[FIC' OK FINIE] Contine (d'une vie infectieusement délicieuse) 23/23

chapitre6 suite

Bill 27 février 07 : 13h23

J'ouvre la porte de la chambre de Tom, en effet, je demande toujours un double des clefs de sa chambre et il en a toujours un de la mienne. On fonctionne comme ça tous les deux. Je le trouve paisiblement endormi dans son lit. Les draps sont tout froissés. Je referme la porte, et décide de m'allonger à côté de lui et de le réveiller en l'embrassant. Cette idée me réjouit et m'excite un peu. Ce qu'il est beau comme ça. Je m'allonge à ses côtés, mais d'un bond, je m'assois, je sens quelque chose d'anormal dans cette chambre, j'ai la sensation qu'il s'y est passé quelque chose. Mon trouble trouve enfin son objet, c'est le drap, Ce n'est pas tout à fait l'odeur familière de Tom, qu'il porte, il y a une autre odeur, qui certes n'est pas désagréable, mais qui n'est pas celle de mon frère.

Tom se réveille sous l'impulsion de mon geste, il me regarde, et bien qu'encore endormi, s'agenouille en face de moi, et m'embrasse. J'ai le regard froid, et ne réponds pas à son baiser. Il me regarde interloqué, et me demande ce qui ne va pas, ce qu'il se passe, pour que je réagisse comme ça face à un de ses baisers. Je ne dis rien, je suis trop furieux contre lui, et pars sans me retourner. Tom prit à peine le temps d'enfiler son baggy et me court après, me demandant ce qu'il se passe. Ne voulant pas faire une scène dans le couloir de l'hôtel, ni alerter les autres de notre histoire, que l'on avait jusque-là réussi à tenir secrète, j'attire Tom dans ma chambre.

« POURQUOI ? » voilà les premiers mots que j'arrive à articuler. Mon coeur se meurre, il souffre. Je tente de contenir mes larmes, je ne dois pas pleurer, pas maintenant. Je dois être fort. Mais mon coeur ne peut pas. Mon coeur hurle de douleur, mon être tout entier se brise. Il m'a trahie, il a trahit la promesse qu'on s'étaient faite.
Et pourtant, je l'aime, j'ai envie qu'il ne prenne dans ses bras, et pourtant, je le hai, il me répugne, mais j'ai besoin de lui, besoin de son corps, de sa présence, besoin de sa main dans la mienne, besoin de son être, comme on a besoin d'oxygène, il est ma vie, mon tout, et il m'a trahie.

Mais lui ne voit pas de quoi je parle, et s'entête à me demander « Pourquoi QUOI ? ».

Je lui donne une dernière chance en lui hurlant le plus doucement que ma colère me le permet : « AVOUE ».

Là, Tom comprend, que je dois savoir quelque chose, il me demande ce qu'il doit avouer, si ce qui me met dans une telle colère, c'est que je pense qu'il a passé la nuit avec une fille. Je lui demande s'il avoue. Il baisse la tête et me répond, oui. Là, mon sang ne fait qu'un tour, et je m'effondre sur le lit. Je suis brisé, déçu, rageur, et surtout incompris. Comment ai-je pu être assez bête pour penser que mon frère, le plus grand Don Juan du monde, allait abandonner sa passion première pour moi ? Je suis décidément trop romantique.

Les larmes coulent à flots, je ne peux plus les retenir, je demande à rester seul, mais il tient absolument à m'expliquer pourquoi il a fait ça, mais moi je ne veux rien savoir, et je me bouche les oreilles pour ne pas entendre les détails de sa nouvelle aventure. Rien que d'imaginer quelqu'un d'autre que moi, toucher, caresser et désirer le corps de Tom, me rend dingue. Je sais que des millions de filles fantasment sur lui et même quelques hommes, mais eux, ce n'est pas pareil, ce sont des gens fictifs, qui n'ont aucune existence propre.

Contrairement à cette fille, qui elle est réelle et même un peu trop.

Moi qui ne supporte déjà pas, de ne pas crier au monde entier mon amour pour Tom, devoir le partager avec une autre, m'est impossible.

Entre deux sanglots, je l'entends m'expliquer qu'il est vraiment désolé, qu'il ne voulait pas me faire de mal, qu'il m'aime, qu'il regrette mais qu'il ne peut pas faire autrement. Après ça, j'entends vaguement une histoire d'hommes et de femmes. Puis plus rien. Il décide à contre coeur de s'en aller, voyant que de toutes façons je ne suis pas prêt à entendre ce qu'il a à me dire. Je sais qu'il ressent ma souffrance, et que partir, et sans doute la chose la plus dure qui puisse faire. Lentement, il se dirige vers la porte, il a la tête baissée, il attend que je l'appelle, que je lui demande de revenir vers moi, il attend, le moindre soupire, le moindre mot, le plus petit chuchottement, auquel il pourrait s'accrocher. Mais je ne fais rien, et je sais qu'il en souffre autant que moi surtout qu'il sait que je ne veux qu'une chose, qu'il reste près de moi, qu'il me dise que tout ceci n'est qu'une vaste plaisanterie, que jamais il ne m'aurait fait ça, nous auraient fait ça. Mais la vérité est tout autre.

Bill 27 février 07 : 21h42

On a beau être entouré, on peut se sentir très seul. Et c'était mon cas toute la journée, même si je n'étais pas physiquement seul, j'étais au fond de mon cœur seul et perdu. La seule personne qui comptait pour moi, m'a trahi, la seule personne que j'ai aimée, la seule que j'aimerais... car quand on a connu un amour, une passion aussi forte, n'importe quoi d'autre, ne peut paraître que fade et sans intérêt. Pourtant je sais que dès qu'il sentira que je serais prêt, il viendra me parler, m'expliquer, se justifier... Et même si je lui en veux à mort, je sais que dès que je le verrais, je ne pourrais plus le haïr, je ne pourrais que l'aimer. Car on ne peut en vouloir à l'homme de sa vie, sinon ce n'est pas le bon. Et malgré tout, je n'attends qu'une seule chose : qu'il vienne me voir, j'ai envie de le sentir près de moi, se sentir son amour, et même si on doit se cacher pour se voler un moment de tendresse, ça a quelque chose d'excitant, bien que frustrant. J'ai besoin de lui, c'est la seule chose qui me comble de bonheur.
Quand on se rappel un moment de joie, celle-ci à disparue, alors que pour une peine, la douleur et toujours présente...


