je sais que je me suis planté dans la couleur des yeux -_-
ATTENTION CETTE OS EST UN LEMON !
Parole Avril Lavigne
When you’re gone.
I need you there when I cry,
When you walk away
Do you see How much I love you right now ?
When you’re gone.
I’ll miss you.
I’d never felt this way before,
Everything I do make me think of you
Peaces of my heart are missing you
We are made for each-others
Everything I do, I do it for you
1H30 du matin. Une porte qui claque, des pas lourds qui résonnent dans un long couloir désert en pierre. Des poins serrés, une larme qui coule le long d’une joue, une larme de rage et de peine...
Deux yeux gris viennent de croiser 2 yeux bleus et comme à leurs habitudes ça c’est mal fini... ni l’un ni l’autre ne savent vraiment pourquoi, mais c’est comme ça entre eux, depuis leurs 1er jour à Poudlard... Ce jour ils s’en souviennent parfaitement... sur le parvis de l’école, drago à tendu la main à Harry, qui lui a refusé... C’est là que tout à commencé... Une haine, une admiration mutuelle, et une certaine attirance... D’année en année, de dispute en dispute, d’affrontement en affrontement, quelque chose est né entre eux, insidieusement, inconsciemment... Officiellement ils sont ennemis, ils sont même dans 2 camps opposés... Mais officieusement.... ils sont amants... Depuis aujourd’hui, depuis leurs 1er baiser échanger dans un couloir du 7ème étage devant la tapisserie de Barnabas le follet, depuis leurs 1ère fois dans la salle sur demande quelques minutes auparavant. L’un marche dans ce couloir pour rejoindre son dortoir en priant pour que personne ne remarque qu’il n’a pas passé la nuit là, et l’autre est assis sur un lit, le visage entre ses mains et il pleure silencieusement.
~> Flash Back
« 22h, 7ème étage, tapisserie barnabas-le-follet ».Voilà le mot qu’Harry avait reçut par hibou ce matin-là. Harry savait ce que ce mot signifiait, ils allaient enfin régler leurs comptes, seul à seul une fois pour toutes.
Après 7ans de bataille, l’instant était enfin venu. Harry avait reconnu du 1er coup d’œil l’écriture parfaite et italique de Drago Malfoy, son ennemie de toujours, la personne après Voldemort qu’il haïssait le plus au monde, l’être qu’il aurait aimé tuer de ses propres mains.
Ron et Hermione étaient trop occupés à s’embrasser pour prêter attention aux hiboux ou encore au sourire qui se dessinait sur les lèvres d’Harry.
La journée passa lentement, très lentement, trop lentement, et le supplice fut à son comble quand il retrouva drago au cours de potions. Leurs regards se cherchaient, un sourire se dessinait sur leurs lèvres à chaque fois qu’ils se croisèrent. Un sourire mauvais,impatient et sadique pour Drago, car pour lui, ce rendez-vous était bien plus qu’un règlement de compte, c’était l’occasion d’être seul avec lui, car personne n’allait jamais au 7ème étage. Ils seraient seuls. Il attendait ce jour depuis si longtemps...
Avoir enfin un contact avec lui, le toucher, sentir sa peau, ses mains sur lui, ses yeux bleus fixés sur lui.
Il avait eu du mal à l’admettre, mais il en était maintenant presque sûr. Il était attiré par Potter. Cette idée le révulsait presque autant qu’elle l’excitait. Il voulait en avoir le cœur net, il voulait savoir quel était ce lien entre Potter et lui et ce soir il le saurait.
Ce soir il pourrait mettre des mots sur ses actes, sur ses sentiments. Car depuis quelque temps, ses attaques c’étaient faite plus méchantes, plus vicieuses, plus nombreuses. Il avait besoin de croiser ses yeux bleus. Toute la question était de savoir ce que lui ressentait...
Et ça, il n’en était pas sûr.... Officiellement il était plus ou moins avec Ginny et lui avec Pansy.
22h.
2 silhouettes qui se suivent sans se toucher, sans se parler, sans se regarder, comme si l’autre n’existait pas, alors qu’elles sont toutes les 2 au même endroit, qu’elles attendent la même chose, qu’elles se cherchent.
7ème étage, toujours sans un mot, elles arrivent devant la tapisserie. Et la première silhouette, la main sur sa baguette se retourne et fixe à travers ses lunettes, le blond impassible.
«
Non, pas de magie, ça ferait trop de bruit, on se bat à la moldu, au corps à corps » articula le blond d’une voix neutre et froide.
