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 OS : L'Adieu (Harry/BigD) ATTENTION LEMON

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Bibo

Bibo


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OS : L'Adieu (Harry/BigD) ATTENTION LEMON Empty
MessageSujet: OS : L'Adieu (Harry/BigD) ATTENTION LEMON   OS : L'Adieu (Harry/BigD) ATTENTION LEMON Icon_minitimeMer 26 Mar - 14:25

AVANT DE COMMENCER A LIRE SACHEZ QUE C'EST UN LEMON !!!


Alors pour la petite histoire, j’ai commencé ce lemon à la caisse primaire d’assurance maladie. Je m’emmerdais, alors je lisais mes anciens texto (je suis sur que vous le faite aussi), et je suis tombé sur un que j’ai écrit, et qui disait : « haaaaaaaaaa yaoiiii powaaaa dans harry Potter. Dudley bave sur harry. Moua voir du Yaoi partout ? jamais ... ». parce que oui, moi au tout début d’Harry potter 7, j’ai vu du yaoi, et là en le relisant, dans le salle d’attente, j’ai eu une révélation ^^. Fallais que je l’écrive. Et je l’ai fini (enfin continué) le 8novembre alors que j’étais allé à Mannheim, juste pour une bricole et que j’ai du attendre 2H30 mon train, je me faisait tellement chier dans le froid que je l’ai continuer (mais pas fini). Et là je reprends le 9novembre, en attendant que la mère rentre.


Harry/Dudley

L’adieu...