Tom 28 février 07 : 3h46

Je ne peux pas dormir, je suis là depuis des heures, à contempler le plafond du tourbus et à tourner toutes les 1minute 34, la tête vers la lumière rouge qui éclaire la pièce : le réveil. Je me sens mal, mal d'avoir fait ça à Bill, mon cœur saigne de le voir malheureux, je ne peux me passer de ses gestes d'affection, de ses regards pleins de tendresse, de sa voix, de son visage qui s'illumine... Et hier je n'ai eu droit à rien de tout ça... Je dois absolument faire quelque chose... Je ne peux pas continuer dans cet état. Il faut que j'aille près de lui, j'ai besoin de sa chaleur, de la douceur de sa peau, de son odeur... j'ai besoin de le toucher, de sentir son cœur qui bat. J'en ai besoin comme un drogué a besoin de sa dose, sauf que la mienne n'est jamais satisfaite, qu'il m'en faut toujours plus, je n'ai jamais un instant, une seconde, ou je me sens comblé, satisfait., toujours ce manque, cette envie d'en avoir encore et toujours plus. Je voudrais être près de lui toute ma vie, je voudrais ne faire qu'un avec lui jusqu'à mon dernier souffle. Manque de chance, ce soir on dors tous dans le tour bus, et j'ai peur que les autres me voient si je vais dans le lit de Bill, surtout Gustav, qui a la fâcheuse habitude de se lever à l'aube.
Il ne faut pas... non...
Rien qu'une minute...
je ne resterais pas longtemps...
Il faut que j'y aille...
Mais je ne dois pas...

Alors que mes pieds sortent de dessous la couette, pour se poser doucement sur le parquet froid du bus, j'entends mon cœur qui résonne... Le moins de bruit possible... Il ne faut pas que mon cœur s'entende... Allez Tom, fais ça le plus discrètement possible... Et si Bill hurle en me voyant dans son lit ? Enfin en sentant un étranger dans son lit ?... Nan, il ne faut pas que je pense à ça... Même sa silhouette dans le noir est magnifique... J'y suis... Je lève la couette, en faisant attention que Bill en soit toujours recouvert, pour pas qu'il ait froid. Je m'assois lentement, la pression de mon poids fait pencher le matelas ce qui forme un petit trou. Mais il n'a pas l'air de l'avoir remarqué, en tout cas, il ne réagit pas. Mon cœur cogne encore plus bruyamment qu'avant, je m'allonge le plus doucement possible à côté de lui. J'y suis, maintenant que j'ai atteint mon but, mes mains tremblent, je ne sais pas comment m'y prendre, je ne sais que faire.
Tom arrête de réfléchir et agis...

Voilà ce que me dit mon petit démon intérieur, tandis que le petit ange, me dit de renoncer, de retourner dans mon lit, et que personne n'en saura jamais rien. Mais ma main part doucement se poser sur le ventre de Bill, à l'endroit de son étoile. La chaleur de son corps me transcende, je suis au paradis, heureux, j'ai bien fait... Je me rapproche de lui, pour pouvoir embrasser son corps, et plus facilement le toucher. Il bouge, il se retourne, l'air un peu effrayé, et dans un état de semi éveil, me regarde, sa peur a disparu et il me sourit, et voyant que c'est moi, prend ma main pour l'enrouler autour de lui, puis il se rendort en me murmurant que je peux faire tout ce pour quoi je suis venu, qu'il accepte. Je suis aux anges. Sa peau est, sous l'effet de mes baisers, et de mes caresses, parcourue de vagues de chair de poule, et je sais qu'il adore ça. Je suis comblé, de pouvoir me faire pardonner comme ça. Et les heures passent, au rythme de ses soupirs et de ses gémissements, qu'il essaye de faire le plus discret possible, sans que je le remarque. 6h00, il faut que je retourne dans mon lit, finir, enfin commencer ma nuit, parce que Gus, va se réveiller d'ici une petite heure et il ne faut pas qu'il me voit. Surtout pas.

Je dépose donc un dernier baiser à mon tendre amour, avant de retourner, contre mon gré, dans mon lit.

voilà j'ai pas été sadique, j'ai mis le chapitre en entier ... et pas en 2parties
on dit merciii quiii ???

KYYYYYYYYYYYYYYYYAAAAAAAAAAAAAAAAA
* bave *
Je suis une perverse, mais qui aime les moments comme ça, c'est trop choubidouu

Bon là Tom il est un peu con, coucher avec une fille, même si il voulait se tester, je trouve ça assez cruel envers Bill. Heureusement qu'il est gentil Bill, même si il lui a fait un peu la tête, il lui a pardonné, et la le petit moment entre les grumeaux c'était trop trop mignonn
Avec toi je m'attends à tout, vraiment, Eloo m'a dit qu'elle avait pleuré avec cette fiction, alors je vais sortir vite mes mouchoirs, et les poser près de mon ordinateur.
Je te demande une suite

Citation :

on dit merciii quiii ???

Bibooo présidente :pom:

demain la suite nan ? sinon on va encore me dire que je poste trop -_-
mis a part ça ravie que ça te plaise ...
et t'inquiète pas, ils sont pas encore ensemble ... ils ont encore le temps de faire pleins de conneries ...

Bordel Tom il est con è_____è

comment aimer un seul homme et toutes les filles ?
quel paradoxe

j'aime

c'est logik nan ?
moi j'trouve
et hyper réaliste

oui oui tout à fait logique, Tom n'aime et n'aimera que son frère mais ne se sent pas capable d'abandonner les filles.

très délibératif tout ça

ué c'est presque ça ... mais vu ton précédent post, je pensais que t'avais pas comprit le truc ... en faite, pour tout bien expliquer, pour moa cette phrase résume toute la relation des jumeaux (telle que je la vois).
Tom n'est pas Gay, mais il aime son frère (qui est un homme, par définition donc il serait gay, mais il ne l'ai pas vraiment puisque tous les autres hommes le font gerbé ...)
en même temps il est hétéro et encré, donc il aime les filles, et toutes les filles, quelle qu'elle soient ...

en conclusion il aime toutes les femmes mais un seul homme ...

et j'ai adoré écrire cette phrase, parce que je trouves qu'elle est réaliste et qu'en plus elle tombe pille au bon moment... tom est entrain de baiser une fille en pensant à son frère ...

*bon je m'arrête là, sinon je vais trop en dire donner trop d'indice pour la suite)

d'ailleurs rien a voir, mais personne m'a répondu : j'ai trop censuré ou j'ai bien fait ?
je deviens parano ou pas ?

comme promis la suite
en faite, je sais pas si vous avez remarquer les bannières à chaque chapitres, mais elles sont une certaines importance à chaque fois ^^^




chapitre 7


Tom 10 mars 07 : 22h09

Je sais j'ai promis... Mais c'est plus fort que moi, c'est dans ma nature, même si je souffre de mon attitude... Protège moi du désir, protège moi de mes envies, protège moi de mes désirs, protège moi de ce dont j'ai besoin, protège moi de ces moments divins avec lui, protège moi de ce que j'aime plus que tout au monde, protège moi de ce besoin vital de son corps... protège moi de ces pensées qui me glacent la raison...


