, ma raison de vivre, je ne peux me passer de lui plus de 2 secondes, j'ai un besoin permanent de contact, de le toucher, d'être prêt de lui, d'être en lui ... encore et toujours...
A chaque fois qu'on fait l'amour, on découvre de nouvelles sensations, toujours plus loin en nous, toujours au-delà de ce que l'on pensais être le summum du plaisir, on en crève un peu plus à chaque fois, mais on est bien...
Je l'aime, je l'ai toujours aimé, depuis la 1ère seconde, aujourd'hui je le sais, je réalise que j'ai toujours voulue être prêt de lui, que je trouvais toutes les excuses du monde pour dormir dans son lit, cauchemar, crise d'angoisse, peur du noir, maladies... tout était bon à prendre pour me rapprocher de lui, pour être avec lui, prêt de lui, dans ses bras. Notre vie s'achève ici, et je n'en regrette rien, elle nous a permis de vivre autant qu'elle nous a tué. Je sais qu'il m'a pardonné toutes mes erreurs, surtout celles qui l'on fait souffrir, comme Karen, mais aujourd'hui il sait... Il sait qu'en fait, il a été la seule personne avec qui j'ai fait l'amour, la seule personne que j'ai réellement aimé, que pour tous les autres, j'ai fait semblant, j'ai joué un jeu, un rôle, qu'inconsciemment ou pas je me suis réservé à lui. Que c'est le seul que j'ai aimé, et que j'aimerais. La vie se détache de nos corps, je sens dans sa main, la vie s'éteindre, au même rythme que la mienne, j'espère que nous allons mourir à la même seconde et pas à 10mins d'écarts comme nous sommes nés, car une seconde sur terre sans lui, est un vrai supplice et je ne veux pas que cela soit mon dernier sentiment.
Main dans la main, personne ne pourra nous détacher...
Mon regard plongé dans ses yeux noisette, un dernier je t'aime, un dernier sourire, un dernier baiser... jamais je n'aurais souhaiter mourir autrement...
A tout de suite mon ange... Je t'aime...
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Bibo

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MessageSujet: Re: [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23   [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 5 Icon_minitimeJeu 10 Avr - 16:02

Le texte qui va suivre n'es pas une chanson, c'est une partie un peu coupé et un peu modifiée, d'un texte écrit par un pote ... A la base le texte est triste et marque la fin d'une histoire, mais je trouves que ça colle avec la fic' ... et pis ce texte et trop beau (en entier en tout cas) et pour la dernière, parce que oui, on n'y arrive ... c'est le dernier chapitre, si on peu appeler ça un chapitre... alors je voulais un texte qui me touche particulièrement ...


[FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 5 Banierechapitre22ip4

Epilogue/chapitre 22


N'as tu jamais aimé au point de t'abandonner?
N'as tu jamais rêvé que vous puissiez fusionnez?
N'as tu jamais été propulser à des années lumières de ton bien aimé?

N'as-tu jamais vécu cette sensation d'oubli ?
Cette fâcheuse impression d'avoir trop ressenti?
Ce sentiment de l'avoir tant aimé,
Qu'a présent vos rêves sont dérangés?

De l'avoir désiré à un point de non retour,
Un point ou l'amour ne fait plus de détour?

N'as-tu jamais songé à cette sensation ?
Celle de l'enflammer en une simple explosion.
De vous voir brûler tout deux,
Pour mieux rejoindre les cieux.

N'as-tu jamais souhaité être une fontaine?
Un puit où sans cesse tu rejetterais ta peine?
D'être une source où il viendrait s'abreuver,
Boire les larmes que ton cœur a saignées.

N'as-tu jamais éprouvé cette intense émotions?
Celle ou ta propre source se retrouve asséchée,
Celle qui brusquement arrête tes larmes de couler.

N'as- tu jamais rejeté cette étrange impression?
Ce moment la, ou tu remarques au fond de toi? cette contradiction?