Tout le texte est un Pov Dudley


Ça y es... demain, il part. Demain, je ne le reverrais plus jamais. Demain c’est la fin... Maudit jour... Il est toujours partit... et c’est vrai que j’étais content qu’il parte... Mais je savais qu’il revenait toujours... et en plus il me manquait en moins de 24h. Alors j’allais soulager mes pulsions sur un petit 6ème, un gosse dont je ne connais même pas le prénom, mais je connais bien sur petit cul et son corps. Et pis de toutes façons, on s’en fou de comment il s’appel, moi je l’appel harry. Je l’ai choisis parce qu’il lui ressemble un peu.. mais bien sur ce que ne sera jamais lui...
Je sais ce que vous vous dites... Vous pensez tous que je ne l’ai jamais aimé, que je l’ai martyrisé toute notre enfance et que par conséquent, je le hais... et c’est vrai. Mais en réalité, il va ma manquer. Sa sale face de binoclard sortit du lit.
Je n’ai jamais cru à ses sornettes de magie, jusqu’à ce que je me retrouve avec cette queue de cochon greffer au cul.
Là je crois que j’ai tout bien comprit il a du l’expliquer au moins milles fois à mes parents pour être sûr qu’on comprennent tout bien.
Maman y croit, mais papa doute, il est même devenu parano.
Il nous a expliqué qu’il allait devenir majeur (en tout cas dans son monde, vu que je suis plus vieux que lui, donc logiquement, je devrais l’être avant lui) et que par la même occasion, il perdra ça protection.
Il y a un mec, un lord, c’est un grand méchant et il veut le tuer... tuer mon Harry. Et je crois que lui aussi veut le tuer. Un combat à mort... ça crains... et mon Potter ne sera jamais assez fort pour le battre, surtout si ce mec à fait tuer des milliers de gens et en a tuer des centaines, et qu’il terrorise tout une communauté.
Mon Harry, c’est soit un suicidaire, soit un héro. Je l’aime tellement. Ses lunettes toutes rondes qui lui donnent l’air d’un hiboux, ses cheveux brun toujours en bataille. Sa façon de passer sa main négligemment dans ses cheveux pour tenter de les recoiffer... c’est trop excitant. Et pis ses fringues... enfin mes anciens fringues, pour la plus part, milles fois trop grands, qui lui font des baggy vu son gabarit . Et pis les 2 ou 3 fois où je l’ai vu sortir de la douche, la serviette autour de la taille, les cheveux devant les yeux, dégoulinant sur son torse et sur dos ... d’ailleurs il a un torse parfait... le ventre plat en V, une petite ligne de poils du nombril au sexe... et surtout, il est musclé... je ne sais pas comment c’est possible vu qu’à ma connaissance, il n’a jamais fait de la muscu.
Ça y es... j’ai la trique ... ça crains .... il me fait trop bander ce mec.
Ce soir, j’ai prit une décision terrible... la pire de toutes... mais j’en ai tellement rêver.... j’en ai tellement envie....
Ce soir, c’est ma dernière chance... je me suis vu/imaginer faire ça des centaines de fois... mais ce soir c’est la bonne.
Je sors doucement de ma chambre, il faut un peu froid, c’est étonnant, vu qu’on est en été. Sa chambre est juste à côté de la mienne. Le mur est tellement fin, que certain soir, je peux l’entendre pleurer et lui peut m’entendre gémir quand je m’adonne à mes plaisirs solitaires.
Ce qu’il ne sait pas, c’est qu’il est l’objet de tous mes fantasmes. J’essaye de gémir son prénom le plus doucement possible. Donc normalement, ce soir il va avoir la surprise de sa vie. Parce qu’il est évident qu’il m’aime aussi. Je le vois bien, quand il me regarde, il y a du désir dans ses yeux bleu.
Je tremble comme une feuille, là devant sa porte, je suis en caleçon et je bande déjà. Aucune lumière ne filtre par le dessous de sa porte. C’est pas normal, il ne peut pas dormir comme un bébé la nuit d’un événement pareil. En même temps il est tellement mignon quand il dort, ça donne envie de le manger. Je me sais, parce que j’y suis déjà aller le voir dormir plusieurs fois. Mais c’est dangereux parce que sa saleté de chouette peut revenir à n’importe quel instant et si jamais elle me voyait me branler dans la chambre de son maître, pendant qu’il dort, elle hurlerait et je serais très mal.
Bon je tente, j’ai rien à perdre, et de toutes façon, j’ai mis assez de somnifère dans les verres de mes parents pour que même la fin du monde ne les réveils pas, d’ailleurs je pense que leurs ronflements vont couvrir nos cris. Ma main se pose sur la poignée, mon souffle est saccadé, je flippe. Par chance, depuis que j’ai discrètement huilé sa porte, elle ne grince plus.