Depuis le début de la promo, je cours de droite à gauche, de filles en filles. Non pas que Bill ne me satisfasse pas, au contraire même, il me procure plus de plaisir que toutes ces filles réunies, mais j'ai besoin d'elles, j'ai besoin et envie de filles. Je sais que Bill en souffre énormément, même s'il n'en dit rien... A chaque fille que je ramène dans mon lit, mon âme se brise un peu plus et mon cœur me hurle que ce n'est pas ce que je veux, qu'un jour je vais regretter de faire ces choix. Chaque fille me dégoûte de moi-même un peu plus que la précédente, elles me brisent, mais j'ai besoin d'elles, besoin de me sentir Homme, viril, besoin de les maîtriser avec violence. Besoin même quelques fois de les prendre pour Bill et de leur faire, ce que je ferais à Bill s'il était avec moi, et dans ces cas là, j'imagine que c'est lui qui est en face de moi, et je ferme les yeux, mais la chute, n'en est que plus rude et plus violente pour elles comme pour moi. Et j'en souffre, chaque fois un peu plus...

Bill 10 mars 07 : 22h10




Chaque nuit, chaque soir, chaque jour, une fille dans le lit de mon frère. Je ne comprends pas pourquoi il me fait ça. Je lui apporte plus de plaisir que toutes ces filles, alors pourquoi a-t-il tant besoin d'elles ? On ne s'était pas promis de s'aimer malgré tout ? Chaque fille que j'imagine toucher, caresser, embrasser chaque parcelle de son corps est comme une lame que l'on m'enfoncerait en plein cœur. Chacune de ces filles me tue à petit feu.

J'ai toujours dit et crié à qui voulait l'entendre, que je cherchais le grand amour, pour me réserver uniquement à lui. Mais mon grand amour, je l'ai trouvé, c'est Tom. Mais cette situation m'est trop pénible, je m'apprête donc à déroger à tous mes principes, toutes mes valeurs les plus profondes. Demain soir, j'aurais une fille dans mon lit. Ça fait quelques semaines que j'observe du coin de l'oeil les techniques de drague de mon frère et je pense être prêt.

Tom 13 mars 07 : 10h03

Gustav et George tambourinent de toutes leurs forces à la porte de ma chambre, en hurlant comme des malades, quitte à réveiller tout l?hôtel.

« Tom ouvre ! Tu n'y croiras jamais ! Il l'a enfin fait ! Tu peux être fier de ton petit frère ! S'il continue comme ça, il va dépasser son maître ! ».

J'ouvre les yeux avec douleur, je regarde à côté de moi, la belle rousse de cette nuit dort encore, je me lève en titubant, direction la porte, me demandant qui a fait quoi, et pourquoi c'est si important, qu'ils viennent me réveiller et que même Georg est débout à une heure pareille.

J'ouvre la porte, et me retrouve nez à nez avec le Bild du jour, où je vois une superbe brune aux yeux noisette, un sourire aux lèvres. Ils ne doivent pas m'avoir réveillé pour une jolie fille, je continue mon « investigation » du Bild et lis le titre qui dit : « Exclusif : La nouvelle conquête de Bill nous dévoile tout ! ». Mon visage devient livide, je relis le titre 3 fois pour être bien sûr d'avoir tout compris, cette fois-ci je suis réveillé.

Georg et Gustav sont toujours devant la porte, le sourire aux lèvres, tout fiers de leur scoop. Je leur referme machinalement la porte au nez, ils en restent sans voix, et je me dirige vers le lit, tout en lisant l'article. Mon cœur se pince à chacun des mots que je lis :

« Karen 18ans, dit tout de sa nuit passionnelle avec Bill Kaulitz, le leader de Tokio Hotel... A tous ceux qui disaient qu'il était gay, ou que c'était une fille, je peux vous affirmer avec certitude que non... nuit passionnelle... douceur... écoute... pleine de tendresse... beaucoup de caresses... du désir, des mots doux... de la passion... une attraction animale... ».

Vomir, voilà ce qu'il faut que je fasse, et je me dirige vers la cuvette des toilettes, et rends tout ce que j'ai dans l'estomac. C'est impossible, cette fille doit mentir ! une de plus... Bill ne peut pas avoir donné sa première fois pour une pouffe sans cervelle, et puis même, Bill m'aime, il ne m'aurait jamais trompé... Non ce n'est pas du Bill...

La rousse, dort toujours, moi, il faut que j'aille parler à mon frère. Une fois devant sa porte, la clef de sa chambre dans une main et le Bild dans l'autre, je doute, j'ai peur... Et s'il était avec une fille ? Je toque. Pas de réponse. Je re toque un peu plus fort. J'entends des pas. Bill m'ouvre la porte tout sourire, comme si de rien n'était.

« Tu as vomi ? » me demande t'il.

Dans la précipitation j'ai oublié de m'essuyer la bouche.

« Tu as un truc au coin de la lèvre... Ca va ? T'es sûr ? Tu veux que je t'aide ? T'es tout pâle, qu'est-ce qui se passe ? Mais parle-moi Tom ! ».

Il me secoue un peu, ce qui a pour effet de me faire lâcher le Bild, qui tombe par terre. C'est là que Bill le remarque, il le prend, en me demandant si c'est ce truc qui m'a mis dans cet état là ? Il le ramasse, et je lis sur son visage qu'il reconnaît cette fille, ce qui veut dire que tout ce qu'elle a révélé est vrai ! Et là je m'effondre.

Bill ne nie pas, il aurait même tendance à s'en vanter. Il m'explique le plus sérieusement du monde qu'il m'aime toujours plus que tout, mais que lui aussi a besoin de savoir ce que sont les filles. Et que c'est moi, qui le charrie tout le temps là-dessus avec G&G en lui disant qu'à 17 ans, on doit savoir ce que c'est une fille (dans le sens en avoir déjà baisé une). Il parait que je devrais être fier de lui. Et sur ses mots, il m'embrasse. Là je ne pense plus à rien, et je l'attire sur moi. Il est à genoux face à moi, je commence à caresser son torse, et à retirer son tee-shirt, j'ai envie de lui, là maintenant, tout de suite, j'ai besoin de le sentir en moi, j'ai besoin d'être en lui, j'ai besoin de sentir son amour, notre passion...

Quelqu'un toque à la porte. C'est Georg et Gustav ! Encore eux !

Bill s'arrête net, et se défait de mon étreinte, remet son tee-shirt en place et va tout content ouvrir la porte, G & G le regardent l'œil coquin.... puis leurs regards se posent sur moi toujours assis sur le lit.

« Alors non seulement tu nous claques la porte à la gueule sans un merci mais en plus tu viens féliciter ton frérot sans nous ? Tu voulais être le premier à avoir les détails ou quoi ? » me balance Georg.

