comme promis le bonus ^^
la fic', la ts, comme vous voulez, se fini ici ^^
merci de m'avoir lue
Bonus
bon sur un autre forum, où j'ai posté cette OS on m'a demandé une suite, alors quitte à l'écrire, autant le mettre ici aussi
(mon lemon est nul, mais c’est votre faute, j’avais trop de pression :p *pars se cacher en courant devant sa nullité chronique, qu’elle a même pas eu le courage de relire*)
Bill savait qu’il voulait faire l’amour a son réalisateur de fantasme, mais jamais il ne lui serait venu à l’esprit que se soit Tom, qu’il « doive » faire l’amour à son frère. Et pourtant lui l’avait fait, et ça avait été merveilleux, il le savait depuis toujours, mais après s’être tapé une bonne trentaine de mecs ou même plus, il en était devenu sur et certain. Il devait mener la danse, il devait le frustré comme lui l’avait été, il voulait l’entendre crier son nom, il voulait l’entendre le supplier de le toucher, de le sucer, de le pénétrer. Il avait imaginé ces moments des centaines de fois, avec à chaque fois un scénario différent, pour ne jamais se retrouver devant lui sans savoir quoi faire.
Une manière de se rassurer, d’avoir une base. Mais là il était bloqué, il ne savait que faire, où le prendre, et allait-il le faire ? allait-il réussir à bander pour son frère ?
Il se l’était promis et il devait le faire, il savait qu’il allait le faire, il ne savait juste pas comment. Tom le regardait penser sans oser bouger, comme hypnotisé par le visage pensif de son double, par ses traits si fin, par ses yeux si bruns, par ses cheveux retombant harmonieusement sur ses épaules, ses cheveux lise, pas coiffé, sans artifice, juste naturel.
C’était juste son bill dans toute sa splendeur qui se tenait devant lui et qui venait de lui donner le plus beau baiser de sa vie. A la fois tout en retenue, tendre et passionné. Bill semblait enfin avoir prit une décision, ses lèvres affichaient un sourire pervers. Il glissa sa main dans celle de son double faisant se frôler leurs doigts sur toute la longueur.
POV BILL
Un premier frisson nous parcours et je l’allonge sur le lit. Lui retire en premier son baggy, et en souriant son horrible tee-shirt vert celui que je déteste, mais qu’il met assez souvent, juste pour me faire chier. Juste pour que je lui fasse la réflexion que ce truc vert et immonde. A y réfléchir, c’était peut-être pour avoir mon attention.
Je me retrouve alors pour la 1ère fois de ma vie, devant son corps presque nu. Je lai déjà vu nu, mais je l’ai jamais vraiment regardé, pas comme aujourd’hui, pas comme ce soir, pas comme maintenant. Pas avec cette lueur perverse dans les yeux, pas avec cette envie de le toucher, de l’embrasser, de le mordre. Pas comme si c’était la 8ème merveille du monde. Pas comme si j’avais peur de le toucher, de le salir, de lui faire mal.
Je prend la voix la plus sensuelle, la plus perverse, la plus chaude que je n’ai jamais eu, et les joues toutes rouges je lui dit :
je vais te faire l’amour comme on ne te l’as jamais fait, laisse moi faire et tu ne regretteras rien. Ses joues se rougissent aussi, il me fait un sourire à la fois impatient et gêné et il ferme les yeux, s’abandonnant ainsi totalement à moi.
Mais je veux qu’il me regarde, je veux le voir, je veux voir le plaisir dans ses yeux, je veux voir le désir, je veux voir la frustration, la satisfaction, je le veux en entier. Je ne veux pas avoir honte de ce que je fais, et je veux qu’il le sache, qu’il le voit. Que je fais ça parce que j’en ai envie, pas parce que je me sens redevable de quelque chose. Ce sera peut-être la seule fois, et même si je veux qu’on soit quitte, j’ai quand même envie.
Je veux te voir… ouvre les yeux… s’il te plait, j’ai besoin que tu me regarde, que tu me vois… Il est allongé et moi je suis à cheval sur lui, mes jambes sont sous les siennes pour les bloquer, son visage repose sur mes avants bras, il est entièrement à moi. Soumis à mes désirs, à ma volonté, à notre péché.
Dans un murmure il me souffle :
Je suis entièrement à toi. Fait de moi ce que tu veux…Cette phrase m’électrise, mes sens sont tous en éveillent, je veux le toucher, mais par où commencer ?