Harry n’avait jamais été à l’aise avec les bagarres à mains nues, étant donné son gabarit et ses raclées avec Dudley.
Mais cette fois-ci c’était différent, Drago avait la même taille que lui et il était aussi fin que lui et Harry se dit que finalement le tuer à main nue, lui faire mal, le faire souffrir par lui-même, pourrait lui apporter une plus grande satisfaction. Il articula un
« d’accord » ferme et décidé.
Ce fût Drago qui frappa le 1er, un coup de poins dans le ventre, le souffle court et plier en deux harry tenta de riposter, mais Drago avait de bon réflexes et il empoigna le poigné d’Harry, puis le 2ème. Leurs visages n’étaient plus qu’à 10cm l’un de l’autre. Les yeux d’harry bouillonnait de rage, frustrée que le blond lui bloque les mains. Et ignorant les frissons qui le parcouraient, donna un coup de genoux dans les reins du blond, qui poussa un cris aigue. Le brun jubilait... Ils en vinrent aux mains et ce fut un corps à corps et des allées et retour le long du couloir du 7ème étage, prenant le dessus à tour de rôle, le brun sentait des bosses et de futurs bleus se former, tandis que le blond boitait et saignait de la lèvre inférieur. A chaque nouveau contact, à chaque fois que leurs peaux se touchaient, Harry sentait une décharge électrique, un frissons de plaisir, qu’il n’avait jamais ressenti avant, même pas avec Ginny, même pas quand ils avaient fait l’amour. Ce petit manège durait depuis un moment déjà quand la tapisserie disparue et laissa place à une grande porte. Le blond le plaqua contre, yeux dans les yeux, Harry oublia un instant pourquoi ils étaient là, oublia comment il s’appelait, il ne voyait plus que les yeux gris du blond qui le fixaient emplis de désir.
Il restèrent 2 bonnes minutes à se contempler et ce fût au plus grand étonnement de Drago, qu’Harry cella leurs 1er baiser.Les choses s'enchaînèrent alors très vite, leurs lèvres toujours collés, Harry ouvrit la porte derrière lui et qu’elle ne fut pas leurs stupeurs quand ils découvrir un lit 2places recouverts de pétales de rose noires et rouges, des chandelles disposés un peu partout. Ils desserrèrent leurs étreintes et se sourirent : «
c’est toi qui a demandé ça ? » demandèrent-ils d’une seule voix.
Et là ils comprirent qu’ils avaient, sans savoir tous les 2 souhaités la même chose.
Harry débarrassa Drago de sa robe de sorcier, l’allongea sur le lit et embrassa chaque partie de son corps nu... admirant chaque centimètre de perfection et de blancheur. Aucun des deux n’avait d’expérience avec un homme et leurs relations sexuels n’avaient pas été bien nombreuses ni très brillantes jusque-là. Mais ensemble les gestes semblaient naturels, ils arrivaient à deviner ce que l’autre voulait, comme s’ils avaient pu lire dans leurs pensées respectives. Harry embrassait violement Drago, collant leurs bouches toujours plus fort, avec une légère violence, comme s’il pensait que se serait la 1ère et dernière fois qu’il goûterait à ses lèvres. Comme s’il voulait profiter de chaque instant, de chaque contact, quitte à être trop brutal, mais il voulait imprimer toutes ses scènes. Il savait qu’un jour, il y repenserait. Peut-être même tous les jours, peut-être même à chaque seconde. Peut-être que chaque mot, chaque mèche blonde, lui rappellerait cette sensation. Cette chaleur, cette douceur, cette ivresse, cette couleur, ce goût, cette texture.
Ses mains m’aventurent sur le corps nu de Drago, touchant maladroitement chaque parcelle, comme s’il avait peur de ne pas pourvoir toutes les toucher, comme si ce rêve allait s’arrêter à chaque seconde.
Drago lui subissait, soupirait … Il aurait bien voulut dominer, mais Harry lui procurait tellement de bien, lui faisait découvrir des sensations, des caresses, inconnues jusqu’alors, qu’il se laissa faire.
Il eu un hoquet de plaisir quand il sentit en lui les doigts humides d’Harry, cette intrusion le choqua, lui fit un peu mal, mais rapidement il y trouva du plaisir, le brun avait trouvé sa prostate, et Drago n’était plus maître de lui-même, il se tortillait dans tout les sens, ne pouvant se contrôler. Voir le blond ainsi excitait encore plus le brun, Drago Malefoy était à sa merci, dépendant de ses gestes, de lui.