Ouf, ils ont trouvé une explication plausible et rationnelle à ma présence ici avant moi, je suis soulagé. Bill lui, fier comme un paon, leur réplique :

« Alors la classe non ? Je suis enfin un Homme, un vrai ! ».

On continue à plaisanter là-dessus une bonne heure, quand Gus toujours ponctuel, nous fait remarquer, qu'on doit dégager dans 30minutes et que visiblement, rien n'est prêt. Je suis ravi que le temps nous rattrape, j'en pouvais plus d'entendre Bill donner des détails sordides sur sa nuit, et devoir faire semblant que ça ne me fait absolument rien. Chacun retourne donc bien sagement dans sa chambre.

La rousse a disparu de la mienne, elle n'a pas du apprécier de se réveiller toute seule. Mais je m'en fous, ce qui m'importe à cet instant, c'est ce que Bill a fait avec cette fille.

Citation :

Karen 18ans, dit tout de sa nuit passionnelle avec Bill Kaulitz, le leader de Tokio Hotel... A tous ceux qui disaient qu'il était gay, ou que c'était une fille, je peux vous affirmer avec certitude que non... nuit passionnelle... douceur... écoute... pleine de tendresse... beaucoup de caresses... du désir, des mots doux... de la passion... une attraction animale... ».

Attraction animale ? OO'

Citation :

(dans le sens en avoir déjà baisé une).

KYAAAAAAAAAAAAAAAAAA OO'
On est pas de la merde heiin
Si je t'attrape Tom, je vais te faire passer un sale quart d'heure
Non mais sérieux, moi qui suis pas la défense de la femme et qui suis une militante pure et dure, ça ça m'indigne


HAN'
Tom est con, Bill est con
Non mais en plus Tom était tout dégoûté, en même temps voilà quoi c'est lui qui l'a cherché, mais bon leur relation ne tient pas sur de bonnes bases
Bref j'aime toujours autant cette histoire
Et je voudrai bien 2 chapitres par jour ^_^', si ça ne te dérange pas biensûr

ué l'attraction animal c'était pour dire que bill était un bon coup en gros ...
mais c'est les médias ^^
et la fille qui nage en pleins délire faut accentué les faits

mdrrr ... ça me fait toujours rire, parce que là tu foutrais des baffes à tom, mais bientôt c'est à bill que t'en mettra ... tu sais jamais vraiment lequel haïr, tu les comprends tous les deux ...
qu'es-ce qui t'indigne dans le comportement de tom vis à vis de la femme (là il a encore rien fait), les filles veulent que ça et savent pour la plupart que c'est juste une nuit, elles ont réalisé leurs rêves, sont happy et basta ^^
j'vois pas le problème ...

j'ai jamais réfléchie au base de leurs relations, y a pas de base, y a pas de relation, y en a toujours eu une particulière, enfin tu verras ça après ^^

2 par jours ... si tu veux

ils forment un beau couple de cons

pour en revenir à cette phrase oui je l'avais compris comme ça
la relation de jumeau & le besoin sexuel de Tom =)

_____

sinon j'ai bien aimé ce chapitre, on voit que Bill est jaloux - non ? -, il décide de jouer au con, tout comme Tom.
qui se ressemble s'assemble et bien pour eux c'est nickel.

et puis Tom commence à se rendre compte aussi

suite ?

parce que tu viens de validé petite annonce la suite de contine ^^




Chapitre 8

Bill 13 mars 07 : 23h59

Je sais ... Je sais que je n'aurais pas dû... je sais que j'ai fait une erreur, mais je ne regrette rien. Je le referais sans hésitation. Je sais qu'il souffre, ça m'a sauté aux yeux, quand je l'ai vu devant la porte de ma chambre, il avait le teint livide, je ne pense pas l'avoir déjà vu dans un tel état de délabrement. Mais qu'importe, je l'aime plus que tout au monde, et je ne souhaite qu'une seule chose : qu'il le comprenne et qu'enfin, nous soyons réunis, sans personne entre nous. C'est malheureusement le prix à payer pour avoir le droit au bonheur, et jusque là, mon plan à merveilleusement bien marché, peut-être même mieux que je ne l'aurais souhaiter. Cette pauvre Karen ... est aller jusqu'à donner des détails sur notre nuit d'amour, elle a gobé tout ce que je lui ai dis, sans se poser la moindre question. Je ne me savais pas aussi douée en manipulation, enfin c'est peut-être parce qu'elle n'a pas cherché à comprendre, elle voulait croire que c'était vrai, que ça c'était vraiment passé.
C'est quand même dingue ce que l'on peut trouver et acheter de nos jours avec un peu d'argent. Merci milles fois a ma chère poudre blanche. Je pense qu'elle va encore m'être utile, une ou deux fois. Mais avant ça, il faut que j'attende la réaction de Tom, la vraie, sur le long terme, voir si cette histoire va le faire changer ou pas. Car après tout, si je fais tout ça, c'est pour nous. Et je sais qu'il comprendra que je lui ai menti pour son bien.
La souffrance est-t-elle le prix à payé pour avoir le droit au bonheur ?