Ne pouvant choisir mes mains parcours tout son corps, très lentement, mais sans le toucher, je dois être à quelques millimètres de sa peau, mais je la sens quand même, enfin ce n’est pas vraiment sa peau, c’est comme un champ magnétique, qui m’attire et me repousse en même temps. Il tremble, ses yeux me supplie de le toucher, de poser mes mains quelque part, de l’embrasser, mais je ne veux pas, pas tout de suite, je veux qu’il me le demande, qu’il me supplie. Je veux qu’il soit à moi.
Mon manège continue un moment, voyant qu’il ne cède pas, je rends la chose encore plus sensuelle, en lui lançant des regards pervers, en me mordant la lèvre comme si j’étais gêné par toutes les pensées impures qui m’assaille. Lui, se more la langue, si ont étaient dans un dessin animé, il aurait les yeux les sortent des orbites. Il me veut. Ses muscles de bras se contractes à chaque seconde, comme s’il voulait les bouger, pour le toucher, mais en ravisant juste avant de lever les bras. Il sait que je veut garder le contrôle, que je veut faire duré ce moment le plus longtemps possible.
Va-y t’as gagné… J… J’en peux plus… Sentir tes mains… Tes doigts… Si proches mais en même temps tellement loin… Ca me rend dingue… Touche-moi … Je t’en prie. Mon visage s’illumine, j’ai gagné, il a craqué, d’ailleurs son excitation est visible. Il semble si dur, comme s’il allait exploser, alors que je ne l’ai pas encore touché. Je risque le bout de mes doigts sur son gland, il hurle et se cambre. Il a l’air choqué de ressentir autant de plaisir avec si peu de chose, je souris malicieusement avant de dépose un premier baiser sur son corps brûlant, baiser qui laisse échapper un nouveau gémissement. S’en suit une série d’autre que je dépose tantôt sur son ventre, tantôt sur ses tétons, tantôt sur son visage, sa bouche, son cou, sa clavicule ses épaules.
Mes mains elles caresse ses cuisses en appuyant bien sur le creux du genoux. Il soupire, il gémit, ses mots sont incompréhensibles, je ne crois même pas qu’il cherche à parler.
Mes lèvres vont à la rencontre des siennes, qui sont entre ouverte. Ma langue pénètre dans sa bouche, léchant avidement tout ce qui s’y trouve, avant de trouver l’objet de mes désirs, sa langue que je suce, en mimant l’acte sexuelle tout en la mordillant par moment. Son corps est secoué de spams et son sexe tendu grossit contre mon ventre. Sa chaleur m’envahie. Mes mains caresse ses flans, de ses épaules à la fin de ses hanches, toujours en haut en bas, du bout des doigts d’abord puis du bout des ongles. Il tremble, et gémie dans ma bouche.
Ses lèvres, leurs goûts, leurs douceurs… Elles m’ont tellement manqué, tellement frustré la première fois, que je refuse de les lâcher. Et lui en redemande, c’est le seul contact que je lui autorise. Je frotte nos deux corps l’un contre l’autres, nos sexes se cognent, ont gémis, ont soupirs, on ondules pour toujours plus de contacts, nos corps sont en sueur. L’atmosphère est très étrange, c’est un mélange d’envie, de désir, de sexe, de culpabilité, de plaisir, de honte qui plane au dessus de nous.
Plus… Donne m’en plus… je t’en pris… je … je ne vais plus tenir … j’ai … besoin … qu’on me soulage… Il m’a supplier, arrivant à peine à articuler ses mots, tellement son corps tremblait sous mes caresses et mes baisers.
Il est si beau, tout en sueur, gémissant mon prénom, me suppliant de lui en donner plus, prenant bien soin de garder les yeux ouverts, pour ne rien rater.
Mais quand mon visage s’approche de sa virilité, la vue devient trop orgasmique pour lui et il ferme les yeux… Je le comprends tellement. Mes mains la caresse, comme si c’était un chat ou un objet fragile,
Il tremble chaque fois un peu plus, il se tortille cherchant plus … toujours plus…
Ma langue tourne autour du bout de son gland, comme si c’était une langue, toujours en cercle, le sperme est déjà là, alors je m’applique à l’essuyer.
Et sans prévenir, ma bouche, en « o » gobe l’intégralité de son sexe, enfin autant que ma bouche me le permet, il ouvre les yeux de surprise ne s’attendant pas à ça. La vue de ma bouche l’aspirant, c’est trop pour lui, et il s’écroule comme une masse, en gémissant un :
oh mon Dieu ! Je sens qu’il va venir au bout de quelque aller-retour, il faut dire, j’y vais fort.