Ses doigts commençaient à être douloureux à force d’être comprimé par l’anus de Drago qui se serrait toujours plus, lui coupant la circulation.
Le blond, en sueur, dans un instant de lucidité, gémie : Harry, prend-moi, j’en veux plus…
Le prendre ? il n’avait jusque pas envisagé cette possibilité, cette option, alors qu’elle était l’aboutissement. Jamais il n’aurait imaginé être actif.
Il tremblait, le blond le fixait de ses grands yeux gris, qui semblaient hurler : Va-y ! je ne tiendrais plus longtemps sans tes caresses, sans toi en moi, sans tes baisers.
Il prit alors son courage à deux mains, inspira un grand coup, sourie à son amant et s’enfonça doucement en lui. Il vit son visage se crisper de douleur, en même temps que le sien s’ébahissait de cette étroitesse, de cette chaleur, de cette compression, de ce plaisir qui commençait déjà à le submerger.
Encore, il en voulait encore, plus, aller plus loin, il ne vit pas le visage de Drago se tordre devant sa brutalité, il ne vit rien d’autre que lui, que son plaisir, et il s’enfonça d’un coup sec en Drago, lui arrachant un cris qu’il n’entendit pas. Il commença une série de va et viens, rentrant et sortant tantôt complètement, tantôt à moitié.
Il serait bien resté là à jamais, perdu dans ce monde de plaisir, de douleur, de chaleur. Il était en LUI, en Drago, pour la 1ère et peut-être la dernière fois. Il voulait aller le plus loin possible dans le plaisir. Le corps de Drago tremblait sous lui, mais de plaisir maintenant, lui non plus ne savait pas où il était, lui aussi ne ressentait à présent que le plaisir, par vague. Il gémissait, accompagnait ses aller-retour de coup de basin violent, le faisant pénétrer toujours plus loin en lui, dilatant toujours plus son anus, touchant toujours plus sa prostate. Criant toujours plus son plaisir et sa douleur.
Il sentit Harry durcir encore plus, il savait qu’il allait venir et voulait venir avec lui, alors ses mains quittèrent le dos en sueur de son amant marqué de ses griffures, il défit ses jambes de la taille de son amant, pour les laisser balancer dans le vide, changeant ainsi sans le vouloir l’angle de pénétration et la quantité de plaisir s’en trouva décuplée.
Ses mains, vinrent caresser son sexe douloureux, en quelques secondes, ils vinrent tout les deux, et Harry s’effondra sur lui. Haletant tous les deux, cherchant à retrouver leurs souffles après l’orgasme le plus terrassant de leurs courtes vie.
Le sperme de drago collant entre leurs deux corps poisseux. Jusqu’à ce qu’harry dégage la main de drago de ses cheveux, pour prendre sa baguette magique et se nettoyer.
Ils n’avaient toujours pas échangé un mot. Drago toujours nue, sur le lit, les bras et les jambes écartées. Et Harry se rhabillant doucement.
Il aurait tout donné pour rester auprès de lui, pour dormir avec lui, pour refaire l’amour toute la nuit, avec tendresse cette fois-ci, mais il ne voulait pas gâcher se moment unique dans une vie. Sa première fois avec l’homme de ses rêves. Il ne voulait pas se frotter à la réaction de drago s’ils lui demandait de recommencer. Il ne voulait pas savoir ce qu’il pensait de tout ça. Après tout, ils étaient ennemis. Et des ennemis ne sont pas censés coucher ensemble.
Bin sur qu’il était amoureux, bien sur qu’il y penserait à chaque seconde, bien sur qu’il garderait son odeur gravé en lui à jamais, bien sûr qu’il retournerait ici, de temps en temps, espérant y retrouver Drago. Bien sûr que tout ça, il ne le regretterait jamais.
Mais il fallait qu’il parte. Et le blond, ne semblait pas bouger, ne pas le retenir, de pas lui demander de rester, comme s’il était endormit. Il fixait le brun, sans un mot, sans un geste.
Il ne se retourna pas en sortant, son cœur se serrant à chaque geste, sa tête, lui hurlant de rester, lui hurler de se jeter sur lui et de lui refaire l’amour passionnément et à jamais. Mais il savait que ce n’était qu’un doux rêve. S’il le voulait aussi, le blond, l’aurait retenu, il ne resterait pas inerte sur le lit.
La porte se referma en un bruit sourd qui résonna dans leurs têtes, comme le glas.
~> Fin du Flash Back <~
Mer 26 Mar - 14:26