Karen 12 mars 07 : 11h34

J'ai un mal de crâne atroce, c'est horrible. Mais où suis-je ? Je regarde paniqué autour de moi. Nan, je ne me suis pas encore bourrée ? Pas encore ? J'ai horreur de me réveiller sans savoir où je suis, et surtout quand c'est dans un hôtel à côté d'un type que je ne connais pas. Je n'ose pas regarder à côté de moi. Il faut avant tout que j'essaye de me souvenir, de ce que j'ai bien pu faire. Prions pour que je n'ai pas encore fait une connerie, ou que si c'est le cas, prions pour que j'ai pris mes précautions cette fois. Ma pauvre Karen, tu ne t'en sortiras jamais. Tous les 3 jours, tu te retrouves au lit avec un inconnu sans savoir comment tu es arrivé là, et avec un trou noir de plusieurs heures, ça va plus. Bon, le plus dur reste à faire, il va falloir que je me retourne, pour voir sur quel mocheté, je suis encore tombé. L'hôtel à l'air classe, voir même très chic, je m'en suis peut-être bien sortie cette fois-ci. HAAAAAAAAAAAA mon Dieu !!! NAN !!! c'est pas possible !! je dois être entrain de rêver ??? c'est impossible ! Il ne fait jamais monter de fille de sa chambre ! HAAAAA je suis dans la chambre de BILL ! ou en tout cas, il est allongé à côté de moi. Et moi qui ne me souviens de rien, alors que j'ai dû passer la plus belle nuit de ma vie. C'est vraiment injuste la vie. En tous cas, je suis nue et lui pas vraiment, mais ça doit être bon signe pour moi. Bill n'est sûrement pas le genre de type, qui fait monter une fille dans sa chambre pour la déshabiller sans rien lui faire. Et toujours ce mal de crâne incessant. Je regarde l'heure sur mon portable, 2 nouveaux messages, un de ma mère, qui me demande où je suis passée, et qui s'inquiète, elle est sur le point d'appeler la police et de lancer un avis de recherche, parce qu'elle penses que j'ai disparue, enlevé, par un malade. Et le deuxième message, c'est ma meilleure amie, qui me demande de lui raconter tous les détails sur ma nuit d'amour avec Bill. Mais comment elle sait ça elle ? Même moi, je ne suis pas au courant. Enfin c'est la faute à cet horrible trou noir. Il est midi moins le quart. Je répond vite fait à ma mère que tout va bien, que je suis bien vivante et qu'elle n'a pas à s'inquiéter pour moi, que je rentre pour 14H. Un baiser, un tout petit baiser dans le cou, aura suffit à réveiller mon prince charmant. Il me regarde, et me sourie, de son sourire craquant, celui qui me fait fondre dès que je le voie sur un poster ou une photo. Il est vraiment trop beau. Il me demande si j'ai passé une bonne nuit et je lui répond le plus honnêtement du monde, que je n'en sait rien du tout, et que je ne me souviens de rien et que je serrais ravie qu'il m'aide à retrouver la mémoire. Il a l'air amusé, déçu et un peu vexé que je ne me rappelle de rien, mais il accepte volontiers de me raconter en détail ce qu'il qualifie de « notre fabuleuse nuit ». Commence alors un long récit plein de détails très croustillants, enfin si on a vraiment fait tout ce qu'il dit, ça devait être magique, je suis aux anges, je viens de réaliser mon plus grand fantasme. Et qu'importe si je ne me souviens de rien, ses mots font vagabonder mon imagination, et bientôt le trou noir, se comble de doux souvenirs. Mon portable sonne, juste au moment le plus intéressant, mais je suis obligé de répondre, c'est la sonnerie que j'ai attribuée à ma mère.
Il faut que je parte.
Habillé en 5minutes chrono, un vrai record pour moi, et juste le temps de déposer un dernier baiser sur sa joue, que je suis déjà dehors. Adieu Bill et merci de m'avoir choisi moi, pour cette merveilleuse nuit.




Tom 14mars 10h00

Comment as-t-il pu ? Je n'arrive pas à comprendre. était-ce une vengeance ? un avertissement ? un fantasme ? un désir profond ? A-t-il aimé ? ou pire, prit du plaisir ? comment ? pourquoi ? Trop de questions auxquelles je ne veux pas avoir de réponses se bousculent dans ma tête. Je ne peux tout simplement pas le concevoir, après tout ce que l'on a vécu, après tout ce qu'il m'a dit... Non. Je me borne à ne pas y croire, et pourtant, il faudra bien que je l'accepte, car c'est la triste vérité. Je n'ai pas encore parler à Bill, je ne sais même pas, si je veux le faire, si je peux l'entendre, si je peux l'encaisser, le supporter. Il est à moi, rien qu'à moi. Et cette fille, je la haï de me l'avoir pris, de l'avoir exciter, de l'avoir toucher, je pourrais la tuer. Comme elle tue mon amour pour lui, comme elle a tuée ma vie. Je ne sais que faire, mes idées se brouilles, il m'aime, je l'aime, on s'aime, se haïs. Parle-moi ! explique moi pourquoi ... juste pourquoi ...

Il est là, derrière la porte, je le sais, je le sens, sa présence m'emplie d'une vague de bonheur.
La porte s'ouvre lentement, mais je n'ai pas besoin de lever la tête pour savoir qui c'est.

« Tom... ».

Il m'appel, il veut que je le regarde. Sa voix, se murmure, mon prénom dans sa bouche. Je ne peux plus, je craque. Les larmes de joie, de haine, de bonheur, de rage, d'amour coulent le long de mes joues sans vraiment que je ne m'en rendent compte. Je le haï autant que je l'aime. Je le désir autant qu'il me dégoûte. Aucun sons ne veut sortir de ma bouche. J'aimerais lui dire, que je l'aime, que je le hais, que je nous hais, que je la hais, qu'il me dégoûte. Mais rien, ne sors. Il s'approche de moi, il ressent mes convulsions, il ressent ma douleur, ma peine, mais il a l'air étrangement sereins, et heureux.

« Tu sais ... je n'... ».

Je ne le laisse pas finir sa phrase, d'un bond je me lève, face à lui, mes yeux dans son regard, je lis de l'amour, de l'amour, du désir, de la joie, quand à moi, j'essaye de le détester, de le rejeter. Mais ses yeux... Son regard m'envoûte... Mais il ne faut pas ... Je ne dois pas ...

« Mais pourquoi ? pourquoi tu m'as fait ça ? pourquoi tu as l'air si heureux ? Si satisfait ? Si tu avais des envies tu aurais dû venir me voir moi ! pas elle. »

« Mais tu aurais pu être avec une fille ... tu me vois débarquer dans ta chambre au milieu de la nuit avec une folle envie de te faire l'amour ? Hein ? Que crois-tu que j'aurais ressentie en te voyant baiser quelqu'un d'autre que moi ? »

Que répondre à ça ? Il marque un point. Si seulement je n'étais pas aussi con. Si seulement je pouvais me contenter de ce qui me comble de bonheur ...
Pourquoi, ne peut-on jamais se contenter de ce que l'on a ?
Surtout quand on sait, qu'on ne trouvera jamais mieux ailleurs ?
Les larmes de rage sont remplacés par des larmes de désespoir. Ses bras m'entoure doucement et tendrement, sa main glisse dans mes cheveux. Et à chacun de gestes, mon corps se met en éveille, je frisonne de tout mon être. Mes sens sont en éveilles, des frissons de plaisir m'assaille. Je ne peux me retenir de gémir son prénom...
Comment ais-je pu passer à côté de ça ?
Comment ais-je pu rien qu'une seconde, risquer de perdre ça ?
Le repousser ... Non ... je ne veux pas être aussi faible ... aussi dépendant de lui ... Pourquoi le moindre contact de sa peau contre la mienne de transcende, me fait frémir de plaisir ?

« Non ... Bill ... va t-en ... » murmurais-je entre 2 gémissements de plaisir, conscient de mon manque évident de crédibilité. Je ne saurais jamais résister à ses caresses, à ses baisers dans le cou, à ses lèvres, à son odeur, à sa peau, à la façon qu'il a de me mordiller les lèvres.

« J'ai envie de toi... »

Voilà la seule chose qu'il trouve à répondre... Et moi, faible et pathétique je fonds littéralement sur place, et je pense très fort quelque chose qui ressemble à : oui prend-moi, fais-moi l'amour là, maintenant, tout de suite, je le pense, mais n'en dit rien, lui, le lis dans mes yeux, le ressent, ça dégouline de chaque pore de ma peau. J'ai besoin de lui et je sais qu'il le sait et qu'il pense la même chose.
Sous ses caresses, je me surprend à ne plus penser à cette fille, d'ailleurs elle s'appelait comment déjà ?