Du regard tu cherches alors ta moitié,
Et, sans savoir quoi faire tu te mets à l'oublier.

Tu sais que tu l'aimes plus que tout,
Que tu l'as toujours aimé plus que tout?
Au fond des yeux de ton dieux,
Tu cherches le merveilleux de cette douce caresse?

La seule que tu crois capable d'annihiler.
Le sort cruel qui vous est destiné.
Tout espoir n'est maintenant qu'illusion?

A ce moment, tu vois que tu vis vos derniers instants,
Que tu l'aimes plus que tout mais le chagrin t'attend
Tu le regardes, mais sa force est partie,
Lui qui jour après jour t'avais porté à l'infini
Lui n'à plus les ressources de te sortir de l'ennui.

N'as-tu jamais pleuré de l'avoir tant aimé ?

Ne lui à tu jamais dis je t'aime pour la première fois ?

Se soir la tu pleures plus que tout,
Tu l'aimes toujours plus que tout
Et, tu le désires encore plus que tout

Mais au plus profond de toi tu es vide et fatigué
Tu es vide et cassé
Epuisé d'un amour qui t'a pris puis asséché.


Voilà ce que l'on pouvait lire dans une petite colonne du quotidien national Die Welt en ce 2septembre 07

On pense tous que l'Amour est la chose la plus belle et la plus pure au monde...
On rêves tous de trouver cet équilibre rassurant, de trouver cette personne unique au monde qui est capable de nous faire frémir au moindre contact, de nous faire sourire à chaque fois qu'on la voie...
Et quand on la chance d'avoir trouvé cette personne, on se dis que notre quête et finie, qu'il ne nous reste plus qu'à vivre notre vie et notre amour jusqu'à ce que la mort nous emportes et même après si possible...
Mais même si tout le monde s'accorde à dire que l'amour est la plus belle chose au monde, et qu'on ne devrait jamais détruire un vrai amour, certaines formes d'amour son interdit... ou répréhensible, parce qu'elles ne sont pas dans la norme, parce qu'elles sont hors du commun...
Un noir et une blanche, un musulman avec un juif, un homme avec un homme, une femme avec une femme... un frère et une sœur... une sœur et une sœur, une fille et son père, une mère et son fils, un frère et un frère...
Ces amours sont punis par la morale, par la loi, et l'amour passe à la trappe, on accepte l'amour que quand il est moralement acceptable...
Vous avez sans doute lu les journaux ses derniers jours, vous avez donc sûrement vu partout la photo des jumeaux Kaulitz, nos rock star préféré... Ceux qu'ils y a encore quelques mois vous aduliez, que vous aimiez, dont vous étiez amoureuses...
Et que vous avez détruit et rejeté du jour au lendemain, sans aucun scrupules, parce que vous étiez dégoûter de les savoirs ensemble, de savoir qu'ils s'aimaient d'un amour réel et plus fort que ce vous pourriez imaginer dans vos plus beaux rêves.
Etes-ce par jalousie ? Par homophobie ? Pourquoi les avez-vous hués, tabassé, délaisser ?
Ne pouviez-vous pas tout simplement continuer de les aimer ? D'être heureux pour eux ?
En quoi ont-il changé ? Pourquoi les avoirs tués ?
Parce que oui, vous les avez tuez, que vous le vouliez ou non... Peu les ont soutenus et tous leurs ont tourné le dos... Certains sont même aller jusqu?à les faire poser comme 2 amants, pour mieux les détruire après...
J'espère que vous regrettez votre comportement, même s'il est trop tard...
2 amants sont morts par votre faute, parce que vous les avez jugés sans les connaître, sans essayer de les comprendre...
Sans vous dire que s'ils avaient finis par vous avouer leurs amours, c'était pour être enfin en paix. Sans vous dire que s'ils n'avaient pas enfoui leurs sentiments c'est peut-être parce qu'ils étaient trop fort ? N'avez-vous pas penser une seconde qu'ils ont essayés de faire comme s'il n'y avaient rien entre eux ? Mais que le lien était trop fort pour passer à côté ?
L'Amour ne triomphe pas toujours... et les contes de fée ne sont fait que pour rêver...
Ils étaient frères, ils étaient jumeaux, ils étaient adulé, ils étaient des rock star, ils se sont aimer, ils ont tous perdus pour vivre enfin heureux, mais les histoires d'Amours finissent mal ... en général...
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MessageSujet: Re: [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23   [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 5 Icon_minitimeJeu 10 Avr - 16:02