Comme je veux qu’il vienne sur moi, sur nous, j’arrête tout. Il grogne. Mais je veux qu’ont viennent en même temps. Avant de remonter, de lèche son entrée, pour l’humidifier, parce que je ne le préparerais pas, j’ai trop envie de lui…
J’embrasse ses paupières closes et lui murmure qu’il doit rouvrir les yeux, parce que c’est là que ça va devenir beau. Il bougonne un peu, peut-être pour la forme, mais change vite d’avis quand il me voit le sexe raide recouvert de lubrifiant entre ses cuisses. Il s’avance de quelque centimètre et mon gland vient cogner sur son entrée. Il sursaute. Mais il n’a encore rien vu, c’est si bon de sentir ça en soit, c’est à la fois déchirant et orgasmique, cette impression d’être couper en deux, scier, mais en même temps tellement bien, la chaleur qui t’envahis, le liquide qui fini par couler. J’ai envie qu’il goûte à ça aussi. Au moins une fois pour voir le bonheur que c’est.
Il est intrigué, je vois même un peu de peur dans ses yeux, je le rassure avec les miens, en caressant l’intérieur de ses cuisses et le bas de son ventre.
Je force son entrée, les larmes coulent de long de sa joue, la douleur sans doute, mais j’y vais le plus doucement, que je peux, en l’embrassant, le caressant. J’y vais petit à petit. Pour lui laisser le temps de s’habituer. Il contracte ses muscles instinctivement pour m’empêcher de rentrée, mais ça ne fait qu’accentuer mon plaisir et sa douleur. Il faut qu’il se détende, et je sais que la seule chose qui à tout les coups l’apaise, c’est un massage des épaules, alors j’en commence un, et en une seconde, il se décontracte, et j’en profite pour rentrée complètement en lui. Il me murmure un merci.
C’est tellement chaud, tellement étroit, tellement oppressant, je me demande s’il a ressentit ça aussi… et surtout comment a-t-il fait pour ne pas hurler ? finalement il a du mérite.
Il ondule le bassin me faisant comprendre, que c’est bon, que je peux y aller. Alors je commence à me retirer, tout doucement.
C’est tellement bon…
Je ferme les yeux et soupire :
Tu es… han … si … étroit… c’est si bon … han Ses mains se posent sur mes hanches et il me renfonce tout de suite.
Un cris nous échappent.
Je croyais qu’ont avaient dit les yeux ouvert… Moi aussi, je veux pouvoir t’admirer… te voir… voir ton visage déformé par le plaisir. Je sourie et accentue mes vas et vient tout en le masturbant …
Il se mord la lèvre, visiblement il aime ça, et moi aussi, pour tout dire.
Je sens que je ne vais pas tarder à venir, alors je rapproche son corps du mien, son torse et contre le mien, on se gémis dans le cou, ce qui nous procure de petits frissons supplémentaire.
Nos corps glissent, trempés, mais on est bien, parfaitement emboîtés, comme si on avait été fait pour. C’est très étrange.
Je jouie en lui en hurlant Tom, et lui entre nous en hurlant Bill.
C’est l’orgasme le plus puissant de ma vie, et pourtant j’en ai eu. C’est encore mieux que quand il m’a prit. La petite pression à la fin à tout changé.
Il me sert fort. Il est tellement beau, on est tellement beaux.
Il me murmure un merci et un reste encore en moi, quand je me recule pour me retirer.
On reste comme ça quelques instants ou peut-être quelques minutes.
Sérer l’un contre l’autres, mélangeant nos sueur, nos souffles se perdant quelque part dans le cou de l’autres, voir dans ses cheveux. Nos rythme cardiaques sont depuis longtemps redevenus normaux, quand Tom s’effondre de fatigue.
Mes yeux me picotes aussi, on n’est pas jumeaux pour rien. Toujours synchro.
Je me retire enfin de lui, il émet un petit son, mais je sais qu’il est déjà loin. Il semble si paisible, si calme, si apaiser, si heureux, si bien. C’est beau à voir. J’étais pareil après.
Je sourie une dernière fois, dépose un baiser sur son nez, remet mon boxer et quitte la pièce, ne laissant dernière moi que la télé.
J’ai passé la plus belle nuit de ma vie, merci grand frère.