« AaaAAAaaaa ... non, arrête... mmmmm ... ouiiiii ..... » voilà les seuls mots que j'arrives à prononcé et encore ils sont sous formes de gémissements que je n'arrives pas à contrôler. Bill est entrain de me faire l'amour et moi, je me laisse faire. Il le fait avec une telle passion, un telle manque, il fait de moi ce qu'il veut, chacun de ses mots, de ses soupirs, de ses caresses, me font frémir, m'électrise, je ne peux rien faire, si ce n'est essayer de lui donner autant de plaisir que ce qu'il est entrain de me donner. Le temps a suspendu son vol, nous sommes seuls au monde, nous ne voyons rien d'autre que l'autre. Le goût de sa bouche, l'odeur de sa peau ... tout est si parfait en lui ... même ce qui chez les autres dégoûterait n'importe qui, pour moi, s'il vient de lui, il ne peut être que parfait.

Alors c'est ça l'amour ? ce quelque chose qui te détruit autant qu'il te fait planer ? des heures de tortures que tu es capable de supporter pour goûter à une seule et unique seconde de ce bonheur là ... de cette sensation ... Pour avoir cette chaleur dans le ventre, pour avoir ses étoiles dans les yeux ... pour se sentir aimer ...

Bill 14mars 2007 14h

Paradis, bonheur, osmose, complémentarité, joie, plaisir, orgasmique, jouissif. Sont les seuls mots qui me viennent à l'esprit, quand je repense aux 2heures que je viens de passer avec lui.Tout s'est fait si naturellement, si joliment, lui en moi, moi en lui, nos corps ne faisant plus qu'un seul et même tout. Des mains baladeuses, et toujours ce besoin d'en avoir toujours plus, d'être enfin rassasié. Cela fait 2 heures et déjà mon corps se languie de ses doigts, mes mains de sa peau, mes lèvres de son goût... il faut que j'arrête d'y penser et pourtant je ne fait que vivre et revire cet instant et je vois dans les yeux de son double que lui aussi ne penses qu'à ça, que lui aussi en veux encore. Personne ne remarque rien, mais nos yeux parlent pour nous. On se comprend en un regard. On est en pleine interview pour un magasine à scandale suédois, je crois, qui doit s'appeler quelque chose comme YAM. Je ne comprend pas pourquoi la suède, je pensais pas qu'on pouvais être connus là-bas, mais ce n'est pas moi, qui gère les interviews.

Je n'écoute que d'une oreille discrète les questions de la journaliste, je suis trop occupé à « bouffer tom des yeux », il me manque trop, il n'est pas près de moi, et je son manque se fait vite sentir, j'ai besoin de lui prêt de moi, contre moi, j'ai besoin de sa main dans la mienne.

C'est là, que j'ai dérapé... Elle me pose des questions sur ma vie sentimentale et sexuelle ... Ce n'est que la 1000èmes de ce genre là. L'une d'elles traite du fait que certaines rumeurs (étant donné mon look et mes manières efféminés) penses que je suis gay. Elle me demande donc le plus naturellement du monde, si j'ai déjà couché avec des garçons ...
Et là, mon cœur parle plus vite que ma raison, je répond sans réfléchir :

« oui j'ai déjà couché avec un garçon ». Car après tout, quoi de plus vrai ?

La traductrice n'en n'a pas crue ses oreilles, mais avant que j'ai pu répliqué quoi que se soit, elle avait traduit et la journaliste jubilais de son super scoop. Je sentis instantanément le regard des 3 autres se poser sur moi, ainsi que l'excitation mêlé à l'incompréhension et la peur de Tom. Je l'avais dis, c'était trop tard. Il fallait assumer... au moins devant les autres. Je leur dois une explication qu'il vont s'empresser de me demander.La journaliste essaya sans succès de creuser plus loin cette histoire de garçon, mais j'étais sortis de la taupeur et elle n'obtint plus rien de moi. De toutes façons, qui peut bien s'intéresser à un journal à scandale suédois ?
Nul n'en saura rien...
On ne peut jamais garder un secret éternellement, surtout si c'est le notre... et on ne le dévoile jamais au bon moment...

J'aime toujours autant cette fiction!

Ils forment un beau couple de cons, franchement. Comme tu le dis, on ne sait jamais lequel des deux l'on doit haïr.

"
Alors c'est ça l'amour ? ce quelque chose qui te détruit autant qu'il te fait planer ? des heures de tortures que tu es capable de supporter pour goûter à une seule et unique seconde de ce bonheur là ... de cette sensation ... Pour avoir cette chaleur dans le ventre, pour avoir ses étoiles dans les yeux ... pour se sentir aimer ..."


ah cette phrase Bordel

élodie => je sais merci ^^
ça fait toujours plaisir à lire

JaimeQuonseComprenne=> idem … j’ai beugé sur cette phrase … mais pour être 100% honnête, tu viens de relever la SEULE phrase de ma fic’ (hormis les citations célèbre, les clin d’oeil à des chansons, ou les paroles de chanson bien sur) qui n’est pas de moa -_-
Cette phrase est de nok’ (soit tu connais et donc tu sais de qui je parles, soit tu connais pas et tant pis ^^)
Je suis presque certaine que cette phrase et d’elle et que je l’avais trouvée magnifique … et que je l’ai introduite en clin d’oeil dans ma fic’ …
A moins que se soit une phrase de priva … mais je crois pas …
Merde je sais plus, j’ai un doute (boulet powaa) …
Mais je suis presque certaine que la phrase n’est pas de moa ^^
J’espère que t’as aimé le chapitre ^^

oh oui j'ai bcp aimé ce chapitre


tu sais on s'inspire tous c'est normal. et puis que ce soit de Nok ou Priva :')
cela n'a pas d'importance.

en tout cas moi je dis suite. =)

j'met qu'un chapitre pour l'instant parce que superbrune à pas encore lu ^^ en tout cas pas commenté, et j'en profite pour poster une partie de petite annonce ^^





chapitre 9

Tom 14 mars 18h08

Il l'a dit ! il l'a dit ! haaaaa je suis heureux !!! Jamais je n'aurais imaginé qu'il puisse le dire, comme ça, si calmement, si spontanément, comme une évidence, comme la chose la plus normal au monde, comme son plus grand bonheur. Haaaa je suis tout chamboulé, je sourie bêtement, et peut-être même que j'ai un filet de bave au coin de la bouche, tellement je suis gaga, mais je m'en fiche, je suis si heureux. Et pourtant je ne devrais pas, je devrais être choqué, traumatisé, par une telle révélation, puisque je ne suis pas censé coucher avec mon frère, et que lui est censé avoir couché avec l'autre pouf... berk rien que d'y penser, j'en ai la nausée.