Eloge funèbre chapitre 23

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Perdre un être cher, un fils, un ami, un confident, c'est douloureux...
Mais quand c'est son choix, aussi égoïste soit-il, la meilleure chose à faire, c'est se souvenir de lui ... des bons moments ... et se dire qu'il a peut-être trouvé un monde meilleur... Ou il pourra enfin être heureux...


On ne peut partir sans jamais rien quitter
On ne peut rester sans jamais rien oublier
On peut s'aimer au point de s'en aller


David : Je sais que je ne devrais pas être là ... Je ne sais pas s'ils auraient souhaités ma présence... Et si je les offenses je m'en excuse ... Mais je voulais être là... Malgré tout ce que j'ai fait, tout ce que j'ai pu dire ... je les aient laisser tomber au moment où ils en avaient le plus besoin... Au moment où ils avaient besoin d'amis ...
Je demande leurs pardons, votre pardon ... Jamais ... Si j'avais su ... Je n'aurais jamais imaginé qu'ils ...
Je sais que je n'ai pas été à la hauteur, je sais que je les ai tués ... J'ai été égoïste .... Je n'ai pensé qu'à moi, qu'à ma carrière, qu'à leur groupe, qu'à leur image, qu'au fric ... J'ai eu peur, je me suis vu fini, je me suis vu la riser que toute la profession ... Et pourtant je ...
Je ... Je les aimais ... Et pourtant j'ai vu combien ils s'aimaient ... Et pourtant j'ai compris ... mais trop tard, que jamais ils n'auraient fait tout ça, s'ils ne s'aimaient pas vraiment ...
J'ai eu peur ... J'ai été lâche ... Si seulement je pouvais revenir en arrière ... Si seulement ils pouvaient me pardonner ... Si seulement j'avais su les protéger ... Au lieu de les abandonner ....
Pardon ... Bill ... Tom ... Je vous aimes, je m'excuse, je regrette ...
Je suis tellement ... Si vous saviez ....
Je suis désolé ...


Gustav : Les twins ... Cher Twins ... Je ne sais pas vraiment comment commencé ... Ni par ou commencer ... je ne sais pas quoi dire ... j'essaye tant bien que mal de trouver les mots, mais rien ne sort ... Entre nous ... Tout à commencé ... Y a maintenant 7ans ... Je bénis ce jour ou je zonais dans les rues de Magdeburg ... Et où je vous aient entendu ... Ou je vous ais vu pour la première fois ....

Je suis désolé ... c'est trop dur ...

... Je continue pour vous les mecs, faut que je finisse ... Et vous savez comme j'ai horreur des discours ... A quel point je n'aime pas parler ... Mais il faut que je vous dise ... une dernière fois ... Il faut que j'arrive à vous dire Adieu ...

Nan .... Je ne peux pas ... Je ne peux pas y croire ... Je ne peux pas l'accepter ... Mais c'est votre choix ... et je sais que vous avez pris la décision qui vous semblez la meilleure ... Voire la seule ...