Il est allongé sur son lit et contemple le plafond, sans doute plongé dans ses pensées les plus profonde. C’est pour ça qu’il ne me voit pas encore. Je m’approche doucement...
Il est tellement mimi en boxer allongé sur ses couvertures, les volets sont ouverts ça donnent une atmosphère feutrée, c’est hyper romantique. C’est comme ça que j’imaginais notre première fois. Ma vraie première fois. Celle avec l’homme de mes rêves les plus fous... celui à qui je vais offrir ma virginité. Je ne suis plus qu’à 4 pas de lui et mon ombre passe furtivement sur son visage... ça y es il me distingue. En une fraction de seconde, il attrape lunette, baquette et il se lève.
Et là ses grands yeux s’écarquillent, il ne comprend pas ce que je fais en caleçon dans sa chambre en pleine nuit. Ses yeux semblent me dire : « mais qu’es-ce que tu fous la Dudley ? j’aurais pu te tuer, tu t’en rends compte ? » et moi, je lui sourie, de toutes mes dents, parce que je peux rien faire d’autre.
Il a l’air choqué, et ses yeux parcours mon corps dénudé, et son regard s’arrête à mon entrejambe. Il faut dire que depuis tout à l’heure, elle ne fait que grossir. Bien oui, un Harry en boxer, c’est bandant, je suis désolé, ça l’ai presque autant que quand il sort de la douche.
Son visage se décompose, il parait horrifié, je ne comprends pas pourquoi, vraiment, c’est ridicule, je veux juste lui faire du bien, beaucoup de bien. Il me fixe, enfin, il passe de mes yeux à mon sexe en érection, toujours ahuris, il tient sa baguette, mais n’a toujours pas bougé. Je m’approche de lui, il ne réagit pas, il continu ses aller-retour. Je me risque à poser ma main sur son épaule, j’en tremble, j’ai tellement rêvé de ce moment, rêver de caresser sa peau, tellement rêver de sa texture, de sa douceur, de son goût. Et je vais enfin savoir. Je jubile.
Il frissonne et me fixe plein d’incompréhension. Je savoure ce contact, ce 1er contact. Je fais glisser la paume de ma main jusqu’à son torse musclé, cette fois-ci il réagit, il murmure un non et l’incompréhension de ses yeux, fait place à la peur.
Il a peur de ce que je vais bien pouvoir lui faire.
Mais je sais qu’il en a envie, comme moi, je sais que lui aussi sera heureux après ça.
Mon ventre touche le sien, je l’enlace, comme j’ai toujours rêvé de le faire, sans vraiment oser.
Avec lui, c’est différent, je sais qu’il n’a jamais couché avec un homme, je sais qu’il a peur, alors je vais le plus doucement que mon désir me le permet. J’explore son dos, et le bout de mes doigts commencent à s’aventurer sur ses fesses, elles sont lises et fermes, parfaites en somme.
Mon érection me fait mal, même s’il continu de répéter : non, non, non, il n’a toujours pas utilisé sa baguette. J’embrasse son cou, sa clavicule, il frissonne, je sais qu’il prend du plaisir, je caresse son pénis à travers son boxer, son membre s’éveille, contre son grès certes mais il verra, se qu’il va ressentir va être génial.
Je continus de goûter sa peau, d’embrasser chaque parcelle de son être. Il a bon goût, je ne sais pas ce que c’est, un mélange de son odeur et de framboise (sûrement son gel douche). Il frissonne de plus en plus, ses non ne sont plus des plaintes, mais bien des gémissements.
Il gémit toujours non, mais au moins il prend du plaisir. Ses yeux se fermes, il laisse tomber sa baguette, il n’a sans doute plus la force de la tenir. Je me risque à enlever son boxer, et il se laisse faire.
Et c’est la que je la voit, elle, tant convoité, elle est enfin accessible, enfin devant moi. Encore plus belle et plus grosse que je l’imaginais. Je me retiens de ne pas la prendre tout de suite à pleine bouche. Je la caresse, je la touche, je masse ses testicules, il gémit de plus en plus, je crois qu’il veut que j’arrête, mais son corps répond à mes caresses et en redemande, il frissonne, ses jambes ne vont pas tardé à le lâcher. Alors je me relève, et lui fait à nouveau face. Il a les yeux fermés et les larmes coulent le long de ses joues, je les essuient. Ses mains viennent s’aventurer sur mon caleçon, je tremble de tous mes membres, ses longs doigts fin qui parcours mon corps... enfin ... je n’en crois pas mes yeux...
Il me retire mon dernier vêtement...