Maintenant qu'on est seuls tous les 4, Gus et Georg, vont forcément demander des explications, ils ont l'air assez choqués, et Bill à l'air tendu, j'espère tellement qu'il ne va pas reculer ... Mais ... s'il va jusqu'au bout ... tout le monde saura que je suis avec lui, enfin qu'on est ensemble... et leurs regards sur moi... Je ne le supporterais pas, il faut que je parle à Bill, que je lui demande de ne rien dire, de ne pas dévoiler notre secret, il ne faut pas, il ne doit pas.

On est maintenant tous installer dans le van, les regards pèses sur Bill, et moi, je ne sourie plus du tout, je suis angoisser, je ne sais pas vraiment, ce que j'aimerais qu'il dise.
C'est Gus qui se risque à briser le silence, il parle d'une voix calme et enjouée.

« Ecoute Bill, tu n'as pas besoin de te justifier, tu sais, maintenant que tu as connus une fille... t'as pu comparer ... et si ton choix est fait... Avec Georg, et je penses que c'est pareil pour Tom, mais je veux pas parler en son nom, on s'en doutaient depuis longtemps, pas à cause du maquillage, mais surtout à cause de tes manières de fille, tu sais, ça ne nous choques pas, ne nous traumatise pas, et on va essayer dans la mesure du possible de ne pas changer de comportement vis-à-vis de toi, de ne pas changer le regard qu'on a sur toi. Tout en essayant de ne pas ignorer ce « problème ». Mais avant, on aimeraient que tu répondes franchement à une question, dont on pense connaître la réponse, mais c'est pour être sûr : es-ce que t'as flashé sur un d'entre nous ? enfin sur Georg ou moi ? »

Le visage de mon double, est décomposé, il semble soulagée, et en même temps la pression et le stress n'on pas totalement disparue, il tremble, il bafouille, ses yeux se remplisses de larmes...

« Non, t'inquiète pas, vous êtes pas mon genre de mec... aucun soucis ... dit-il en tentant de sourire.
Merci ... Merci pour votre compréhension, pour votre absence de dégoût, de colère, de haine, de rage, ça me fait vraiment plaisir, que vous l'acceptiez aussi bien, que vous ne posiez pas des milliers de questions genre : il s'appel comment ? ou depuis quand tu le sais ? ou encore t'as quelqu'un en vu ?
Merci aussi d'avance de rester discret là-dessus, j'ai pas envie que sa s'ébruite, vraiment... Je penses que ce magasine, ne nous feras pas trop de mal, vu que personne ne le lis, et même ses lecteurs, ne doivent pas vraiment prendre son contenu au sérieux, et j'espère que nos fans, n'iront pas jusqu'en Suède, chercher des info sur nous, et même si c'était le cas, je ne penses pas qu'ils croiront un torchon pareil... Enfin je l'espère... Je n'assume pas totalement ce que je suis, surtout face à nos fans, j'ai peur que ça ai un impact sur notre succès, si ça venait à se savoir. Vous comprenez, par rapport aux filles qui ont des vues sur moi, ça risque de les choquer, et elles risques de se détourner de nous, pour trouver un groupe, où elles ont une chance avec le chanteur. J'ai vraiment peur de ça, j'ai pas envie que ça gâche nos chance de succès, notre avenir, et qu'après on m'en veuille pour ça».

Il n'a rien dit, pour nous, et moi je n'ai pas réagis à ce qui devait être une surprise pour moi. Je ne sais plus ce que je ressens, je ne sais plus où j'en suis, où nous en sommes, je n'arrives pas à savoir si je lui en veux de n'avoir rien dit, ou si au contraire je le remercie de m'éviter tout ce qu'il risque de subir après une telle révélation.
Peut-on mentir aux gens qu'on aime ? comment avouer une vérité dérangeante et honteuse, si on est même pas capable d'en parler aux siens ...

Je sais que je l'aime, que sa peau me manque, que j'aimerais pouvoir lui montrer, montrer au monde, comme je l'aime, mais j'ai honte. J'ai peur de ce que les autres pourraient dire, déjà être gay, c'est pas évident (en même temps, je suis pas totalement gay, vu que ne suis excité que par un seul homme), être amoureux de son frère, c'est déjà mal vu, mais être amoureux de son double, de soi, là ... c'est pire que tout, c'est encore pire qu'un inceste, et pourtant, je ne peux me passer de lui.
Peut-on réellement vivre heureux et caché toute sa vie ? peut-on passer sa vie à mentir aux gens qu'on aime ?quand c'est le prix à payer pour pouvoir s'assurer une seconde de bonheur...


Bill 15 mars 10h09

Après une nuit de pleures, de mots violents qu'on ne pensais pas et d'explication avec Tom, nous sommes enfin d'accord, sur le fait que j'ai bien fait de ne pas dire aux autres pour nous, et que s'il doit y avoir un « homosexuel officiel » dans le groupe, ça ne peut être que moi, vu le nombre de rumeur qui planent sur mon compte.
Reste maintenant à attendre, improviser l'avenir au jour le jour, carpe diem comme on dit.
Ça m'a fait beaucoup de bien, de passer la nuit avec lui, de pouvoir enfin en parler librement, parler de nous, de notre avenir, de nos sentiments. Je suis maintenant sûr qu'il m'aime vraiment et que plus jamais, il ne me ferra plus jamais souffrir en couchant avec une fille, il a réalisé qu'il n'y a que moi, qui peut le combler, que je suis le seul capable de le faire frémir rien qu'en l'effleurant et que ce besoin est devenu vital pour lui.
Adieu petite poudre blanche, je n'aurais plus besoin de toi, parce que je sais, que cette fois-ci, il va tenir sa promesse... Il a enfin admis que cela ne pouvait pas être qu'une erreur, qu'une faiblesse passagère, mais que c'était bien de l'amour, de la passion, la seule, l'unique... celle d'une vie...

13h00

Deux heures que je suis blottie dans ses bras, qu'il passe la main dans mes cheveux, que nos visages sont côte à côte. Chaque bonne chose à une fin, il faut aller prendre le petit déj'. On a pas envie de sortir de dessous la couette, on voudraient pouvoir rester là jusqu'à ce que la mort nous emporte, mais cela reste une douce utopie...
A peine entrée dans l'ascenseur, que Tom se jette sur moi (j'adore quand il fait ça), il me fixe et je lis en lui un je t'aime, il m'embrasse, là comme ça, juste parce qu'il en a besoin, parce qu'on en a besoin, parce que c'est notre oxygène à nous, notre seul moyen de survie. N'importe qui, pourrait entrer et nous voir, mais ce danger à quelque chose d'excitant. J'aime ses instants de passion, d'innocence, d'amour, de tendresse volés.