Je pense que dans le fond, j'ai toujours su que vous vous aimiez ... Depuis la 1ère seconde ... Depuis que je vous ai vu dans ce vieux hangar ... vous aviez l'air si complices ... si proche ...
Je garderais cette image de vous à jamais .... Pas d'amour, mais plus que des frères ... j'ai jamais été aussi proche de ma sœur, que vous entre vous ... en même temps vous êtes jumeaux ...
Je voulais vous dire ... que vous allez sacrément me manquer ... Vous étiez comme des frères, comme une famille ... On pouvez tout ce dire ...
Bill tes petites manières et les heures dans la salle de bain ... ça va me manquer ... tes cheveux en pétard dès le matin ... ton sourire joyeux ... Toutes tes crises que tu poussais pour un rien ... Ton cher et tendre micro ... Ta folie des fringues ... ton rire ... ta présence ... ton aura ...
Tu me manque ....
Tom ... ce qui va me manquer le plus, c'est tes blagues par drôle, que tu ressorts depuis 10ans ... c'est tes éternels « moi moi moi ! »... C'est les récits de tes nuits ... c'est ta bonne humeur ... c'est tes vannes ... qui sont tellement lourdes ... tellement connes ... mais qui vont tellement me manquer ... C'est tes regards pervers, ton sourire de séducteurs, ta complicité avec bill ... ta féniardise ...

Les gars ... j'aurais aimé vous le dire en souriant, j'aurais aimé pouvoir vous le dire, sans pleurer ... J'aurais aimé être fort ... Mais je ne peux pas .... j'aurais voulue finir sur une note d'espoir ... sur un mot gentil, drôle, qui me ferrais sourire, qui me ferais penser à vous, qui me donnerais un bon souvenir ... mais je ne peux pas .... c'est .... trop dur ...
Je voulais vous dire ... une ... dernière fois ... Je sais que vous êtes là ... je sais que vous m'entendez .... je sais que vous êtes là ... mains dans la main ... le sourire aux lèvres ... enfin libre de vous aimez ... Je sais que vous êtes heureux ... que vous êtes mieux là-bas qu'ici ...
Mais je sais qu'on se retrouvera .... pas tout de suite ... mais bientôt ...
Bill ... Tom ... Je ... Je vous aime ...


Georg : Depuis le début, je sentais, et je savais qu'entre ses deux-là , il existait quelque chose de fort, de spéciale, d'inexplicable, que j'ai d'abord attribué au fait qu'ils soient frère, puis jumeaux, étant fils unique, il étaient évident que je ne pouvais pas comprendre. Je me suis toujours sentis aimé d'eux deux, mais toujours un peu à l'égard de leur relation si fusionnelle... Je me souviendrais toujours, du jour ou j'ai vu Tom, au studio, dans l'encadrement de la porte, entrain de regarder Bill mangé son reste de pizza, en y repensant, je me dis, que leurs relation à due changé à ce moment-là, j'ai assisté, à la naissance de leur amour...
Ils ne l'ont jamais su ... Mais c'est moi qui les aient retrouvés dans la petite salle de Bill ... Ils étaient tellement chou ... Blotties l'un contre l'autre ... C'était si beau ... Ils avaient le sourire aux lèvres ... Ils avaient l'air si heureux ... C'est moi, qui suis allé les remettre dans leurs lits ... Je n'aurais peut-être pas du ... Mais sur le coup, j'ai eu peur ... J'ai eu peur de comprendre ... j'ai eu peur qu'on les trouves ... j'ai eu peur qu'on les souilles ... J'ai eu peur que quelqu'un leurs fasses du mal ... Ils étaient si mignons ... Je voulais ... J'ai essayé de les protéger ... De protéger mes petits frères ...
Je suis désolé, je ne sais pas si je vais pouvoir aller au bout de mon discours, mais je vais essayer, pour eux, parce que je leur dois bien ça. A ces deux petits gars, qui m'ont tout donnée, une amitié, un groupe, un succès, des fans, de l'amour, ils étaient, enfin nous étions tous une sorte de deuxième famille, nous étions frères, certes pas de sang, mais de cœurs, et ses liens sont plus fort que tous. Nous avons vécus 8 ans ensembles, 8 années magnifiques, desquelles je ne regrettes rien, ni les engueulades, ni les blagues débiles de Tom, putain elles vont me manqués.... ni les petites manières de Bill, qui avaient le dons de me faire sourire. Je sais qu'ils m'écoutent, et qu'ils se sentent responsables de la mort du groupe, qu'ils pensent que c'est à cause de leurs amours, et j'espères qu'ils ne pensent pas qu'ont leurs en veut pour ça... parce que ce matin, ici à Magdeburg, où on est quelques part tous nés, je voulais leurs dire : MERCI ! Merci du fond du cœur les mecs ! Je sais que vous êtes partis, parce que je ne pouviez plus supportez les journalistes, les fans, les regards, les critiques, je sais que vous vouliez juste vivre votre amours au grand jour, et c'était légitime. On vous a, tous quelque part, un peu tuer. Et je voulais vous dire pardon pour ça. Je sais que vous êtes partis sans regrets, fières et amoureux comme jamais, je sais que vous nous avez dit à tous au revoir avant de partir, que vous nous avez à tous laissez un petit quelques chose de vous, pour qu'on ne vous oublient pas et parce que vous ne pouviez imaginer ne rien laisser sur terre de votre passage. Maintenant vous savez s'il y a ou non, quelque chose après la mort. J'espère que si oui, vous viendrez nous voir de temps en temps.
Les Twins Kaulitz, de là haut, je voulais vous dire, encore une fois que vous allez me manquer, chaque jour, que je penserais à vous, sûrement tous les jours au début et puis moins avec le temps, mais que vous resterez et ça je peux vous le jurer à jamais dans mon cœur : BILL JE T'AIME, TOM JE T'AIME, merci de m'avoir permis de rêver...
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MessageSujet: Re: [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23   [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 5 Icon_minitimeJeu 10 Avr - 16:04