Je l’allonge sur le lit et essaye de l’embrasser. Un baiser... pour goûter ses lèvres, pour jouer avec sa langue. J’embrasse sa nuque, je mordille le lobe de son oreille, baise ses joues, lèches ses lèvres du bout de la langue pour les humidifier, mordille sa lèvre supérieure et cèlent enfin nos lèvres. Il me refuse l’entrée de sa bouche, alors je frotte nos virilités l’une contre l’autre, il hoquette de plaisir et je peux enfin explorer sa bouche, qui a encore meilleur goût que sa peau, sa langue vient spontanément chercher la mienne et enfin elles se trouvent... notre 1er baiser... le meilleur de ma vie (il faut dire que j’en ai pas eu beaucoup). Je ne réalise pas complètement ce qu’il se passe, je suis comme dans un rêve, j’embrasse l’homme que j’aime, je frotte nos corps, nos sexes, il me gémit dans la bouche, c’est le paradis. Mais maintenant il va falloir passer à la vitesse supérieure, la fellation... mes mains descendent en une longue et sensuelle caresse, jusqu’à l’objet de mes désirs, je l’empoigne, il se cambre, et hurle un NON ! bientôt rejoints par ma bouche. Elle forme un O parfait. J’attaque son gland, il est prit de spasmes, il se mort la lèvre inférieur, pour ne pas hurler trop fort. Et surtout pour ne pas dire OUI, mais continuer de dire non. Ma bouche descend doucement, le long de son sexe, jusqu’à ce que j’ai tout son sexe en bouche, là, je commence le chemin inverse, toujours doucement, et toujours aider par ma main qui serre toujours un peu plus la base de son sexe. Je me risque à quelque mordillage... sa lèvre est maintenant en sang. Il commence des coups de basins, pour me donner la cadence, mais sa tête, ne veut toujours rien savoir.... je continue ainsi mes aller-retour, alternant rapidité, et lenteur. Et ne m’arrête que quand je le sens venir, je ne veux qu’il viennent en moi, je veux avoir son sperme en moi, le sentir en moi, avoir un souvenir de lui, avoir une partie de lui en moi. Alors doucement, je retire ma bouche et passe un dernier coup de langue sur le sommet de son gland. Je n’ai pas de lubrifiant, mais on va dire que je l’ai assez humidifiée. Et c’est avec le goût de son sexe dans la bouche, que doucement, je me positionne au-dessus en lui. Il n’a toujours pas ouvert les yeux, mais son visage exprime la frustration.
Ne t’inquiète pas, j’arrive bientôt.
Je n’ai jamais fait ça de ma vie, mais c’est ma seule occasion et c’est l’homme que j’aime, et puis même si je suis soumis, je suis quand même au dessus, donc c’est comme si j’étais dominant. Doucement, je descend mon corps vers le sien. Ça y es, je sens son gland au portes de mon entrée. J’ai peur, je sais que je vais avoir mal. Mais je sais aussi, que le plaisir que je vais avoir après, va compensé. Je commence m’empaler, millimètre par millimètre, mon entrée, ne veut pas s’ouvrir tout de suite, elle résiste un moment, mais finalement cède. il a ouvert les yeux, et il ne comprends pas. Il pensait sans doute que je voulais le violer, et non m’empaler. Il est trop chou. Il me sourie, les yeux pleins d’étoiles, puis referme les yeux et continue de gémir ses non.
Je ne pensais pas que j’étais si étroit. C’est étrange, j’ai mal, je me sens déchirer de l’intérieur, mais en même temps, je sens la douche chaleur de son pénis en moi, et rien que de savoir qu’il me pénètre, c’est jouissif. J’arrive enfin au bout, de ma quête, et le contact de ma prostate et son gland, le fait hurler de plaisir. Je reste assis sur lui quelques minutes histoire de m’habituer, et puis commence mes vas et viens, le visage d’Harry est déformé par le plaisir, son corps accompagne mes vas et vient en se cambrant. Il va jouir et moi aussi. Nos deux corps s’emboîtent parfaitement. Je ne vais pas tardée à jouir et lui aussi. Il prends mon sexe entre ses doigts, et se calent sur notre rythme. Harry, mon Harry est entrain de ma branler. C’est trop beau pour être vrai, trop parfait. Et c’est dans un cri similaire, qu’on se libers tout les deux. Je m’effondre sur lui, et le doux battement de son cœur qui tente de reprendre un rythme normal me berce.
Je suis heureux, et je sais que lui aussi. Je crois qu’il s’endort, ses bras viennent m’entourer, mais je dois partir. C’est à contre cœur que je me retire, m’arrachant un dernier cris, et lui procurant un dernier spasme. Je pose la couverture sur lui, lui remet son boxer et reprends mon caleçon.
Il ne s’est rien passé... et demain, il aura tout oublié, grâce à la petite poudre que j’ai mis dans son verre.
J’ai vécue le plus beau moment de ma vie, le fantasme de toute une vie, et il ne le saura jamais. Ce qui me console, c’est qu’il a aimé, je le sais.
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