David est là, il me fixe intensément, il y a quelque chose de changer dans son regard, il a l'air grave, inquiet peut-être, je sens que les ennuis commencent...

« Bill, je suis allé faire un tour sur les forums de Tokio Hotel, et figure toi, que les fans, vous suivent partout, lisent tous ce qui se dis sur vous, quelques soit la langue d'origine... Le magasine Yam, ça te dis quelques chose ? hier vous leurs avez accordé une interview ...
L'article est sortis ce matin, et il est déjà traduit en toutes les langues, anglais, allemand, français, russe, tchèque ... les forums sont en ébullitions, chacun y va de sa petite réflexion, de son analyse de la situation. Les fans sont divisés, entre ceux qui pensent que c'est une rumeur d'anti, ceux qui penses que c'est vrai, ceux qui te soutiennes corps et âme quoi que tu fasses, ceux qui argumente avec karen en disant que c'est impossible, ceux qui décrète que si c'est vrai, ils vous renierons, ceux que ça excite que tu sois potentiellement gay, ceux qui fantasme sur un inceste...
Pour l'instant ce ne sont que des rumeurs, et j'espère pour vous que ça va se tasser, mais je vous préviens, à partir d'aujourd'hui, je vais assister à toutes les interviews, contrôler toutes les questions (je vais les demander à l'avance), et préparer d'avance vos réponses avec vous, c'est bien clair ? je ne veux PLUS de dérapage de ce genre, c'est bien compris ? ».

Que répondre à ça ? on est tous choqués. Contrôler nos réponses ? Exiger les questions à l'avance ? assister à toutes les interviews ?
C'est quoi se délire ? Je refuse de subir ça, de devoir l'accepter ! On ne me manipule pas comme ça ! Je suis libre de dire ce que je veux ! Je me suis toujours battue pour mon indépendance, contre toutes formes de manipulation ou de censure en tout genre, et là, je dois capituler ? Hors de question !
Mais suis-je vraiment en position de force ? Puis-je vraiment négocier ? Je n'ai dérapé qu'une fois après tout, et il n'a pas le droit de me sanctionner pour une SEULE fois ... Bon en même temps, j'ai quand même fais une grosse gaffe ...

Et les autres qui ne réagissent pas, ils ont l'air d'accepter cette sentence, il n'y a que moi, qui la trouve injuste et injustifié ou quoi ?

Des fois, je détestes nos fans... Pourquoi faut-il toujours qu'ils aillent lire tous ce qui se dis sur nous ? pourquoi faut-il qu'ils croient tous ce qui se dis ? Pourquoi faut-il que les infos se diffuse d'un forum, d'un blog, d'une langue à l'autre, comme une traîner de poudre... Et moi qui pensais naïvement être enfin libre ... pour profiter de quelques instants de tendresse avec lui, il va falloir être 1000 fois plus prudent, discret et parano que d'habitude. Je n'ai pas envie de ça, je refuse de me cacher, de jouer au chat et à la souris avec les journalistes, je ne peux me passer d'un contact tactile avec lui toute une journée, sous prétexte qu'il peut y avoir un photographe qui nous épie. Je ne peux me passer de ses lèvres, de ses caresses, de mon oxygène... j'ai trop besoin de lui, il est trop vital pour moi.
Quitte à tout perdre, je préfère avoir vécue... la seule chose qui me maintienne en vie, c'est lui... je suis prêt à prendre ce risque...
Les heures d'hier ne se revivront jamais ... Tous nous appartient...

Citation :

mdrrr ... ça me fait toujours rire, parce que là tu foutrais des baffes à tom, mais bientôt c'est à bill que t'en mettra ... tu sais jamais vraiment lequel haïr, tu les comprends tous les deux ...
qu'es-ce qui t'indigne dans le comportement de tom vis à vis de la femme (là il a encore rien fait), les filles veulent que ça et savent pour la plupart que c'est juste une nuit, elles ont réalisé leurs rêves, sont happy et basta ^^
j'vois pas le problème ...

j'ai jamais réfléchie au base de leurs relations, y a pas de base, y a pas de relation, y en a toujours eu une particulière, enfin tu verras ça après ^^

NOOON >__<' c'était pour rire X)
Je voulais parler des mecs en général qui parle comme ça des filles, et ça m'énerve ^-^'


Et là je suis plus qu'indignée, je viens de lire la première suite, et je préfère commenter maintenant pour pas que tout s'embrouille dans ma cervelle
Bill a drogué une fille pour qu'elle mente sur la nuit qu'elle a passé avec lui ? Alors que la pauvre croit que c'est vrai et en plus elle est contente, Bill est cruel là, c'est super méchant Oo'
Juste pour rendre jaloux Tom et se venger, non mais le garçon qui me fait ça je crois qu'il peut déjà commencer à creuser sa tombe ^_^'
Et puis Tom qui est tout triste et tout, mais c'est bien fait il l'a cherché
Sinon j'aime bien la photo de la bannière de la première suite
Perverse un jour, perverse toujours

Citation :

ceux qui fantasme sur un inceste...

C'est nous çaaaaaaa :pom:

Citation :

j'met qu'un chapitre pour l'instant parce que superbrune à pas encore lu ^^ en tout cas pas commenté, et j'en profite pour poster une partie de petite annonce ^^

C'est gentil de m'attendre X'D

J'iame bien ta fiction, vraiment, même si Tom et Bill je les trouve un peu cons, avec leur petite vengeance itout, bref à quand les lemons ? :p

lemon ? chapitre 11 (mais j'ai une version soft et une version hard ...) je met laquelle ?
de rien de t'attendre
con ? nan tu verras, à la fin, tu comprendras tout ...
ils s'aiment mais refusent de l'admettre ...

Bibo a écrit:

lemon ? chapitre 11 (mais j'ai une version soft et une version hard ...) je met laquelle ?
de rien de t'attendre
con ? nan tu verras, à la fin, tu comprendras tout ...
ils s'aiment mais refusent de l'admettre ...

Version Hard biensûr , ou si les autres sont des âmes sensibles mais la soft et tu m'enverras la hard ? *__*

lool ^^
si tu veux ... en MP ...
mais je préfère la hard ...
par contre l'histoire des spoiler c'est vraiment chiant, je sais pas à partir de quand ça deviens pervers et à partir de quand ça dénature pas le texte -_-

moi je veux hard *____*


(a)

Bibo a écrit:

lool ^^
si tu veux ... en MP ...
mais je préfère la hard ...
par contre l'histoire des spoiler c'est vraiment chiant, je sais pas à partir de quand ça deviens pervers et à partir de quand ça dénature pas le texte -_-

Ah :l
Au pire tu m'envoies avant et je te dis

Non je ne veux surtout pas avoir les suites plus vites :p

Superbrune