voilà c'est fini ... j'espère que vous avez pleurez toutes les larmes de votre corps ... comme moa quand je l'ai écrit ...
merci d'avoir suivie, même si certaines ont abandonner en cours de route ...
en espérant que la fin vous plaise autant qu'à moa Smile


et enfin, parce que je vous l'avez promis ...
comme le cerise sur le gâteaux ... les fameuses vidéo ...
alors il faut savoir que j'ai fait la vidéo avant la fic' d'ou les incohérences des fois ou les évènements pas exactement dans le bonne ordre

partie 1
Partie 2
Partie 3
Partie 4
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MessageSujet: Re: [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23   [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 5 Icon_minitimeJeu 10 Avr - 17:17

et comem a chaque fois je pleure pendant l'éloge de Georg. j'ai adoré ta fic.
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superbrune

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MessageSujet: Re: [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23   [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 5 Icon_minitimeVen 11 Avr - 19:13

Encore une fois en retard mais je suis là, je ne suis pas du genre à lacher les gens
Donc voilà, vraiment j'ai adoré ta fiction, j'ai beaucoup aimé sa construction, c'est a dire les chansons ancrées dans chaque chapitre, puis les bannières. Ensuite le contenu, c'est vrai que le sujet n'est pas vraiment original, mais tu as su le tourné pour que ça le soit, en plus il a vraiment eu des passages magnifiques, et des chapitres complétement splendides, mais tous l'étaient, j'ai beaucoup aimé l'avant dernier, surtout la fin, ça m'a marqué, vraiment c'était splendide. Et ce dernier chapitre aussi avec le point de vue des autres, c'est super touchant.
Merci pour cette fiction, je ne regrette pas de l'avoir lu, elle est plus que sublime, elle est unique I love you
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Bibo

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MessageSujet: Re: [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23   [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 5 Icon_minitimeVen 11 Avr - 21:38

de rien Smile
contente que tu l'ai lu Smile
merci de l'avoir lue Smile mon bébé ^^ma 1ère fic' Rolling Eyes

par contre je voulais savoir : t'as pleurer ?

Azarel=> ha une qui pleure Smile
merci Smile *touché*
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MessageSujet: Re: [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23   [FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23 - Page 5 Icon_minitime

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